Avant d'oublier de respirer...
Parfois, j'ai eu la drôle d'impression d'être entré par effraction dans cette immensité. Mes yeux n'avaient pas suffi à comprendre où j'étais et ce qui m'attendait. Par deux fois, m'a-t-on dit, javais tenté de passer la tête au travers des barreaux du lit de fer, puis j'avais renoncé. Quand il m'avait pris par les pieds et suspendu à bout de bras comme un lapin sanguinolent,j'avais poussé un cri. A partir de cet instant, il me restait à vivre. J'en suis resté à peu près là, pas tout a fait éveillé, tâtonnant dans la grande Nature et cherchant ma positon dans l'espace.
Mille fois, dans ce voyage, la lumière faillit s'éteindre et ma boussole rien d'autre qu'un pitoyable spectacle m'entrainant dans le fin fond des abîmes.
D'apnées en hésitations, de respirations en pauses, j'ai gravi le chemin. Mon corps se prêtait aux travaux les plus durs. J'ai bêché, retourné, creusé, ensemencé la terre, comme un paysan. J'ai pleuré sur mes mains trop petites et mes bras grêles qui n'étaient pas faits pour ça. Mon dos s'est cassé sous la charge. J'ai trimardé, trimballé, porté beaucoup trop lourd, pendant de trop longues années. J'étais aspiré par le lupem-prolétariat et je ne voyais plus le jour. C'était écrit dès ma naissance, il faudrait gravir tout le temps ce chemin de vie, dans la peine.
J'ai tiré le grand rideau qui occultait une nature sublime. J'y suis entré , aveuglé par tant de beauté. Je m'y suis perdu.
Les horizons se succédaient. Le sables des déserts m'appelaient pour des marches sans fin sous un soleil harassant. Les chemins de montagne et les sentes rocailleuses m'inspiraient des cairns sauvages. Le plages Maghrébines me dictaient des pages d'écriture à même le sable, et des spirales géantes.
Mais la solution n'était pas à ma portée, ni dans la peinture, n i dans la sculpture, ni dans le land art, ni dans l'écriture.
La solution était dans le voyage permanent qu'il me fallait poursuivre, inventer, encore et encore, sous peine de perdre la respiration, le souffle, la vie.
Je ne sais pas si elle viendra de gauche ou de droite, si elle frappera à la tête, ou m'attrapera par les pieds, la camarde. Ce que je sais, ce que je vois, ce que j'entends, c'est toute sa litanie de mots mielleux. Ils ne sont prononcés que pour tendre le piège, pour me ramener au départ. Franchir, le miroir, je l'avais voulu, puis j'en étais revenu par miracle, mais maintenant que le probable, le certain même, approchait, qu'il était là, avec la vieillesse programmée, en cadeau, je n'avais plus envie de partir avant l'heure.
Quitter cette bande de petits cons merdeux, rivés à leurs places, à leurs diplômes à leur carrière, bien au chaud, faisant la pluie et le beau temps, ne serait pas bien difficile. S'il n'y avait qu'eux !
Oublier que le parcours n'aurait été que parallèle, vécu dans les chemins de traverse, avec des fortunes de mer, derrière des hauts murs, parmi les cris et sans grande reconnaissance, ne serait pas impossible. Mais ne plus voir tes yeux bleus qui avaient tout connu, tant pleuré, tant aimé, ne rentrait pas dans le domaine du possible.
Je ne sais s'il me reste un seul jour ou dix mille jours à vivre. Je ne sais si je marche dans la bonne direction. Je ne sais si mes yeux verrons la lumière jusqu'au grand départ. Ce que je sais, c'est que je t'aime mieux qu'au premier jour et veux t'emmener aussi loin que mes forces le pourront.
Demain est inscrit dans les pierres, le sable, la terre, le feu, l'eau et le vent. Demain est complainte le soir et parole d'amour au petit matin.
Demain, tu le vois là-bas. Le soleil levant, il est pour toi, mon amour...Cadeau à la vie à la mort.
Mille fois, dans ce voyage, la lumière faillit s'éteindre et ma boussole rien d'autre qu'un pitoyable spectacle m'entrainant dans le fin fond des abîmes.
D'apnées en hésitations, de respirations en pauses, j'ai gravi le chemin. Mon corps se prêtait aux travaux les plus durs. J'ai bêché, retourné, creusé, ensemencé la terre, comme un paysan. J'ai pleuré sur mes mains trop petites et mes bras grêles qui n'étaient pas faits pour ça. Mon dos s'est cassé sous la charge. J'ai trimardé, trimballé, porté beaucoup trop lourd, pendant de trop longues années. J'étais aspiré par le lupem-prolétariat et je ne voyais plus le jour. C'était écrit dès ma naissance, il faudrait gravir tout le temps ce chemin de vie, dans la peine.
J'ai tiré le grand rideau qui occultait une nature sublime. J'y suis entré , aveuglé par tant de beauté. Je m'y suis perdu.
Les horizons se succédaient. Le sables des déserts m'appelaient pour des marches sans fin sous un soleil harassant. Les chemins de montagne et les sentes rocailleuses m'inspiraient des cairns sauvages. Le plages Maghrébines me dictaient des pages d'écriture à même le sable, et des spirales géantes.
Mais la solution n'était pas à ma portée, ni dans la peinture, n i dans la sculpture, ni dans le land art, ni dans l'écriture.
La solution était dans le voyage permanent qu'il me fallait poursuivre, inventer, encore et encore, sous peine de perdre la respiration, le souffle, la vie.
Je ne sais pas si elle viendra de gauche ou de droite, si elle frappera à la tête, ou m'attrapera par les pieds, la camarde. Ce que je sais, ce que je vois, ce que j'entends, c'est toute sa litanie de mots mielleux. Ils ne sont prononcés que pour tendre le piège, pour me ramener au départ. Franchir, le miroir, je l'avais voulu, puis j'en étais revenu par miracle, mais maintenant que le probable, le certain même, approchait, qu'il était là, avec la vieillesse programmée, en cadeau, je n'avais plus envie de partir avant l'heure.
Quitter cette bande de petits cons merdeux, rivés à leurs places, à leurs diplômes à leur carrière, bien au chaud, faisant la pluie et le beau temps, ne serait pas bien difficile. S'il n'y avait qu'eux !
Oublier que le parcours n'aurait été que parallèle, vécu dans les chemins de traverse, avec des fortunes de mer, derrière des hauts murs, parmi les cris et sans grande reconnaissance, ne serait pas impossible. Mais ne plus voir tes yeux bleus qui avaient tout connu, tant pleuré, tant aimé, ne rentrait pas dans le domaine du possible.
Je ne sais s'il me reste un seul jour ou dix mille jours à vivre. Je ne sais si je marche dans la bonne direction. Je ne sais si mes yeux verrons la lumière jusqu'au grand départ. Ce que je sais, c'est que je t'aime mieux qu'au premier jour et veux t'emmener aussi loin que mes forces le pourront.
Demain est inscrit dans les pierres, le sable, la terre, le feu, l'eau et le vent. Demain est complainte le soir et parole d'amour au petit matin.
Demain, tu le vois là-bas. Le soleil levant, il est pour toi, mon amour...Cadeau à la vie à la mort.
Roger Dautais
Le Chemin des Grands Jardins. 31 Juillet 2010
La spirale présentée ici a été réalisé ce matin sur la plage de Ouistreham, en Basse Normandie, à marée montante. Circonférence : 45 mètres environ.
Démunis
Le moment : l'aube, ou lorsque l'obscurité brille
L'espace: la porte interdite de ta demeure
Je sais Il n'y a plus d'autre temps
Que celui-ci Plus d'autre espace
Que celui-ci
Moi L'égaré pendant que ma propre
Mort me sert de guide
Moi Le mendiant
Je déploie mon tapis de prière devant ta porte
J'appelle tes mains
Et les choses disparues
Et les heures soudaines perdues
J'appelle la lumière la liberté
J'appelle les mots que jamais
Ne seront au rendez-vous.
Refîq Sabir ( 1950 Kurdistan )
Je me suis roulée dans les spirales du temps celui qui s'écoule du sablier ramené du Maghreb, j'ai rit dans le vent qui à décoiffé ses cheveux, j'ai pleuré que tu ne partes trop tôt...j'étais là avec vous...pardon.
RépondreSupprimerLes spirales de la vie plus magnifiques
RépondreSupprimerles unes que les autres ! et des mots où on s'accroche sans pouvoir les lâcher ! je te souhaite une belle spirale pour toujours !
bon 1er dimanche d'Août !!!
Ce billet est magnifique Roger, avec ce poème superbe et ces images où passe un souffle de vent, ça forme un ensemble très homogène, dense, lourd de son propre poids de dire. J'aime particulièrement la spirale bleue.
RépondreSupprimer""MERCI""
RépondreSupprimerROGER,
excellent dimanche a toi.......
Sérénité
RépondreSupprimerMerci de ton commentaire et bel été à toi aussi,
Roger
Marty,
RépondreSupprimerJ'espère de tout cœur que ton souhait se réalisera.
Merci pour ton commentaire.
Roger
r
anne des ocreries,
RépondreSupprimerMerci pour tes mots d'encouragement et belle journée à toi.
Roger
Claire,
RépondreSupprimerMerci et à bientôt. Bon Dimanche,
Roger
Billet touchant et magnifique
RépondreSupprimermerci Roger
Je ne sais pas si c'est le texte qui est tellement poignant, ou les œuvres éphémères proposées à l'avidité de mon oeil affamé de nouveauté qui me font cela, mais je suis émue.
RépondreSupprimerRhââââ ! Je ne vais pas pleurer à chaque fois que je viens, quand même !
Ben si, on dirait bien.
Vous écrivez l'amour de la vie comme personne, Ami.
Beaucoup de sensibilité comme toujours, dans ce billet qui fait particulièrement écho en moi.
RépondreSupprimerSimplement, avant demain, il y a aujourd'hui...
Que ce soit un aujourd'hui merveilleux, Roger !
Norma
Merci pour cette poésie trés touchante accompagnée de superbes photos ...
RépondreSupprimerBisous et douce journée .
Thérèse .
Tsuki,
RépondreSupprimerJe ne sais pas quoi répondre à ce très beau commentaire, sinon que je suis, mi aussi touché par tes mots.
Merci et bon Dimanche.
Roger
norma c
RépondreSupprimerC'est vrai, carpe diem!
Merci et à bientôt sur ton blog,
Roger
MAGNIFIQUE !
RépondreSupprimerRoger, Bonjour.
RépondreSupprimerJ'ai lu jusqu'aux larmes d'amertume et de bonheur mélangès.
J'ai vu ce que j'ai lu.
Je suis très ému, Roger.
Car ce que tu ressene est une spirale infinie dans laquelle je m'engouffre complètement.
Merci beaucoup.
Tu es mon frère.
ton blog est un havre de paix,merci ;O)
RépondreSupprimerEt voilà encore une fois,en plein coeur....respirer à fond la VIE....Un moment hors du temps que j'aime m'offrir en suivant tes pas.Merci et bonne semaine Roger.
RépondreSupprimerP.S. Quel plaisir aussi de lire les commentaires
plein de larmes dans les yeux..submergée par une puissante émotion..
RépondreSupprimerje suis heureuse de vous rencontrer...
Bonjour Roger, solidaire infiniment, à bientôt
RépondreSupprimerL'Amour comme une spirale qui n'a jamais de fin, l'eternel recommencement comme ce souffle qui doit continuer de porter en vie. Et envie.
RépondreSupprimerCe billet encore est magnifique. Merci.
JAVAH !
RépondreSupprimerSalut à toi et merci.
Roger
ARTEMISIA
RépondreSupprimerTon blog vaut ce compliment, aussi.
Merci
Roger
Herbert,
RépondreSupprimerTu reviens de ce voyage, toujours aussi chaleureux et fraternel dans tes commentaires. Je t'en remercie.
Roger
Nefertiti,
RépondreSupprimerIl faut que tu me le dise pour que je puisse y croire. Très difficile de s'évaluer.
Merci,
Amicalement,
Roger
Merveille que l'amour qui s'amplifie comme ces spirales se déploient, de façon inattendue et pourtant inéluctable, merveille que cet appétit de vivre qui s'inscrit sur les grèves et sur le sable, fragile et pourtant inébranlable. Qu'il est beau de le montrer, qu'il est bon de le dire, et pour nous, tes visiteurs Roger, qu'il est doux de le partager
RépondreSupprimerClaire Fo, Je suis toujours heureux de lire des commentaires en provenance du Québec, un pays que j'aime tant.
RépondreSupprimerMerci de tes mots d'encouragement.
Roger
clo,
RépondreSupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins et merci de votre commentaire plein d'émotion. J'irai découvrir votre blog, prochainement.
Bon Dimanche
Roger
thige,
RépondreSupprimerMerci de ton passage, ici et bonne semaine.
Roger
Beauté, gravité, douleur, espérance ... Il y a tout cela dans la naissance, celle du petit d'homme ou celle du soleil ... Parce que nul ne sait de quoi sera fait ce jour, ni le suivant, ni la vie ... Carpe Diem est mon chemin ...
RépondreSupprimerQue chaque matin te soit bonheur, Roger...
A bientôt,
Bises.
NiNa-Lou
NiNa-Lou,
RépondreSupprimerJe prends ton vœu à la lettre. Fasse qu'il se réalise.
Merci pour ton beau commentaire,
Je t'embrasse,
Roger
Tu m'as fait l'honneur, un jour, d'entrouvrir la porte de ton passé et de me laisser y jeter un œil...
RépondreSupprimerJe lis aujourd'hui tes belles lignes et je découvres des spirales invisibles entre les lignes.
Tes spirales visibles sont magnifiques!
Je respire avec vous ce soir dans ces images qui ont tant vécu et j'en avais besoin
RépondreSupprimermerci infiniment Roger pour cette beauté toujours fidèle
belle inspiration, bravo et merci de le partager
RépondreSupprimerVos oeuvres et vos photos sont si belles. Une grande pureté, beaucoup de douceur. Merci.
RépondreSupprimerLa plage de Ouistreham, irais-je admirer ces oeuvres admirable en vrai???
RépondreSupprimerMais il n'y aura pas les mots, ces mots qui sentent bon la vie, l'amour de la vie et la magie de l'amour...
Un beau billet qui résonne au fond de nos coeur
Merci Roger de nous faire rêver!
A bientôt
Roger, Merci...
RépondreSupprimerTendrement, sincèrement, merci...
Les larmes sont montées...
Le coeur a grossit...
Tant de beauté...
Merci ...
Bonjour Roger, je découvre votre blog dont la beauté des images et leur souffle de vie transporte vers un grand repos ‘’une zenitude’’. Puis parcourant la lecture l’émotion est si grande que je referme la page les larmes au bord des yeux.
RépondreSupprimerJe vous souhaite que l’écriture allège vos lourdes charges que sont les peines des plus faibles, merci pour eux.
Epamin'
RépondreSupprimerTu es une des rares à avoir ces confidences. Je ne regrette rien, elle devaient se transformer en amitié.
Roger
Brigitte Maillard,
RépondreSupprimerJ'étais ce matin à l'écoute de Radio Alligre et de votre invitée, Antoinette Rouvroy. Encore un grand moment passé à écouter votre interview. Merci et à bientôt,
Roger
Enitram,
RépondreSupprimerOui, sur la plage de Ouistreham ou sur une autre plage, mais avec simplement le murmure de la mer.
Bonne soirée
Roger
Dominique,
RépondreSupprimerLorsque l'émotion s'empare de nous, il faut la vivre pleinement. C'est le signe qu'elle aura touché quelque chose d'essentiel en nous.
Tu parles de valider, dans ton blog. Je te renvoie à la définition de Naomie Foeil, une Canadienne comme toi, que tu découvriras avec un sens nouveau.
Très amicalement,
Roger
Elfine,
RépondreSupprimerBonsoir et bienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins, que j'espère vous viendrez parcourir à vos temps perdues et parce que on n'y pleure pas tout le temps.
A bientôt,
Roger
Maravilhosa como sempre...
RépondreSupprimerParabens...
Abraços querido amigo :0
Estoy maravillada con tu obra, son unos sueños preciosos, gracias por estos cuentos para que los adultos soñemos y volvamos a ser niños mientras los contemplamos.
RépondreSupprimerUn beso.
merci Roger pour cette écoute et j'ai demandé à la radio si on peut faire des rencontres téléphoniques, ils m'ont dit oui mais pas trop long, alors je ne me priverai pas de vous! et dés la rentrée si l'émission pouvait se prolonger on fera comme ça Roger!
RépondreSupprimerDaniel Correa
RépondreSupprimerTu fais parti des artistes Brésiliens et amis du Web, dont j'ai recevoir nouvelles et commentaires. Je t'en remercie.
Bonne journée à toi,
Roger
Carol Honorio,
RépondreSupprimerJ'ai découvert récemment ton travail de photographe avec plaisir et je suis très heureux de t'accueillir avec ton commentaire sur mon blog.
Bienvenue et merci pour ce commentaire d'encouragement.
Cordialement,
Roger
brigitte Maillard,
RépondreSupprimerSi nous sommes là, ce sera avec plaisir car nous envisageons un voyage à l'étranger,dans la première quinzaine de septembre.
Ave mon amitié,
Roger
Roger,
RépondreSupprimerI can only speak english..but the land art is so beautiful..Would you be so kind to put a translator on your blog so I can read the words.
Thank you.
Katelen
Qu'il est agréable de se lover entre vos lignes et vos courbes. Elles interrogent à l'infini comme autant de points d'interrogations sur la vie. Vos spirales donnent aussi envie de les prolonger, de les déployer afin de donner comme une ampleur à nos vies intérieures. Merci. Je reviens souvent en silence et j'apprécie...
RépondreSupprimerPoetic Artist
RépondreSupprimerThanks for your comment. I can try to put one translater on my blog but it's not a promise. I am not very good in informatic.
With best wishes.
Roger
Leeloo,
RépondreSupprimerRevenez autant de fois que vous le désirez puisque vous appréciez ce blog. Ce sera avec plaisir.
Votre blog est-il en devenir, je n'y vois rien ?
à bientôt,
Roger
Je n'ai pas de blog...
RépondreSupprimerIl est plus aisé de se laisser bercer et transporter au gré des souffles qui touchent... Mais un jour, peut-être...
Sincèrement.
Leeloo,
RépondreSupprimerBien. Si un jour vous tentez l'aventure, qui j'en fais l'expérience, demande d'y consacrer un peu de temps, prévenez nous de cette création pour que nous puissions en profiter.
Bien à vous,
Roger
C'est vraiment tres beau, ce que tu fais....
RépondreSupprimerJe suis contente de connaitre ton blog, tu sais !
Flo de Sendaï
RépondreSupprimerMerci, j'en suis très heureux. Bonne journée à toi,
Roger
Le tiers du centième de ton talent et je serais un homme parfaitement comblé Roger.
RépondreSupprimerEnorme admiration.
Christian
christian Zennaro,
RépondreSupprimerLe talent n'est rien, cher Christian, sans travail. Il ne faut surtout pas l'oublier.
Merci de ton commentaire, encourageant. Bonne journée,
Roger