To the sea
Le soleil va se lever. Ils l'ont dit. "Ils" , se sont les bulletins météo écoutés depuis la veille et qui se trompent une fois sur deux. L'important, c'est de sortir, quitter le confort de la maison pour aller se confronter aux diverses vérités du temps sur une grande journée. Je n'ai pas d'idée particulière autre en roulant, que de contempler une fois de plus cette plaine. Je connais bien et pourtant elle m'en apprendre sur elle à chaque minute. Le paysage défile devant moi, et j'ai l'impression d'être le seul dehors dans la région. A peine ou deux voitures croisées sur le chemin d'aller et me voici arrivé sur la côte. Je me change comme à chaque sortie et je me dirige vers la mer. Elle est a demi couverte par une brume grise qui commence à deux cent mètres de la plage. Ce temps frais et humide accompagne souvent un silence presque parfait, si ce n'est le chuintement des vagues. Il faut que je marche. Peu importe que ce soit vers le nord ouest où dans le sens inverse. Sans marche, sans déplacement, il ne se passera rien. Il faut un certain temps pour que l'esprit se libère des contingences et laisse venir à lui, l'idée. Car c'est le mouvement qui crée l'idée, d'après moi. Dans les instants qui suivent, on dirait que le vécu land art remplace l'inquiétude du départ. Je choisis la première pierre et je commence la construction du cairn. Tout va se jouer comme dans une danse presque statique, avec d'infimes déplacements, qui va remplacer la quête du départ. Il y a bien une fascination du lieu, il y a aussi une attirance des pierres qui remonte à l'enfance, et un peu le savoir faire. Comment comparer ce travail, cette création si personnelle à une pâle copie, réalisée en deux minutes sans trop réfléchir: Hop et hop, deux pierres, hop, une photo. D'un côté, il s'agit de ma vie, de l'autre une pitrerie de week-end pour amuser les amis.
Chaque trace laissée dans le sable comme ces deux étoiles de David qui me relient à Raymond, ou les anneaux de Borromée à un voyage sur le Lac Majeur où je découvrais ce symbole en compagnie de Marie-Claude, que ce soient ces milliers de cairns, semés en France, en Europe, en Afrique, ces spirales interminables sur lesquelles on m'interroge, ou ces compositions géométriques, mandala et autres, ne sont qu'une manière de vivre ma vie, de m'inscrire dans le monde, de lui parler de l'honorer et parfois de communiquer avec les humains.
J'ai eu froid, ce jour là, mais lorsque la brume s'est levée, tard dans l'après-midi et que le soleil à balayé la plage, j'ai oublié mon mal de dos, j'ai terminé mon travail puis je me suis assis non loin des cairns. Je les ai regardés longuement comme on regarde un parterre de fleurs . Je les reconnaissais comme nés de mes mains et je savais que leur disparition n'était qu'une question d'heures. Je savais que la mer sifflerait la fin de la partie, de leur vie dans quelques heures. Je n'éprouvais aucune fierté, non, plutôt un bonheur de les côtoyer, sans avoir à leur parler, sans explication à donner, juste à attendre la mer qui viendrait couronner mon travail et me donner l'autorisation de recommencer une prochaine fois.
Roger Dautais
Ce matin au bureau, j 'écris
Nos livres des riens sinon quelques fleurs
A peine
Qu'éparses dans les siècle
Nos venteuses paroles
Qu'est que je fais à écrouer ma jeunesse ?
Or
La fenêtre à soudaine ardeur
Met un fil rouge
Une baie sur la page
Une lune écarlate puis cela batifole cela ramifie cela braise faut-il
Continuer l'escarbille l'histoire de l'escarbille est-ce
Un début de sens ?
Est-ce que je n'attendrai plus
en vain ?
Isabelle Pouchain
Retrouvez cet auteur chez Guy Allix
guyallix.art.officelive.com/isabellepouchain.aspx
venir trouver chez vous, après criailleries partisanes, un calme, l'équilibre instable et miraculeux, la plénitude du simple, l'humble spiritualité
RépondreSupprimerJ'ai aussi besoin d'aller vers ces choses simples auxquelles si peu de gens pensent et qui existent dans l'ignorance, pour les trouver belles, consolantes au point de donner un nouveau sens à ma vie en les cotoyant dans ce travail de tous les jours.
SupprimerAmitiés.
Roger
j'Aime bien ce commentaire... de permettre de faire prendre conscience à d'autre que la beauté nous entourent...
Supprimermerci Roger
Carol Proulx,
SupprimerTant de personnes semblent avoir oublié cette réalité.
Merci pour ton commentaire et belle journée,
Roger
L'eau et la pierre. Je sens le mouvement parce que il y a le statut de pierre. étonnant
RépondreSupprimermakis tselenis,
SupprimerC'est l'eau qui modèle la pierre et la pierre qui magnifie l'eau, un poème écrit dans les temps les plus reculés de notre planète.
Merci et à bientôt,
Roger
De telles images IMPRESSIONNANTES ! ! Quelqu'un a pris un certain temps étonnant de créer une telle grandeur. Très gentil en effet ! ! Brenda
RépondreSupprimerBrenda,
SupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins et merci pour ton commentaire.
A Bientôt.
Roger
Merci beaucoup pour la beauté des choses et des mots.
RépondreSupprimerAmbre,
SupprimerLe bonheur est de pouvoir parfois faire concorder les deux.
Merci pour ton commentaire.
Roger
Non seulement respectée mais magnifiée, ici, la nature.
RépondreSupprimerLe mille pattes en fleurs dorées a dansé à en perdre les pattes...
Manouche,
SupprimerMerci pour ton commentaire. Ce mille pattes, comme tu le nommes a été installé en 2005.
Belle soirée,
Roger
c'est beau toutes ces "installations"....quel équilibre !je ne sais pas comment on doit dire! sur la plage, une jolie tarte au kiwi et aux groseilles!! humm j'ai faim!ça me rappelle quand je faisais du camping ado, des fois on s'imaginait un gros poulet rôti et on faisait semblant de manger des cuisses dorées! ça nous calmait l'estomac un moment!
RépondreSupprimerUnas imágenes muy bellas y poéticas. Estas composiciones efímeras fantásticas me transportan otra vez a la riqueza de matices en la naturaleza, maestra de tantos Artistas.
RépondreSupprimerTe felicito por tu Arte tan sugerente! Saludos.
JOAN SERINYA
SupprimerTu as parfaitement raison, Joan en évoquant la multitude de couleurs, de nuances présentes à notre disposition dans la Nature et que nos Maîtres dans le domaine de l'art,utilisaient dans leurs créations. C'est aussi pour cette raison sans doute, que j'ai tant de visites d'artistes peintres, graveurs sculpteurs et sans oublier les photographe car cette similitude ne leur a pas échappé. Bien sûr, le land art reste un art marginal, parfois ignoré des mêmes coteries d'artistes, mais il est suffisamment fort pour toucher un grand public, à condition de le promouvoir et de le montrer comme je le fais ici.
A ce jour, plus de 70000 personnes sont venues visiter ce site, en un peu plus de deux ans et tu en fais partie. Merci.
Bien amicalement.
Roger
Quand le monde se fait laid, c'est bon de venir ici. Merci Roger. Bises.
RépondreSupprimeranne des ocreries,
SupprimerC'est vrai que nous avons besoin de résister à la barbarie. Le chemin de l'art est l'une des voies possibles, mais ce n'est pas une panacée.
Je t'embrasse amicalement.
Roger
Gwendoline,
RépondreSupprimerToutes ces installations sont présentées sans respecter l'ordre chronologique de leur fabrication pour casser le code habituel, pour désacraliser l'acte, après coup. Toutes ces installations ne sont vivantes qu' "in situ" et disparaissent pour toujours. Le côté éphémère de leur vie en est l'une des qualités et le fait de ne rien posséder pour moi, de ce que j'ai fait, une autre. Il ne reste ici que des représentations, des images sur lesquelles chacun, comme toi, projette ses propres idées. Tu vois, par exemple, je ne pense jamais à de la nourriture lorsque je fais un mandale coloré, mais à une possibilité d'atteindre un un instant d'harmonie, avec un peu de chance et beaucoup de travail. Pratiquer le land art pour moi, me fait parfois connaître des états second, avec oubli de la fatigue, du temps, du lieu, et bien souvent je ne prends pas le temps de me nourrir.J'ai l'impression que c'est l'acte de création qui me nourrit. En dehors de ces moments particuliers, j'ai plutôt une vie réglée et simple.
Mais j'accepte parfaitement l'idée que mes installations fassent rêver à toutes sortes de chose, comme ici.
Je te remercie pour ton commentaire.
Bien amicalement;
Roger
Curieusement à regarder ces photos j'ai à la fois une sensation de vertige et d'équilibre. Et ces deux sensations ont la même origine, l'émotion de la beauté. Qui à la fois nous entraine dans une sorte de tourbillon et aussi nous donne un sentiment d'évidence : c'est ainsi que ça doit être.
RépondreSupprimerMerci pour toutes ces merveilles...
Pastelle,
SupprimerCe que tu ressens, je le ressens aussi physiquement, lors du montage d'un cairn . Bien sûr, la réussite fait partie du jeu, mais on la sait, éphémère et sœur de l'échec . Passant de l'un à l'autre sans s'attacher à ce genre de chose, je suis pris dans un mouvement dynamique qui me pousse à avancer sur ce chemin de l'expérimentation de ma propre vie d'homme vieillissant que personne ne peut vivre à ma place. C'est ainsi que cela doit être, comme tu le dis, au moins pour le moment.
Belle soirée à toi et merci pour ce beau commentaire.
Roger
La Nature sublimee une fois de plus!
RépondreSupprimerSalut Roger
RépondreSupprimer.. la fragilité de la vie et l'éphémère ... aujourdhui, maintenant.
comme dans la vie !!
So long...
J'aime bien ton mandala de verdure avec ses couleurs... une invitation à la contemplation...
RépondreSupprimerSí, estoy de acuerdo contigo: lo importante es salir... Salir de uno mismo. Abrazos.
RépondreSupprimerSalome Guadalupe Ingelmo,
SupprimerSeule, une grande pratique de la Nature permet d'y trouver sa place avant toute création.Merci pour ton commentaire et belle journée, Salomé,
Je t'embrasse,
Roger
Ici, on vient se consoler de l'inconsolable.
RépondreSupprimerChri,
SupprimerSi je peux servir à cela.
Merci,
Roger
DeBee L.
RépondreSupprimerSi ce n'était qu'une pâle copie, l'intérêt n'en vaudrait pas pas l'aventure.
Merci pour ton commentaire et belle journée.
Roger
Patrick Lucas,
RépondreSupprimerDans cette pratique, c'est au moins la mienne qui passe et s'exprime.
Bien amicalement,
Roger
Carol Proulx,
RépondreSupprimerC'est vrai que les Mandala nous recentrent au moment de la fabrication. Encore une fois dans cet exercice, j'arrive à m'extraire du monde environnant et le monde n'est que cette petite sphère de couleurs. Il me faut ressentir des conditions particulières de concentration pour me lancer dans une telle installation.
Merci pour ton commentaire et belle journée à toi, au Canada.
Roger
Congratulations Roger!!!
RépondreSupprimerAnother beautiful work of art!!!
Great photos!!!
Thank you!
Best regards
Magda,
SupprimerMerci pour ces mots d'encouragement et à bientôt.
Roger
Venir à ton blog c'est comme voyager au Pays des Merveilles, c'est un retour à l'enfance et laisser l'imagination faire son travail.
RépondreSupprimerC'est parfait. :)
Sweet,
SupprimerLe parfait pour moi, dans mon travail, n'existe pas. Je le recherche,simplement. Mais si toi, tu le trouves...alors!
c'est sans doute que je suis sur la bonne voie. Je vais faire en sorte d'y rester car il ne me reste pas beaucoup de temps.
Belle soirée à toi,
Roger
En effet la beauté nous entoure, elle est là partout,il suffit de savoir la regarder .
RépondreSupprimerEt toi Roger avec ton travail d'artiste tu la sublimes .
J'aime venir me poser chez toi, il y souffle un vent merveilleusement apaisant .
Bonne continuation et belle semaine à toi
Brigitte,
SupprimerLes commentaires se suivent et puis tu vois... Ce travail est pour moi, très fatiguant et ce soir, je rentre fourbu mais heureux de ce que j'ai fait. Souvent l'apaisement ne se ressent vraiment qu'à la fin d'une installation, avant, c'est trop dur.
Merci de ton commentaire et à bientôt,Brigitte,
Roger
Fantástico trabajo Roger !!! el Land-art es una de las expresiones más bellas y silenciosas del arte, la naturaleza acompaña a las personas dotadas de sensibilidad para apreciar el efímero momento ,
RépondreSupprimerUn placer venir aquí!!!
Muchos saludos Roger!
cardesin
SupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins et merci pour ce commentaire chaleureux.
Bien amicalement,
Roger
Il est de tisser comme la terre, de la broder, re-acomodarla ... ton travail est une délectation pour moi.
RépondreSupprimerSaludos
Creer, s'evader, faire et laisser se defaire. Comme apprendre en grandissant et desapprendre une fois grand devenu.
RépondreSupprimerMerci pour cette description de votre approche a ce Land Art.
Thérèse,
SupprimerEn ce qui me concerne, je n'ai pas trouvé d'autre solution.
Merci pour ton commentaire et belle journée.
Roger
Venir voir tes créations, qui n'existent plus que par tes photos, est pour moi un véritable moment d'émerveillement , de calme et de sérénité. Merci.
RépondreSupprimerMarie,
SupprimerC'est ce côté éphémère des œuvres qui m'a attiré dès le début. J'ai même pratiqué deux ou 3 ans sans photographier, juste en relevant quelques croquis de mes installations. Beaucoup se sont délitées dans le plus pur anonymat. C'est la loi du genre.
Merci pour ton passage, ici.
Roger
Esmeralda Torres,
RépondreSupprimerC'est vrai, le land art tel que je le pratique c'est de rentrer en contact avec la Terre tous les jours, d'y trouver ma place, d'échanger et de communiquer avec elle puis d'inventer un langage dont il restera quelques traces éphémères et de recommencer le lendemain.
Belle journée à toi,
Roger
Dear Rodger,
RépondreSupprimerThank you for checking in on me. Life is good to overflowing here in San Francisco, I'm so inspired I can hardly blog or sit still at the computer! It's spring, and that demands my full artistic attention! All my best,
Thea
Bonsoir Thea,
RépondreSupprimerC'est un peu pareil ici .je rentre de la mer où le soleil était bien présent mais avec un vent du nord à te faire manger du sable! Travailler avec beaucoup de vent est toujours plus fatiguant mais j'ai pu réaliser quelques installations nouvelles qui m'ont donné beaucoup de plaisir. Je te montrerai cela sur le blog, bientôt.
Merci pour ta visite et continue d'être inspirée par le paysage de San Francisco.
Belle soirée,
Roger
Chaque image de lui, c'est un poème, un lieu plein de charme, qui ne fait aucun doute traduit la paix à mon domicile.
RépondreSupprimerJ'aime votre blog est très profonde.
Un câlin et merci de votre visite.
Remei
SupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins et merci pour ce très beau commentaire.
Roger
Ça va? !Roger, Dieu vous bénisse et votre talent. Belle! Très!
RépondreSupprimerAmitiè du Brésil.
Lau
Lau Milesi,
SupprimerMerci pour tes mots d'encouragement et d'amitié.Je te souhaite un bel avenir en peinture.
Je t'embrasse,
Roger
J'aime venir ici, chez vous Roger... écouter la voix de pierres, boire silence et étancher le esprit... pour être en mesure de continuer le chemin.
RépondreSupprimerBonne journée
Je t'embrasse amicalement.
cvb
OceanoAzul.Sonhos
SupprimerJe connais la gentillesse légendaire des Portugais pour les avoir beaucoup fréquenté dans une autre vie. Je vois que la tradition perdure et j'aime lire ces mots nés sous ta plume de poète.
Belle soirée, Cécilia.
Je t'embrasse,
Roger
Je suis fasciné par ce sens de l'équilibre...
RépondreSupprimerTu dois avoir une forme de patience tellement grande qu'elle n'est même plus lexicalisée ;-))
Amitiés,
s.h.
seb Haton,
SupprimerOui, c'est vrai, j'ai beaucoup de patience dans la pratique du land art, moins, autrement. Il m'arrive devoir s'écrouler des cairns, parfois je les remonte mais si à nouveau ils s'écroulent, alors je me dis que l'endroit était mal choisi, les pierres éprises de liberté et je n'insiste pas. Je quitte le lieu pour essayer à nouveau, plus loin.
Bien amicalement,
Roger
How do you get those stones to stand still? Marvelous.
RépondreSupprimerBob Bushell,
RépondreSupprimerContrairement à la photo je n'utilise pas de matériel pour réaliser un cairn . Il n'y a pas beaucoup d'autre école que la pratique. On commence petit, puis on essaie des combinaisons plus grandes mais c'est l'exercice quasi quotidien pour moi qui m'a fait progresser. Il faut également observer le terrain, les pierres, essayer de projeter ce que l'on va entreprendre, savoir jusqu'où monter l'équilibre. Entre un cairn de 10 tonnes et un autre de 100 kilos, les règles de fabrication ne sont pas les mêmes.
Enfin, comme je le disais à Sébastien Haton, il faut de la patience.
Voilà ce que je peux te dire cher Bob, avant de te remercier pour ton commentaire et pour te souhaiter une bonne soirée.
Bien amicalement,
Roger
Je suis toujours stupéfaite par l'équilibre de tes compositions minérales... Mais mon âme jardinière a toujours une préférence pour tes réalisations végétales... J'adore ton avant dernière photo ;o)
RépondreSupprimerAnne -Marie S
SupprimerJ'ai réalisé ce Mandala à la lisière d'un bois sur un petit chemin, procédant comme je fais d'habitude en " récoltant les végétaux qui se trouvaient à proximité puis en jouant avec les couleurs.
Belle journée,
Roger
Bravo pour ce travail exquis et apporter la beauté de la nature combinée à sa créativité exquise devant nos yeux. Magnifique. Salutations.
RépondreSupprimerHello! Fantastic images again, this is very beautiful and stylish!
RépondreSupprimerArt,
SupprimerJe te remercie pour ton passage ici et pour tes mots d'encouragement.
Roger
Leovi,
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire,
Bon week-end,
Roger
Passei para admirar o seu trabalho.
RépondreSupprimerEm todas as composições a sensação de beleza e equilíbrio.
Valorização do meio-ambiente.
Fotografias lindas.
Um lindo dia para você.
Beijinhos.
Brasil
°º♫
°º
•*• ♫° ·.
Magia de Inês
SupprimerJe te remercie pour ton passage,ici et pour tes mots d'encouragement.
Je t'embrasse,
Roger
Tu as toujours des mots pour me décrire: voici un don pas commun...
RépondreSupprimerMariangela Imbrenda,
SupprimerAprès avoir lu ton très beau texte sur ton blog, je t'ai laissé un commentaire né de cette lecture.
Beau week-end à Rome,
Roger
Hello, LE CHEMIN DES GRANDS JARDINS.
RépondreSupprimerYour sweet message and works charms my heart.
I thank for your usual and hearty support.
The prayer for all peace.
Have a good weekend. From Japan, ruma ❃
Ruma,
SupprimerMerci pour ton commentaire chaleureux. Que ta journées soit belle et inspirée par la Nature.
Bien amicalement,
Roger
Wow that is very special art, very beautiful.
RépondreSupprimerRiet, Le land art a surtout de spécial d'être très peu pratiqué, cette particularité mise à part, il est l'expression d'une créativité humaine.
SupprimerMerci pour ton commentaire.
Roger
Merci pour ta visite!
RépondreSupprimerTon blog est une belle découverte!
♥ Franka
Franka,
SupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins et merci pour ton commentaire. J'espère que tu reviendras souvent.
Roger
Bonjour Roger, "car c'est le mouvement qui crée l'idée" oui fidèle idée que tu ne figes pas, que tu ressources fidèle à ce chemin.
RépondreSupprimerthige,
SupprimerMerci pour ta visite, ici et pour tes mots d'encouragement.
Bon week-end à toi,
Roger
lindas imagens..
RépondreSupprimera natureza sempre nos brindando com essas maravilhas..
bjs.Sol
Solange,
SupprimerIl faut, en effet être bien au sein de la nature, l'observer et l'aimer avant de tenter quelque création. Sans cela, rien n'est possible.
Merci pour ton commentaire.
Je t'embrasse amicalement,
Roger
Incroyables, ce cairns de la 3ème et 7ème photo, avec la première pierre plantée à la verticale!
RépondreSupprimerComment tout cela fait-il pour tenir debout?
En tout cas bravo! Et merci pour le partage de ces oeuvres merveilleuses.
***
Belle fin de semaine, Roger****
Mildred,
SupprimerIl faut d'abord assurer un équilibre parfait de la base puis monter, pierre par pierre, les étages suivant. Tu peux essayer, c'est un vrai plaisir .
Je te souhaite un bon Dimanche.
Roger
Sim, o importante é sair de dentro de si mesmo... criar... imaginar... e viver!
RépondreSupprimerBelíssimo o seu trabalho.
Bom fim de semana.
Beijo.
teca,
SupprimerLa conception est intérieure, la réalisation est extérieure. Cet assemblage procure l'équilibre.
Beau Dimanche, Teca.
Je t'embrasse.
Roger
les pierres semblent si lourdes, j'ai du mal à imaginer
RépondreSupprimerque les cairns soient si fragiles ! équilibre éphémère
et tellement beau !
beau weekend Roger
bisous
Marty,
SupprimerLa pierre de base du troisième cairn doit attendre les 8O kilos. Je la soulève, en partie, sur place et ne peut la déplacer sur sa base que de quelques centimètres en la tournant. Si elle m'échappe, je ne peux la retenir. Si elle me tombe sur la jambe, c'est la fracture assurée. Tout est calculé au centimètre près. Une fois calée, le montage du cairn peut continuer. Chaque étage met en péril sa vie.Voilà comment cela se passe.
Merci de ta visite. Beau Dimanche à toi.
Je t'embrasse amicalement.
Roger
Le chemin des grands jardins
RépondreSupprimerLe jardin pour trouver son chemin
Le chemin pour écouter
son jardin secret
A voir le blog de Mai et ses jardins japonais.
Merci Roger
Yanis Petros,
SupprimerTes paroles sont vraies. J'ajouterai que je suis aussi à l'écoute de la Nature, sinon, je n'y ferai rien.
Merci pour ton passage,ici
bien amicalement.
Roger
Das sind Raphael und Yvonne24 mars 2012 à 08:12
Very nice pictures!
RépondreSupprimerVery special art work!
Many greetings
Yvonne & Raphael
Yvonaut,
SupprimerMerci de votre visite à tous les deux et à bientôt sur votre blog.
Roger
Ici en Grèce, nous avons pendant des jours maintenant, comme c'est l'été déjà ..
RépondreSupprimerVos photographies sont magnifiques de la nature mère, cher Roger.
Monika
Bitch,
SupprimerNous avons besoin de beaux jours pour panser nos plaies dans ce monde à feu et à sang. L'art nous permet cette reconstruction.
Merci de ton voyage depuis la Grèce jusqu'ici et à bientôt.
Roger
Il n'y a pas de doute que tu es à l'écoute de la nature, permettant à celle-ci des tours de magie qui nous émerveillent.
RépondreSupprimerMerci pour ton haïku qui me touche beaucoup.
Amicalement
Yanis Petros,
RépondreSupprimerIl m'arrive d'en écrire depuis longtemps, suivant l'inspiration. Ce jour là, je l'avais.
Belle journée,
Roger
" . . . comme dans une danse presque statique" -- beautiful imagery evoked by your cairns. Thank you for sharing!
SupprimerKelly M.
RépondreSupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins et merci pour ton commentaire.
Roger
Wow! Amazing photos of these really stunning pieces of art. You may liek to have a look at me "other" blog where I have posted about the sand dancer of New Zealand:
RépondreSupprimerhttp://nicholasjv.blogspot.com.au/2011/01/sand-dancer-nz-artist-peter-donnelly.html
Nixblog
SupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins et merci pour ton commentaire. Bien sûr, je connais le travail excellent de peter Donnelly dont je vais m'empresser d'aller lui rendre visite.
Bonne journée,
Roger
Creations extraordinaires de grand impacte visives !
RépondreSupprimerJane,
SupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins et merci pour ton commentaire.
Roger
Mais c'est magnifique, textes et créations éphémères. Justement, je viens de sortir mon journal "l'Echo de l'étroit chemin" N° 3 où il est question de land art.
RépondreSupprimerletroitchemin.wifeo.com
Danièle Duteil
SupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins et merci pour tes mots d'encouragement. J'ai commencé à découvrir ton journal. Excellent. Je vais y retourner.
Belle fin de semaine.
Roger
Hi Roger,
RépondreSupprimernow with a little more time I will see one by one your amazing artworks
stones or petals .... everything here is pure art!