
Dans mon dernier carnet de juin, j'ai noté, hier, au milieu du bois des Bruyères:
"Perdre l'essentiel, pour ne jamais oublier la source."
L'eau ne coule plus entre les pierres, les coupes de bois ont été enlevées, les ronces envahissent les chemins, les châtaigniers sont pleins de promesse pour l'automne, les blés sont verts à l'orée, mais la sècheresse s'installe. Elle a tari la source.
Roger Dautais
" La maison de l' hermine "
LE CHEMIN DES GRANDS JARDINS
J'aime beaucoup votre travail. Vos cairns et "tours" de pierres me rappellent les "nuraghes" de Sardaigne, île dont je suis originaire.
RépondreSupprimerMais j'avoue avoir un petit faible pour la photo ci-dessus: j'aime la symétrie et l'asymétrie, l'ordre et la fantaisie, les couleurs vives et les couleurs naturelles. Je retrouve tout cela dans cette oeuvre.