Paroles de fleuve
Rive gauche, rives droite, chemin faisant, j'atteindrai bien la mer...
C'est ce que je me disais l'autre jour, me rendant à quarante kilomètres au sud des côtes de la Manche. Mon intention de dialoguer avec les eaux du fleuve, guiderait mes pas sur les deux rives. Côtoyer, aux portes de l'hiver, ces eaux vives et découvrir une fois de plus, ses rives désertes, m'obligerait à pratiquer un land art épuré jusqu’à faire parler le peu, blotti au creux de la froidure humide.
Lorsque je suis arrivé au grand déversoir, j'ai tout de suite compris que le programme ne se déroulerais pas comme d'habitude. Il me faudrait descendre dans le lit du fleuve, dont les berges asséchées marquaient ainsi, le manque d'eau du dernier été. Je pris les précautions d'usage pour descendre sur les rocs dont les plus intéressantes étaient posées à moitié dans l'eau. Par ce temps, glisser dans le fleuve n'avait rien d'agréable, parfois même, dangereux, mais il faut bien aller les chercher où elles sont.
Le déversoir était bruyant et rendait, en écume, l'eau qu'il avait empruntée, calme, en amont. J'ai élevé mon premier cairn, puis le second, et le troisième. Je me disais être bien loin des plages, vers le nord, rêvant déjà y faire une spirale dans le sable .Voici mon langage, me disais-je, mes pierres muettes, ma grammaire, ma syntaxe fluviale qui racontait l'histoire d'un homme assez vieux, pour ne plus perdre sa vie à cela. J'écrivais ainsi, une biographie éphémère que personne hormis le fleuve ne lirait un jour. Au fur et à mesure de mon avance, les pieds trempés, je trouvais un alibi et ralentissais la marche, dans le lit de ce fleuve, écoutant les quelques oiseaux présents, profitant du crépuscule, de sa lumière tamisée qui couvrait d'or les arbres en aval. Je terminais, loin du déversoir, dans un silence qui boucla la boucle et
m 'accompagna jusqu’à la nuit.
Le lendemain, je longeais une autre partie du fleuve, cette fois ci, rive droite. Territoire maritime dont les eaux saumâtres déposaient depuis des siècles ces vases grises qui rendant si dangereuses les berges à marée basse. J'accompagnais du regard, les eaux grises que la marée basse aspirait vers l'estuaire, dans un bruit léger, un froissement qui n'avaient aucun rapport avec les masses d'eau en mouvement. Je m'enfonçais dans le sous bois, gardant le bruit du reflux, à l'oreille.
Lorsque j'arrivais au lieu recherché, le fleuve avait perdu quelques mètres par rapport aux hautes eaux et, s'était immobilisé. C'est un léger souffle qui marqua la renverse et l'arrivée du flux avec ses eaux plus raides, écumeuses, charriant sur le ventre, la future laisse de mer. C'est pendant ces mouvement que je trouvais l'inspiration et réalisait quelques installations. Plus tard, je passais côté canal pour terminer mon voyage.
Le troisième jour, je retrouvais les plages par un temps à ne pas mettre un chien dehors. Une température très basse, 3°, un vent de Nord, Nord-Ouest de 40 K/heure et des grains cinglants. Alors pourquoi, y aller avec de pareilles conditions climatiques. Tout simplement à cause du soleil qui me servit une lumière fugace, certes, mais d'une si grande beauté , que je n'ai pu résister.
Les sables, grêles avaient été tassés par ces pluies d'orage. Je savais que cela serait difficile. Comme, je me sentais en forme malgré tout, je m'y suis mis. Je vous ai raconté dernièrement, d'où je sors et quelles sont mes difficultés physiques, mais je me suis acccroché. Bien sûr, la spirale était moins profonde, mais elle était là. La mer est arrivée dessus, au moment où je traçais le 24ème tour. J'ai photographié ces instants inoubliables même si je les ai vécus très souvent. J'ai pris des photos sous l'averse, et je pensais plus à mon appareil qu'à moi. Je suis remonté dans les falaises, attendre que le grain passe et j'ai continué à travailler dans le froid humide. Le land art nous oblige à ces dépassements et nous plonge au cœur des éléments qu'il faut savoir supporter pour comprendre. Des petits bonheurs qu'il faut vivre pleinement.
Roger Dautais
Lorsque je suis arrivé au grand déversoir, j'ai tout de suite compris que le programme ne se déroulerais pas comme d'habitude. Il me faudrait descendre dans le lit du fleuve, dont les berges asséchées marquaient ainsi, le manque d'eau du dernier été. Je pris les précautions d'usage pour descendre sur les rocs dont les plus intéressantes étaient posées à moitié dans l'eau. Par ce temps, glisser dans le fleuve n'avait rien d'agréable, parfois même, dangereux, mais il faut bien aller les chercher où elles sont.
Le déversoir était bruyant et rendait, en écume, l'eau qu'il avait empruntée, calme, en amont. J'ai élevé mon premier cairn, puis le second, et le troisième. Je me disais être bien loin des plages, vers le nord, rêvant déjà y faire une spirale dans le sable .Voici mon langage, me disais-je, mes pierres muettes, ma grammaire, ma syntaxe fluviale qui racontait l'histoire d'un homme assez vieux, pour ne plus perdre sa vie à cela. J'écrivais ainsi, une biographie éphémère que personne hormis le fleuve ne lirait un jour. Au fur et à mesure de mon avance, les pieds trempés, je trouvais un alibi et ralentissais la marche, dans le lit de ce fleuve, écoutant les quelques oiseaux présents, profitant du crépuscule, de sa lumière tamisée qui couvrait d'or les arbres en aval. Je terminais, loin du déversoir, dans un silence qui boucla la boucle et
m 'accompagna jusqu’à la nuit.
Le lendemain, je longeais une autre partie du fleuve, cette fois ci, rive droite. Territoire maritime dont les eaux saumâtres déposaient depuis des siècles ces vases grises qui rendant si dangereuses les berges à marée basse. J'accompagnais du regard, les eaux grises que la marée basse aspirait vers l'estuaire, dans un bruit léger, un froissement qui n'avaient aucun rapport avec les masses d'eau en mouvement. Je m'enfonçais dans le sous bois, gardant le bruit du reflux, à l'oreille.
Lorsque j'arrivais au lieu recherché, le fleuve avait perdu quelques mètres par rapport aux hautes eaux et, s'était immobilisé. C'est un léger souffle qui marqua la renverse et l'arrivée du flux avec ses eaux plus raides, écumeuses, charriant sur le ventre, la future laisse de mer. C'est pendant ces mouvement que je trouvais l'inspiration et réalisait quelques installations. Plus tard, je passais côté canal pour terminer mon voyage.
Le troisième jour, je retrouvais les plages par un temps à ne pas mettre un chien dehors. Une température très basse, 3°, un vent de Nord, Nord-Ouest de 40 K/heure et des grains cinglants. Alors pourquoi, y aller avec de pareilles conditions climatiques. Tout simplement à cause du soleil qui me servit une lumière fugace, certes, mais d'une si grande beauté , que je n'ai pu résister.
Les sables, grêles avaient été tassés par ces pluies d'orage. Je savais que cela serait difficile. Comme, je me sentais en forme malgré tout, je m'y suis mis. Je vous ai raconté dernièrement, d'où je sors et quelles sont mes difficultés physiques, mais je me suis acccroché. Bien sûr, la spirale était moins profonde, mais elle était là. La mer est arrivée dessus, au moment où je traçais le 24ème tour. J'ai photographié ces instants inoubliables même si je les ai vécus très souvent. J'ai pris des photos sous l'averse, et je pensais plus à mon appareil qu'à moi. Je suis remonté dans les falaises, attendre que le grain passe et j'ai continué à travailler dans le froid humide. Le land art nous oblige à ces dépassements et nous plonge au cœur des éléments qu'il faut savoir supporter pour comprendre. Des petits bonheurs qu'il faut vivre pleinement.
Roger Dautais
Pour moi la spirale est l'art de tourner en rond mais pas sans but
RépondreSupprimerTrès beau billet, Roger, très belles couleurs de fin d'automne...
RépondreSupprimerBonne soirée, amitiés.
Norma
caphatock,
RépondreSupprimerExact Cap'tain Haddock, mais ensuite, il faut le définir, puis il faut l'atteindre avant de recommencer, vite fait.
Merci du conseil
Roger
norma,
RépondreSupprimerMerci Norma, tes mots me font plaisir.
Belle soirée, à bientôt sur ton blog.
Roger
Très inspiré ... ça donne des envies de se prendre au jeu, ou à la réflexion !
RépondreSupprimerI'm totally amazed at this creation!
RépondreSupprimerBeautiful pictures!
Ce sont des petits bonheurs qui s'additonnent et creent du vrai plaisir... et du bonheur tout court.
RépondreSupprimerSuperbes realisations!
Où vous nous montrez que le land art est un art d'engagement... Un art du corps qui fait, aussi. Merci encore pour ces images partagées.
RépondreSupprimerBellas composiciones, mucho.
RépondreSupprimerUn saludo cordial y gracias por sus visitas,
Db.
Gine,
RépondreSupprimerLa voie est libre. Il suffit de s'y engager et essayer.Merci pour ton commentaire
Belle soirée,
Roger
ART?
RépondreSupprimerMerci de tes mots, ils m'encouragent.
A bientôt,
Roger
DeeBeeL.
RépondreSupprimerTrès heureux de faire partager ces petits bonheurs sur mon blog.
Belle soirée,
Roger
Chri,
RépondreSupprimerC'est vrai et il peut difficilement en être autrement.
à bientôt,
Roger
David B.Bustos
RépondreSupprimerMerci de ta visite et de ton commentaire. C'est un vrai plaisir aussi, de regarder tes créations photographiques.
Amicalement,
Roger
As always beautiful photos and amazing creations!
RépondreSupprimerA great post!
Greetings from Greece!!
Ton message tout de courage rime avec les spirales parfaites que tu as tracées sachant que la mer allait les noyer . Le jeu espoir-désespoir...
RépondreSupprimermerci pour cette belle promenade!
RépondreSupprimerLas tres primera fotos... ... ...como torres de Babel. Nos separan nuestras lenguas, pero unen nuestros deseos. Un abrazo desde las orillas de La Isla Misteriosa.
RépondreSupprimerI've never seen so beautiful, symmetrical, original photos!!!!
RépondreSupprimerMy sincere congratulations!!!!!!
C'est d'une grande beauté ces créations artistiques. Merci de partager les photos de ton art. La nature reste encore plus belle avec ton travail.
RépondreSupprimery el mar quiso ser arte
RépondreSupprimerCher Roger, mon silence ne doit pas te laisser penser que je ne suis plus présente pour lire tes textes et admirer tes installations ... Tu es toujours aussi efficace et remue méningues ! amitié
RépondreSupprimersous le charme de ces mandalas de feuilles et de fruits.
RépondreSupprimerMagnifiques compositions reposantes même si j'imagine la concentration et l'effort physique pour réaliser ces œuvres dans les conditions climatiques actuelles. merci à vous !
J'aime beaucoup...Très reposant...Un bel art...Bonne journée....
RépondreSupprimerUne merveilleuse facon de faire parler les elements et les mots.
RépondreSupprimerTre bien! Interesantes fotografias... Mucho Gusto!
RépondreSupprimerArmelle,
RépondreSupprimerMerci et belle journée, Armelle,
Roger
Top Blogs,
RépondreSupprimerMerci de votre passage et bonjour à la Grèce,
Roger
Lautreje,
RépondreSupprimerOui, la pratique du land art me fait traverser les saisons et le corps expérimente ses limites, parfois de façon surprenante. Ceci accompagne un esprit de créativité qui doit s'adapter à toutes conditions météorologiques.
Belle journée,
à bientôt,
Roger
Dominique Sedler,
RépondreSupprimerOn ne peut être partout, chère Dominique. Cela ne m’empêche pas d'être sensible à tes mots lorsque tu les déposes, ici,
Bien amicalement
Roger
camino roque,
RépondreSupprimerC'est vrai que sans la mer, dans cet exercice, il manquerait le principal.
Amitiés,
Roger
Maria Emilia Moreira,
RépondreSupprimerCes installations transforment notre vision de la nature, mais pas le paysage durablement, par le côté éphémère de la création.
Amitiés,
Roger
Magda,
RépondreSupprimerJe te remercie de tes mots d'encouragement qui me touchent beaucoup.
J'invite mes lecteurs à visiter ton blog, s'ils veulent encore mieux connaître ton pays, la Grèce.
Belle journée à toi, Magda,,
Roger
La Isla Misteriosa,
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire. C'est vrai, la passion du land art et la création, nous servent de langue commune.
Un Abrazo
Roger
Manouche,
RépondreSupprimerDe l'espoir, oui, dans ce jeu avec la mer, mais pas trace de désespoir. La disparition de cette spirale fait partie du geste, du don à la mer.
Je t'embrasse,
Roger
è sempre un grande piacere passare di qua!
RépondreSupprimerLovely work and nice creations Roger.
RépondreSupprimerGreetings, Joop
Maintenant la rivière s'arrête de contempler la pierre, et de là son reflet. Un salut ami voyageur.
RépondreSupprimernouvelles couleurs-vienna atelier,
RépondreSupprimerMerci de me le dire.
Je te souhaite de passer une bonne soirée,
Roger
Esmeralda Torres,
RépondreSupprimerOui, tu as raison, cela se passe ainsi de temps en temps, puis elle reprend son cours et emporte avec elle, la mémoire de belles rencontres.
Belle journée à toi, Esmeralda.
Roger
Joop Zand,
RépondreSupprimerMerci. Bienvenue à toi,depuis la Hollande sur Le Chemin des Grands Jardins et bonne soirée.
Roger
La nature est sublimée par ton art que j'ai découvert ici.
RépondreSupprimerJe trouve ce travail éphémère magnifique .
Encore merci
Merci beaucoup pour les encouragements et pour ces travaux si beau, je gustantodas mais surtout des horloges.
RépondreSupprimerÇa ressembel aux <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Inukshuk>Inukshuk</a> qu'on trouve (notamment) au Québec :)
RépondreSupprimerJ'aime votre point de vue.
RépondreSupprimerMuch of the work, even greater satisfaction.
RépondreSupprimerExcellent combination. Spirals are unique.
The highlight of the combination of spirals and the sea
Brigitte,
RépondreSupprimerMerci pour ton détour jusqu'ici,et tes mots d'encouragement.
Roger
deef,
RépondreSupprimerJe raconte sur une des pages de mon blog, la rencontre avec le chaman Inuit Peter Inik, en Normandie, il y a quelques années. Venu élever un Inuksut, alors que j'assistais à son travail, j'ai pu ensuite lui présenter le miens. Nous avons conclu aux similitudes de nos travaux, sans même s'être rencontrés avant. Ta remarque est donc très juste.
Roger
Leovi,
RépondreSupprimerJ'ai toujours réalisé des horloges plus ou moins grandes. Un manière de dire que le temps est compté et la vie, éphémère, même pour un land artiste.
Roger
Ebru özgün,
RépondreSupprimerJe te remercie de ton passage sur Le Chemin des Grands Jardins.
Belle journée à toi,
Roger
Stella,
RépondreSupprimerBienvenue de Slovénie sur Le Chemin des Grands Jardins. C'est vrai, comme tu le dis que la rencontre de la mer avec une telle spirale constitue à chaque fois un moment unique qu'il faut vivre "in situ" pour en apprécier toute la magie.
Bien amicalement,
Roger
Brilliant find.
RépondreSupprimerVery ZEN motives ...
RépondreSupprimerZEN ...
RépondreSupprimerRogerrrrr!
RépondreSupprimerIt is SUPER! And how are you doing now? You know when I see your work and I feel like that nerves in my brain have rusted too early. Excellent work!
Loads of love,
Bhags
Bob Bushell,
RépondreSupprimerMerci Bob et à bientôt sur ton excellent blog.
Roger
Wong Wei hoe,
RépondreSupprimerMerci et bonne journée à toi,
Roger
Wong Ching Wah,
RépondreSupprimerOn me le dit souvent et provenant d'un oriental, qui plus est, artiste et photographe, cela me fait plaisir.
à bientôt,
Roger
Life like this,
RépondreSupprimerBhags,tu vois, je vais mieux, m^me si je continue toujours à soigner mes séquelles de mon accident. Je retrouve peu à peu mes capacités physiques.
Ta visite me fais très plaisir. J'espère que tu vas bien.
Belle journée à toi et à bientôt sur ton blog,
Roger
Vuelo por su espacio para seguir deleitando los sentidos...
RépondreSupprimerUn saludo,
Db.
j'aime bien tes mandalas que tu fais avec les éléments de la nature.
RépondreSupprimerIncredible shots! I really love how you arranged the leaves in such an artistic shot! Beautiful.
RépondreSupprimerTous ces petits bonheurs,petits bouts par petits grains
RépondreSupprimerHi Roger,
RépondreSupprimerThank you for leaving such nice comments on my blog! I love your work and what you're doing. In this serie I especially like the pictures with the red berries and leaves, such beautiful colours!
De nuevo te digo: tus imágenes, tus textos, tu blog son un deleite para los sentidos.
RépondreSupprimerSaludos Roger
I love the circles in your art works; circle is an intrigueting figure.. The green and the orange ones are my favourites this time, maybe because it is all white-grey-black right now here in the North. Today we had a snow storm.
RépondreSupprimerThank you for the serenity of your works, I do enjoy watching them.
Leena
Your photography is amazing! Absolutely beautiful and sweet. I love them all!
RépondreSupprimerNous vous remercions de votre aimable visite, Roger! Vous êtes les bienvenus pour visiter Hawaii à mon blog chaque jour. Aloha chaleureux from Waikiki
RépondreSupprimerComfort Spiral
> < } } ( ° >
,
Cloudia
la spirale est vraiment là et les vagues s'engouffrent dans les creux pour dévorer les
RépondreSupprimercercles ! et c'est beau !
je crois que je resterais jusqu'au bout à regarder la mer envahir ton oeuvre peu à peu, sans regret car je sais que tu recommenceras
demain!!! j'aime les baies dans le creux de l'arbre comme un cadeau dans le creux d'une main !
et la souche "monstre", la gueule ouverte, avec une fleur autour du cou, qui semble happer les feuilles d'automne !!!
tu vois Roger, je peux me faire un film avec toutes tes créations !
je te souhaite un beau dimanche
bisous
Once I read that humankind is intelligent because of having fingers; what an impressive proof.
RépondreSupprimerWonderful photography of are which provides hope and strength. Please have a good new week ahead.
Chaque jour je passe
RépondreSupprimeren silence
Chaque fois je repars
en silence
Envie aujourd'hui de vous dire Merci pour votre art offert
Envie de saluer le loup qui hurle, gueule ouverte, avec sur le côté, une tache rouge "comme un p'tit coquelicot" ...
David B.Bustos,
RépondreSupprimerLe land art est porteur de rêves.
Bien à toi,
Roger
Carol Proulx,
RépondreSupprimerMerci. J'en ai fait de beaucoup plus grands, il y a une dizaine d'années, puis, ils sont devenues plus rares, plus petits. Celui-ci est très récent.
Belle journée dans ton grand pays, le Canada.
Roger
Rohrerbot,
RépondreSupprimerComme quoi, nos univers peuvent être vraiment différents et être appréciés, malgré tout.
Roger
Rejane,
RépondreSupprimerDans chaque graine, un univers, dans chaque installation, le désir de servir l'univers.
Belle journée à toi et merci.
Roger
céline,
RépondreSupprimerLe rouge des baies (ou des fleurs, l'été) donne toujours un aspect particulier aux installations, surtout l'hiver lorsque la nature se dépouille.Le rendu est encore plus fort "in situ" avec le jeu de lumières naturelles offert par le soleil.
Belle journée .
Amitiés.
Roger
Esmeralda,
RépondreSupprimerMerci de tous ces mots d'encouragement.
Roger
This is almost espiritual.
RépondreSupprimerHugs.
Leena,
RépondreSupprimerLes spirales de sable sont emblématiques de mes travaux de land art.Merci de les apprécier aussi.
Belle journée,
Roger
Ayalat Art,
RépondreSupprimerJe suis toujours intéressé par l'avis d'un artiste peintre et je te remercie de tes mots d'encouragement.
Roger
Cloudia,
RépondreSupprimerJe ne manquerai pas de te faire une visite par le Net, pour le voyage à Hawaï, cela attendra un peu !
Noël sous les tropiques doit être bien différent d'ici.
Belle semaine à toi,
Roger
Comfort Spiral,
RépondreSupprimerEn attendant de visiter ton blog, à bientôt et merci.
Roger
Marty,
RépondreSupprimerJe connais ton imaginaire arborescent et j'apprécie tes rêves qui naissent de mes travaux.
J'ai eu la même vision que toi, en voyant cette souche jaillissant de l'eau.
Merci pour te commentaire poétique et amical.
Je t'embrasse,
Roger
Robert,
RépondreSupprimerBienvenue, Robert, depuis la Grèce, sur Le Chemin des Grands Jardins.
Oui, l'informatique et l'électronique prennent beaucoup de place dans l'expression artistique mais il reste encore de la place pour les travaux manuels et leur expression artistique.
Merci pour tes encouragements.
A bientôt,
Roger
Danièle,
RépondreSupprimerVoici des passages et des des silence bien éloquents,je t'en remercie sans pouvoir te rendre ta visite car je ne trouve pas ton blog.
A bientôt.
Amicalement,
Roger
Crissant,
RépondreSupprimerMerci de ta visite amicale.
Belle soirée,
Roger
L'étrange disposition des vignettes a un certain style...
RépondreSupprimerEn tout cas, on reconnaît fort bien la patte "Roger" et ton talent intact.
Amitiés,
séb h.
Seb Haton,
RépondreSupprimerTu retournes le couteau dans la plaie lorsque tu me parles de la disposition des photos qui m'est toujours imposée, sans que je sache pourquoi.
L' important est que cela ne me prive ni de beaucoup de visites, ni de tes commentaires que j'apprécie beaucoup.
Ben amicalement,
Roger
Lara,
RépondreSupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins. J'invite mes lecteurs à découvrir ton talent d'aquarelliste sur ton site.
Belle fin de journée.
Roger
Que de belles images! faire de l'art avec les mêmes éléments que la nature nous donne, et que la nature elle-même est déjà l'art!
RépondreSupprimerle texte, mais je n'ai pas lu, je vais lentement ... convertir les images n'ont pas besoin de traduction)
félicitations pour votre art!
Bonne journée!
Gracias por tu visita y me alegra saber que tegustaran las fotografias de la Catedral. Las tuyas de la naturalea tambien son muy importates de conocelas, asi aprendemos un poco mas de todo aquello que nos rodea
RépondreSupprimerSaludos
Carlos
Rachel,
RépondreSupprimerC'est vrai, nous trouvons en cet art, un langage universel.
Belle journée,
Roger
Diferente, Bienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins, depuis l'Espagne.
RépondreSupprimerJ'ai vraiment fait aussi une belle découverte de ton travail sur ton blog.
A bientôt,
Roger
Diferente
RépondreSupprimerCe commentaire, est juste écrit pour faire ressortir le nom de ton blog et pouvoir s'y connecter,
Roger
♥✿⊱╮
RépondreSupprimerº°♥❤ °º♫
°º✿ Peças artisticamente equilibradas e de imensa beleza!!!
Bom fim de semana!
Beijinhos.
Brasil
º° ✿♥ ♫° ·.
Magia da Inês
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire fleuri et dansant.
Amitiés,
Roger
Roger, vejo que você comentou meu blog, só que EM FRANCÊS, portanto, comentarei em Português.
RépondreSupprimerEu estudo Letras, mas entendo-as como uma forma de arte. E a sua arte é maravilhosa! Talvez as autoridades do Brasil devessem pensar um pouco mais naquilo que querem destruir: o povo, a cultura, toda a arte criada pela natureza...
É bom ver que ainda existem pessoas que se preocupam em conservar a beleza natural da Terra.
Boa noite,
volte sempre...
Ella
Je suis tombé plusieurs fois sur des œuvres "ouvertes", notamment au cap Fréhel, en Bretagne. On s'interroge, sont-ce des enfants qui se sont amusés est la première question...Ma vue photographiquement large en a pris un coup. J'aime.
RépondreSupprimerVotre travail me paraît très intéressant et sensible. Merci pour le partage.
RépondreSupprimerelmer,
RépondreSupprimerCe sont parfois des enfants, mais leurs travaux sont rarement aboutis, parfois et seulement lorsqu'ils sont " guidés"
Roger
Itziar A.Cora
RépondreSupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins, merci pour votre commentaire et à bientôt,
Roger