Ce qui existe un instant, existe toujours.
Norge
J'ai posé les yeux sur un champ de pierres. Le chemin passait par là, qui me rappelait des absents disparus. Leurs voix, je les entendais entre deux roulement de vagues, juste avant la déferle. Notez bien, on n'a pas le droit de dire " la déferle", ni de l'écrire, mais c'est plus simple pour décrire ce moment éphémère et magique.
C'est comme la pratique du land art, on n'a jamais le droit. Les règlements, ils sont partout. Ils ne sont pas faits pour nous inspirer, ils sont là pour nous rappeler la loi.
Remuer des pierres, ça gène et aucune loi n'a jamais dit :" Tu chercheras des pierres et tu les mettras l'une sur l'autre, même si cela est pénible, pour créer de beaux équilibres. Tu les nommeras cairns et tu diras qu'elles sont ainsi disposées, comme le faisaient tes lointains ancêtres, pour honorer tes disparus.
Non, ça n'existe pas une loi comme ça.
Personne ne te diras : Marche plein sud jusqu’au petit lac. Entre dans l'eau et va jusqu'au premier nénuphar dont tu feras le centre de ta prochaine installation.
Les gens, comme on dit, ils tournent autour du lac en famille ou seuls, avec leurs beaux habits et ils te regardent parce que tu as de l'eau jusqu'au ventre. Impossible de savoir à quoi ils pensent.
Alors, de jour en jour, il faut continuer la route, passer sous les frontières de barbelés, sans effrayer les bêtes en pâture, jusqu’à trouver le petit lac au milieu de la forêt domaniale, très au sud de la grande ville. Il faut cueillir, fougères, fleurs, feuilles et baies. Il faut construire avec le tout, un cercle flottant sur les eaux noires et le transformer en gâteau pour les yeux.
Expliquer cela au garde forestier, serait impossible. Les gardes, ils pensent juste à la loi, c'est tout, puisqu'ils sont faits pour ça.
Dans les squares, c'est pareil, bien que je n'y aille pas trop souvent. Il faut cueillir une poignée de pommes rouges, en faire des brochettes, puis un carré sur la margelle en ardoise d'un bassin où nageaient des feuilles mortes. Dans l'absolu, impossible, c'est interdit.
Je vous dis, la vie de land artiste, ce n'est pas fait pour ceux qui traversent dans les clous. C'est vraiment pour ressentir les choses. C'est fait pour sentir, voir, écouter, toucher et goûter la vie au milieu de la nature. C'est d'emmener avec soi tous ceux qui l'ont quittée. C'est chanter la vie, simplement ça, chanter la vie libre dans la brume naissante qui un jour ou l'autre remonte de la mer pour effacer les falaises à suicide.
J'ai repris la route vers les côtes, avec en tête cette phrase de Norge :
" Tout ce qui existe un instant existe toujours".
Mais alors, mes souvenirs...
Roger Dautais
à Myriam Montoya
Ne rien regretter
Ni le gel, ni le sol rugueux
Ni le dos cassé au travail
Se courber seulement,
Devant la Nature.
Roger Dautais
D'autres poèmes dans l'Anthologie subjective de Guy Allix
guyallix.art.officelive.com/
C'est comme la pratique du land art, on n'a jamais le droit. Les règlements, ils sont partout. Ils ne sont pas faits pour nous inspirer, ils sont là pour nous rappeler la loi.
Remuer des pierres, ça gène et aucune loi n'a jamais dit :" Tu chercheras des pierres et tu les mettras l'une sur l'autre, même si cela est pénible, pour créer de beaux équilibres. Tu les nommeras cairns et tu diras qu'elles sont ainsi disposées, comme le faisaient tes lointains ancêtres, pour honorer tes disparus.
Non, ça n'existe pas une loi comme ça.
Personne ne te diras : Marche plein sud jusqu’au petit lac. Entre dans l'eau et va jusqu'au premier nénuphar dont tu feras le centre de ta prochaine installation.
Les gens, comme on dit, ils tournent autour du lac en famille ou seuls, avec leurs beaux habits et ils te regardent parce que tu as de l'eau jusqu'au ventre. Impossible de savoir à quoi ils pensent.
Alors, de jour en jour, il faut continuer la route, passer sous les frontières de barbelés, sans effrayer les bêtes en pâture, jusqu’à trouver le petit lac au milieu de la forêt domaniale, très au sud de la grande ville. Il faut cueillir, fougères, fleurs, feuilles et baies. Il faut construire avec le tout, un cercle flottant sur les eaux noires et le transformer en gâteau pour les yeux.
Expliquer cela au garde forestier, serait impossible. Les gardes, ils pensent juste à la loi, c'est tout, puisqu'ils sont faits pour ça.
Dans les squares, c'est pareil, bien que je n'y aille pas trop souvent. Il faut cueillir une poignée de pommes rouges, en faire des brochettes, puis un carré sur la margelle en ardoise d'un bassin où nageaient des feuilles mortes. Dans l'absolu, impossible, c'est interdit.
Je vous dis, la vie de land artiste, ce n'est pas fait pour ceux qui traversent dans les clous. C'est vraiment pour ressentir les choses. C'est fait pour sentir, voir, écouter, toucher et goûter la vie au milieu de la nature. C'est d'emmener avec soi tous ceux qui l'ont quittée. C'est chanter la vie, simplement ça, chanter la vie libre dans la brume naissante qui un jour ou l'autre remonte de la mer pour effacer les falaises à suicide.
J'ai repris la route vers les côtes, avec en tête cette phrase de Norge :
" Tout ce qui existe un instant existe toujours".
Mais alors, mes souvenirs...
Roger Dautais
à Myriam Montoya
Ne rien regretter
Ni le gel, ni le sol rugueux
Ni le dos cassé au travail
Se courber seulement,
Devant la Nature.
Roger Dautais
D'autres poèmes dans l'Anthologie subjective de Guy Allix
guyallix.art.officelive.com/
Si j'ai bien compris ceux qui ont érigés les pierres de Carnac et les cairn gigantesques baie du Morbihan sont des délinquants.
RépondreSupprimerIl n'a fallut que 5000 ans pour s'en apercevoir.
Le mot est fort. Pour ma part, je me vis comme un artiste libre. Nous sommes quelques-uns comme ça dans le monde. Mais je reconnais bien là ton humour tintinesque. Nul doute que si le Capitaine Haddock avait vécu aujourd'hui, je pense qu'il aurait vite rejoint nos rangs.
RépondreSupprimerSa conduite de vie est plutôt sinueuse et je ne sais pas comment il aurait fait pour échapper aux hommes de loi de tout poil. Heureusement, il nous reste l'humour et il m'en faut pour te lire, car je suis Breton et admirateur de mes lointains ancêtres.
Kenavo
Roger
La vie de land artiste sera difficile... mais pleine de beauté et de liberté toujours près de la nature.
RépondreSupprimerBonne semaine, Roger.
You know the art to give us a new astonishment at any new item.
RépondreSupprimer___G_R_E_A_T_E_S_T___!____
Maria Emilia Moreira,
RépondreSupprimerC'est une vie qui demande quelques sacrifices, mais cette liberté là, en vaut le coup.
Merci pour ton passage,ici.
Bonne semaine à toi également,
Bien amicalement,
Roger
Pillandia,
RépondreSupprimerC'est une belle reconnaissance. Merci pour tes mots d'encouragement,
Roger
Oui Roger il vaut mieux en rire et en rire à l’extrême. Je viens de découvrir la Bretagne et j'adhère avec toi pour les ancêtres bretons. J'ignorais que l'on ne pouvait toucher aux pierres. Chez moi au bord de la Méditerranée on fait des châteaux de sables avec des galets, on renverse les pierres pour trouver des vers pour la pêche etc etc depuis toujours. Dois-je aller directement en prison ou est ce que je peux attendre un peu?
RépondreSupprimerOn peu contrôler les abus mais il est absurde que l'on ne puisse toucher aux pierres
Ce qu'on voit de beauté une fois nous habite pour toujours...
RépondreSupprimerPeut-être que Norge aurait pu le dire?
Merci à vous de ces dons.
Tus caminos dibujan la Isla Misteriosa. Un abrazo.
RépondreSupprimerLa beaute fragile de l'ephemere...
RépondreSupprimerDéfier les lois... de l'équilibre comme sur la dernière photo... dans une telle beauté d'expression, de sensations de légèreté, et en toute liberté... Quelle vie !
RépondreSupprimerJe reste toujours admirative.
J'aime aussi la deuxième composition où s'intègre parfaitement la création au point de tromper l'oeil.
Et puis j'aime...
beautiful!
RépondreSupprimerOui des gateaux pour les yeux avec tout plein d'ingredients bien simples mais si beaux lorsque rassembles et assembles dans l'harmonie.
RépondreSupprimer"Ce qui existe un instant existe toujours" a évoqué pour moi Guillaume Musso :
RépondreSupprimer"Et dans un dernier souffle, je comprends tout: que le temps n'existe pas, que la vie est notre seul bien, qu'il ne faut pas la mépriser, que nous sommes tous liés, et que l'essentiel nous échappera toujours."
Très belle journée, Roger !
Norma
J'aime aussi cueillir quelques galets en bord de mer, pour les caresser plus tard, dans mes montagnes aux pierres plus rugueuses ... mais j'ai vu cette année des écriteaux indiquant que c'était punissable ! Douce transgression ...
RépondreSupprimerlas hojas con el color del otoño. qué más se puede ofrecer?
RépondreSupprimerBeautiful composition! A meticulous hard work, with fantastic results! Compliments!
RépondreSupprimerDe nuevo por su espacio en busca de más belleza que llevar...
RépondreSupprimerPreciosas fotos, de veras.
Un saludo,
Db.
Bow before the amazing art you, my dear friend Roger!!!!
RépondreSupprimerI love so much nature and your own projects I very much appreciate!
Thanks very much to love Greece and my blog!
And I will give to your own blog to my Greek friends.
Continued, the wonderful work you, make a report, you deserve the best!!!!
many greetings
With appreciation and friendship
caphadoc,
RépondreSupprimerLors des grandes marées, de milliers de pierres sont tournées retournées pendant 2 ou trois jours, un vrai ravage.. Que représente un cairn avec ses 10 pierres que la marée abattra quelques heures après ? En treize années de pratique, je n'ai pas été une seule fois verbalisé, mais ça peut venir. J'ai toujours pris mes responsabilités et parfois négocié en expliquant ma démarche, jusqu'ici, toujours comprise mais le risque est réel.
Bonne journée à toi,
Roger
chri,
RépondreSupprimerEn effet, il aurait pu écrire cette phrase.
Merci de votre visite.
Roger
La Isla Misteriosa,
RépondreSupprimerNos attirances sont parfois mystérieuses même pour nous.
Bonne journée,
Roger
DeeBee L.
RépondreSupprimerC'est vrai, cette fragilité dans le temps rend la réalisation plus proche de la spontanéité, et le geste plus nourri par cette vie éphémère.
Merci de ton passage.
Roger
Leeloo,
RépondreSupprimerParfois, les installations semblent si proches de la réalité qu'elles donnent l'impression d'avoir toujours été là. C'est une satisfaction d’arriver à cela.
Belle journée,
Roger
Jay,
RépondreSupprimerMerci de ton commentaire, ici,
Roger
Thérèse,
RépondreSupprimerBien que facile à réaliser, j'ai eu beaucoup de mal à mettre en place cette installation flottante dont les fougères se dégrafaient sans arrêt.
Merci pour ton commentaire,
Roger
Norma,
RépondreSupprimerSi nous pouvions tous avoir cette sagesse !
Belle journée.
Avec mon amitié,
Roger
Gine,
RépondreSupprimerDu moment que tu ne voies pas les montagnes pencher et la mer s'enfuir à l'horizon, tu peux continuer ce geste de cueillir tes petites pierres et galets pour ton plaisir.
Belle journée,Amicalement,
Roger
Magda,
RépondreSupprimerLorsque j'étais enfant puis adolescent, j'étudiais le Grec dont L'alphabet me fascinait à tel point qu'il m'arrive encore d'écrire en Grec dans mes installations sur les plages. Votre civilisation est aussi sur le plan culturel, très connue des Français.
Merci de votre passage ici et votre chaleureux comentaire.
Belle journée à vous.
Avec mon amitié.
Roger
Camino Roque,
RépondreSupprimerMerci de ton commentaire. A plus tard pour d'autres travaux avec feuilles d'automne, si l'inspiration me vient.
Amicalement,
Roger
Florena.
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire. Existe-t-il des land artistes en Roumanie ?
Belle journée,
Roger
David B.Bustos,
RépondreSupprimerMerci David et à bientôt sur ton blog.
Roger
Bonjour Roger
RépondreSupprimerJ'ai savouré ton texte, je l'ai lu avec délectation, je lui trouve une saveur de Saint-Exupéry, et j'ai marché à ta suite sur la plage, dans le square et en direction du lac, j'y ai mouillé mes chaussures pour admirer au plus près le splendide nymphéa... Belle promenade dans le Land Art... Merci Roger.
Oooooh, vraiment beaux vos chemins!
RépondreSupprimerbSoS.
Εχω μείνει άφωνη κοιτάζοντας το blog σου!!!!
RépondreSupprimerΚαταπληκτικός!!!!!!
Δεν ξέρω τι άλλο να πω,τα λόγια μου είναι τόσο φτωχά,μπροστά στο μεγαλείο της δουλειάς σου!!!!
Roger,bonsoir à toi.Merci pour ton très gentil message. C'est une chanson,mai avant tout un cri poétique d'Amour,de vie,de passion.Selon,aujourd'hui ,il est difficile de trouver quelqu'un capable à s'exprimer de cette façon-ci.Dommage.Ma belle Italie...qui chaque jour se laisse un peu mourir...
RépondreSupprimerEst-ce que tu as vu le nouveau film de Woody Allen "Midnight in Paris"? C'est merveilleux.A' bientot.Mariangela
cada vez más y más difícil, pero siempre lo consigues, eres extraordinario!!!
RépondreSupprimerun abrazo,
Elena
Il y a quelques choses de beau dans ce que tu fait !
RépondreSupprimerHello Roger! I always enjoy your artful creations from nature. Lovely! Happy Holidays, my friend. :)
RépondreSupprimerOh, que j'aimerais participer à ce voyage, ne fut-ce qu'une fois, ne pas voir les lois et leurs clous, ne pas regarder ce que tout le monde regarde ou le regarder à sa façon, prendre ces choses de nature dans les mains et en faire des montagnes, des rochers, des fleurs ...
RépondreSupprimer"Quand je suis triste, je regarde autour de moi avec des yeux rajeunis.
Je découvre les rides des paysages et les vallons dans les visages.
J’écoute des voix connues et je lis sur les lèvres de ceux qui chuchotent en silence"
"Je ne sais pas de quoi demain sera fait.
Peut-être de nouvelles rencontres qui ne prêteront pas à confusion, juste un moment agréable, juste l’instant présent.
Juste taire le hasard qui brouille les pistes et favoriser celui qui crée diversion …"
(http://saravati.blogspot.com/2011/12/je-ne-sais-de-quoi-demain-sera-fait.html#comment-form)
Je rejoins ton texte et imagine les odeurs qui se dégagent de tes superbes créations !
Merci à toi de prolonger les saisons !
Tout est interdit aujourd'hui. De plus en plus.
RépondreSupprimerHeureusement il existe des gens pour enfreindre les "lois" et d'autres pour ne pas s'en préoccuper. Des êtres libres. Des photographes, des artistes et des poètes. Et toi, qui es tout cela à la fois.
araucaria,
RépondreSupprimerDe Saint Saint-Exupéry, je garde en moi l'émotion de lecture du Petit Prince.
Merci pour tes mots d’encouragement.
Amitiés.
Roger
Sole,
RépondreSupprimerMerci, il faudra y revenir.
à bientôt,
Roger
Bob Bushell,
RépondreSupprimerMerci Bob, et bonne soirée.
A bientôt,
Roger
Rena
RépondreSupprimerJe suis resté bouche bée en regardant votre blog!
Incroyable !!!!!!
Je ne sais pas quoi dire d'autre, mes paroles sont si pauvres, en face de la grandeur de votre travail!
J'ai traduit le texte en Grec de Rena
Merci Rena.
Je n'ai jamais le sentiment de grandeur en travaillant sur mes installations, mais je respecte ton émotion.
J'espère te revoir, ici.
Bien amicalement,
Roger
Mariangela Imbrenda,
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire. C'est vrai que la chanson de Jacques Brel présentée sur ton blog, est une des plus belles de ce grand auteur compositeur interprète.
Je n'ai pas encore vu le film de Woody Allen.
Meilleures santé à l'Italie...Un si beau pays.
Roger
Bicocacolors
RépondreSupprimerNon, un homme ordinaire, rarement satisfait et toujours en recherche dans ce difficile chemin du land art.
Merci pour ce chaleureux compliment.
Je t'embrasse,
Roger
Carol Proulx
RépondreSupprimerBeaucoup le disent et pourtant, je doute tellement.
Merci à toi et à bientôt,
Roger
Nancy A Rural Journal,
RépondreSupprimerLorsque je t'imagine dans tes grands espaces Américains, parmi tes chevaux, j'avoue que je rêve. Pourtant, je pense que tu dois avoir aussi tes difficultés de vie et je te remercie de prendre un peu de ton temps pour me donner ton avis sur le Land Art.
0 bientôt.
Je t'embrasse amicalement.
Roger
Saravati,
RépondreSupprimerJe pense que pour le Land Art, il faut mettre de côté tous ces détails dont je parle dans mon texte, et prendre quelques risques.
J'ai initié beaucoup de personnes et n'ai pas eu la même chance. Si tu le sens, pratique le land art.
Mon apprentissage, je l'ai fait seul. Je te dirai que je me sens si souvent apprenti dans la grande Nature, considérant que je n'ai pas encore fait grand chose. On est plus léger comme cela.
Ton texte st très beau et je vais aller lire la suite sur ton blog.
Bien amicalement,
Roger
Pasetelle.
RépondreSupprimerC'est exactement ce que je pense. Je ne me considère absolument pas comme un délinquant, mais comme un artiste, près à s'expliquer avec le propriétaire des lieux( et ça marche) et partir de là, si l'on ne trouve pas un terrain d'entente.
Merci pour ton commentaire et belle soirée à toi.
Roger
Excelente, es un autentico estudio sobre la geometría de las cosas.
RépondreSupprimersaludos
Roger, j'aime vraiment beaucoup ce que vous faites : oui chanter la vie... à l'air libre !
RépondreSupprimerBonsoir Roger, voici que sur le sable les vagues font des fleurs que le vent pousse; chacun sur cette terre pose sa pierre que la vie taille; que nous importent les déçus,que nous importent les dessous et si l'enfer est pavé de bonnes intentions, sous nos pas vont les plages. J'ai aimé le dialogue avec le Capitaine et ami Caphadock; tes dernières images sont superbes:amicalement, thibault
RépondreSupprimerRogerさん、こんにちわ。
RépondreSupprimer石は重ねられると、不思議な力を発散するように見えます。
そして、石と花との組み合わせは、神秘的です。
静と動。
あなたのコメントありがとうございました。
Have happy holidays for you and yours.
Greetings.
Merci, Du Japon
Paco,
RépondreSupprimerBienvenue sur le Chemin des Grands Jardins.
Merci pour ton commentaire et à bientôt,
Roger
Mabes,
RépondreSupprimerMerci et belle journée à vous.
Amicalement,
Roger
Thige,
RépondreSupprimerOui, à propos de cet échange, je me devais d'au moins lui répondre ça, tout en étant correct. Parfois, il y a des propos impossibles à publier et pourtant, j'ai les idées larges !
Merci d'avoir quitté ton fleuve un instant, pour ce beau commentaire.
Bien amicalement,
Roger
Maintenant, une parole actuelle
RépondreSupprimerTraduction :
M.Roger, Bonjour.
Et ces pierres superposées semblent dégager une force mystérieuse
Et la combinaison fleurs-pierres, reste mystérieuse : statique et dynamique.
Merci pour votre commentaire
Cher nouveau correspondant Japonnais,
bienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins et merci pour ce commentaire encourageant.
Bien amicalement,
Roger
Kleine Kunstwerke in der Landschaft...
RépondreSupprimerHerzliche Grüße aus Berlin,
Uwe-Jens
Beautiful pictures! Ti seguo da Roma, Italia, complimenti e tanti auguri.
RépondreSupprimerBelle soirée, Roger
RépondreSupprimerC'est une grande beauté, et oui, aussi une profonde sagesse dans tes œuvres. Le travail avec les pierres me toucha le plus.
Bien amicalement,
isabella
Estupendas composiciones y detalles.
RépondreSupprimerSaludos.
Merci pour ce joli partage de toute beauté et beaucoup de sérénité...
RépondreSupprimerDouce journée .
Zeder,
RépondreSupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins, merci et à bientôt.
Roger
Francesca,
RépondreSupprimerBienvenue Francesca, depuis ta Sicile natale. Merci pour ton commentaire. Belle journée,
Roger
Veredit,
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire et à très bientôt sur ton blog.
Amicalement,
Roger
Jesus,
RépondreSupprimerC'est ainsi que je conçois la pratique du land art.
Bel après-midi et à bientôt, Jesus,
Roger
c'est beau!
RépondreSupprimervous pouvez aller a nôtre blog pour salutations et comentaries. Merci.
Je suis d'un pays de la pierre. L'Ile Grande, que ça s'appelle. Ce n'est plus une île mais le vent est si fort en hiver que les centaines de petits cairns en galets de granite ont du mal à rester debout. Peu importe. " Ce qui existe un instant... ". C'est pourquoi je suis sensible à ton travail mais tes actions légères sur les végétaux m'enchantent également. Ne prends quand même pas trop de risques...
RépondreSupprimerpenyabogard,
RépondreSupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins et merci pour ton commentaire. Promis,j'irai sur ton blog.
Bonne soirée,
Roger
Heffe,
RépondreSupprimerJe connais l'Ile Grande Très beaux paysages par chez toi. Pour les cairns, t'en fais pas, ils remonteront un de ces jours pour enchanter ton paysage.
Belle soirée,
Bien amicalement,
Roger
J'aime tout, je peux choisir, ou tout le monde j'aime la 660, plus une belle composition a une grande palette de couleurs. Salutations.
RépondreSupprimerquand je regarde la première image, je vois une maman et son enfant qui regardent la mer ! elles sont vivantes ! quand je regarde la falaise que tu as harmonieusement décorée, je vois des visages partout !! c'est grave docteur ???
RépondreSupprimersi on interdisait l'interdit, le "il faut punir les coupables" ne ferait plus partie du vocabulaire ! on ferait de l'éphémère et du dérisoire en toute liberté parce que si on n'a plus ça, on n'a plus rien !!!
Roger, je te souhaite un joyeux noël et de finir l'année en beauté !
bisous à toi
Roger, votre espace me donne tranquillité d'esprit...
RépondreSupprimerJe viens à vous remercier pour votre présence dans mon océan, la force de votres mots, c'est très important pour moi, aidez-moi à «grandir».
Je vous souhaite un Joyeux Noël et une excellente 2012!
oa.s [cecilia]
Merci de partager avec nous :-)
RépondreSupprimerLeovi,
RépondreSupprimerMerci. J'avais la même sensation que toi dans cet environnement gris et froid qui ressemblait déjà à l'hiver, en jouant avec cette palette de couleurs se refusant de quitter l'automne.
Roger
Marty,
RépondreSupprimerlaissons au moins à la création de prendre toutes les libertés et à notre esprit, le droit de s'en servir pour" vagabonder sans limites. Merci à toi pour tes vœux de fin d'année. Je passerai sur ton blog pour t'offrir les miens.
Je t'embrasse,
Roger
OceanoAzul Sonhos
RépondreSupprimerMerci,Cécilia, pour ce commentaire qui me touche beaucoup.Merci pour tes vœux et reçois les miens en retour. Je suis heureux d'annoncer à mes lecteurs, la parution récente de ton dernier livre dont tu nous parlais. Son titre ÂMBAR ET MEL.
Je souhaite que ce livre reçoive un succès à la hauteur de ton talent.
Je t'embrasse amicalement.
Roger
ANYES
RépondreSupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins et merci pour ton commentaire.
Roger
Roger,
RépondreSupprimerJ'espère que votre nouvelle année est pleine de bonnes surprises,
beaucoup d'art et de grandes réalisations!
remercie de la présence, de soutien et d'amitié! un câlin réel!
Je vous découvre, votre parole est libératrice. Votre art en accord avec vos paroles.Merci.
RépondreSupprimerDenise Scaramai
RépondreSupprimerMerci Denise pour ces bons vœux. Je suis allé sur votre blog pour vous répondre plus longuement.
Amitiés,
Roger
Marina,
RépondreSupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins où j'espère vous revoir bientôt. Avez-vous un blog ?
Belle année à vous.
Roger
Roger, finally feel I'm back in rhythm from my holiday, and it's good to be writing you. Wanted to compliment you on the cairns. There's beauty in art that may last a thousand years or tumble into randomness tomorrow.. Kevin
RépondreSupprimerRoger, merci pour votre gentillesse, toujours ...
RépondreSupprimercvb