L'addition : pour Pastelle |
Le cercle de la connaissance : pour François Esperet |
L'ainée des sœurs : pour Chantal Miscoria : |
Les Demoiselles de Locmariaquer : pour Chrys |
Salutation au Soleil Levant : pour Ruma |
La porte du lac : pour Youenn Gwernig |
éphémère présence rouge : pour Maïté /Alienor |
Offrande aux dormantes : pour mémoire de silence |
Cairn du petit matin, au lac : pour rêveuse de mots |
L'automne, alors : Pour Marie-Claude Carré vert : pour Anne Le Maître |
Les surgissantes : pour Bob Bushell |
Dream in November : pour Umiko Okassan |
La seule raison : Pour Inès ( magia da ) Cercle de fer aux Sept Île : Pour Christian Cottard |
L'oblique : Pour Marie-Josée Christien |
Combustion : pour Vava de Nantes |
Un trou dans le ciel : pour Danièle Duteil |
Le funambule : pour Crazy horse 37 |
à Marie-Claude...
Il faut un temps pour tout et celui de la reconstruction est en marche pour moi. Une convalescence pendant laquelle d'avoir réalisé toutes ces installation, m' aidé à vivre et je le partage volontiers, toutes ces nouvelles créations avec vous.
Il faut un temps pour tout et celui de la reconstruction est en marche pour moi. Une convalescence pendant laquelle d'avoir réalisé toutes ces installation, m' aidé à vivre et je le partage volontiers, toutes ces nouvelles créations avec vous.
Le stable est rare, disait Erik Orsena, la vie est éphémère. J'avance dans cette instabilité vivante depuis si longtemps. Le temps passe, parfois je m'y perds. Le temps tourne et finit par m'emporter aux portes de l’indicible. J'oublie les mots, les remplace par des pierres. Ici, je suis vraiment moi-même, face à l'océan, au cœur d'un nature dont je fais partie. Les pierres me regardent, je suis des leurs, nous respirons le même air.
Assis au pied du cairn, prendre un long temps de silence et faire remonter le rêve qui vit en moi, à la surface. Apprendre à vivre, ici, avec soi.
De l'inutilité du geste land art, qui ne peut faire sens pour beaucoup de gens trop pressés de passer leur temps à autre chose, à consommer, toujours plus, j'ai appris beaucoup, en résistant à ces jugements hâtifs. Je peux en tirer une certaine fierté, car ce n'est pas facile. Mais je n'ai pas écarté le doute de ma réflexion sur mon parcours d’artiste, car c'est un premier pas vers la liberté et il ouvre au choix.
A vivre seul, rassurez-vous, pas toujours, les mots s'intériorisent, s'assemblent pour plus tard ou pour jamais. J'ai besoin de cette réserve pour créer. Ils sont ma cueillette au même titre que je transporte dans mon sac à dos, les baies d'hiver, cueillies avec forces piqûres dans les ruscus sauvages, les boules de cotonéaster, les pommes miniatures, les graines d'aulne ou de Liquidambar, les pommes de pin. Parfois, rien ne me sert, car la nature m'offre de l’imprévu dont je vais me nourrir pour créer. Toutes ces petites installations colorées, ne demandent aucune force physique et me permettent de récupérer des efforts nécessaires à la création de cairns. Mais l'émotion est intense lorsque je crée l'une de ses petites installations en pleine nature, posée dans la paysage comme une offrande. Cela peut prendre, 1 heure ou plus, souvent passée à genoux. Essayez, vous verrez, c'est très long.
Le retour des Demoiselles de Locmariaquer
La mer est descendue si loin, qu'un étranger venu ici aujourd’hui, dirait qu'elle ne vient jamais à la côte. Pourtant, après une longue absence, je retrouve cette plage de Locmariaquer, avec un regard neuf. Une longue et large bande d'algues, déposée par les marées successives, au pied des pierriers, ressemble à une trainé d'encre de chine, recouvrant le sable. Ici, l'hiver, j'ai souvent croisé des oies bernache, venant de Sibérie et pratiqué le land art à quelques mètres d'elle. Aujourd'hui, elles sont absentes. Seules quelques sternes, se risquent dans ce ciel gris. Je suis seul sur cette grande plage, en compagnie du vent qui va bientôt jouer avec mes cairns perchés.
J'ai apporté avec moi, trois bambous et mon cercle de fer. J'écarte l'épaisse couche d'algues pour dégager le sable dans lequel je plante le premier bambou. Le cercle de fer doit trouver son équilibre sur ce bambou de bonne section. Je choisis quelques petites pierres et monte le cairn sur le bambou, une par une, avec délicatesse. Le cairn respire. C'est ainsi que je dis lorsqu'un cairn est sensible au vent, bouge tout en conservant son équilibre. C'est souvent le cas,ainsi perché à 1,20 mètre du sol. C'est une vraie joie de voir ce premier cairn, perché sur un bambou planté dans ce paysage marin devenir le jeu de ce vent d'Ouest qui respecte sa présence.
Deux autres cairns viendront le rejoindre, constituant un groupe que j'appelle depuis leur création, Le demoiselles de Locmariaquer.
Je prends la direction d'une seconde plage, plus à l'ouest pour continuer l'expérience dans un autre cadre. Le vent a forci et ne me permet qu'une seule réussite dont je me contenterai.
Aux confins des deux mondes
Je traverse la vie au rythme des saisons, comme ce lac où je vais régulièrement pratiquer le land art.
Après l'assec de l’été dernier, il a repris son plus haut niveau d'eau, inondant un peu les berges.
Lundi, il fait encore nuit lorsque je prends la route pour me rendre au lac. Ma dernière marche d'approche se fait à la lampe électrique, dans un sous-bois dont le sol est tapissé de feuilles mortes et glissantes. J'arrive sur place aux premières lueurs du jour. Je découvre ses eaux apaisées, endormies. Les dormantes résistent en silence. Je les accompagne. Un héron s'arrache des marais et vole en glissant au dessus des eaux, avant de se poser sur la rive droite.
Aux confins des deux mondes, je perçois des présences connues. Elles vont m'accompagner dans le choix des pierres pour monter des cairns, face au lac.
Le soleil se lève, bascule sur les eaux du lac, par dessus les arbres. La rive gauche est dans l'ombre, dans une lumière froide et bleue. Les châtaigniers de la rive droite vivent leur instant de flamboyance, dans l'opulence de leurs couleurs d'automne. Le soleil monte un peu dans le ciel. Il finit par caresser les cairns, tourne autour des pierres, leur donne du volume, de la vie aussi.
La brume recule à la .surface des eaux sous l'effet de la chaleur du soleil. Le miroir est parfait .
Je pense à elle que je voudrais près de moi, à cet instant, et qui m'attend à la maison.
Cette publication du CHEMIN DES GRANDS JARDINS est la dernière de la Route 72. Le 20 décembre prochain, j'emprunterai la Route 73 pour le meilleur et pour le pire.
Merci à celles et ceux qui m'ont suivi pendant cette année et soutenu ma création. Merci pour vous commentaires chaleureux, déposés ici et qui ont tellement compté pour moi.
Fraternellement,
Roger Dautais
Ainsi parlait le ciel
Hier il tombait des chiens
Aujourd'hui, il tombe des ânes
Demain, dit la prophétie, il pleuvra des loups
Malheur à moi après-demain
car selon la prophétie, il pleuvra des hommes
Et mon ciel hurlait en regardant la pluie s'abattre sur la terre.
Abdulrahman Almajedi
C'est quand le silence te cerne
Sous un ciel sans soleil
Que tu parles au plus juste
Une ombre de prière se lève
Un seul oiseau oiseau témoigne de la présence.
Guy Allix Poèmes en sursis
guyallixpoesie.canalblog.com/
Aux confins des deux mondes
Je traverse la vie au rythme des saisons, comme ce lac où je vais régulièrement pratiquer le land art.
Après l'assec de l’été dernier, il a repris son plus haut niveau d'eau, inondant un peu les berges.
Lundi, il fait encore nuit lorsque je prends la route pour me rendre au lac. Ma dernière marche d'approche se fait à la lampe électrique, dans un sous-bois dont le sol est tapissé de feuilles mortes et glissantes. J'arrive sur place aux premières lueurs du jour. Je découvre ses eaux apaisées, endormies. Les dormantes résistent en silence. Je les accompagne. Un héron s'arrache des marais et vole en glissant au dessus des eaux, avant de se poser sur la rive droite.
Aux confins des deux mondes, je perçois des présences connues. Elles vont m'accompagner dans le choix des pierres pour monter des cairns, face au lac.
Le soleil se lève, bascule sur les eaux du lac, par dessus les arbres. La rive gauche est dans l'ombre, dans une lumière froide et bleue. Les châtaigniers de la rive droite vivent leur instant de flamboyance, dans l'opulence de leurs couleurs d'automne. Le soleil monte un peu dans le ciel. Il finit par caresser les cairns, tourne autour des pierres, leur donne du volume, de la vie aussi.
La brume recule à la .surface des eaux sous l'effet de la chaleur du soleil. Le miroir est parfait .
Je pense à elle que je voudrais près de moi, à cet instant, et qui m'attend à la maison.
Cette publication du CHEMIN DES GRANDS JARDINS est la dernière de la Route 72. Le 20 décembre prochain, j'emprunterai la Route 73 pour le meilleur et pour le pire.
Merci à celles et ceux qui m'ont suivi pendant cette année et soutenu ma création. Merci pour vous commentaires chaleureux, déposés ici et qui ont tellement compté pour moi.
Fraternellement,
Roger Dautais
Ainsi parlait le ciel
Hier il tombait des chiens
Aujourd'hui, il tombe des ânes
Demain, dit la prophétie, il pleuvra des loups
Malheur à moi après-demain
car selon la prophétie, il pleuvra des hommes
Et mon ciel hurlait en regardant la pluie s'abattre sur la terre.
Abdulrahman Almajedi
C'est quand le silence te cerne
Sous un ciel sans soleil
Que tu parles au plus juste
Une ombre de prière se lève
Un seul oiseau oiseau témoigne de la présence.
Guy Allix Poèmes en sursis
guyallixpoesie.canalblog.com/
Ainsi parlait le ciel
Hier il tombait des chiens
Aujourd’hui il tombe des ânes
Demain, dit la prophétie, il pleuvra des loups
Malheur à moi après-demain
car selon la prophétie, il pleuvra des hommes
Et mon ciel hurlait en regardant la pluie s’abattre sur la terre
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Hier il tombait des chiens
Aujourd’hui il tombe des ânes
Demain, dit la prophétie, il pleuvra des loups
Malheur à moi après-demain
car selon la prophétie, il pleuvra des hommes
Et mon ciel hurlait en regardant la pluie s’abattre sur la terre
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Ainsi parlait le ciel
Hier il tombait des chiens
Aujourd’hui il tombe des ânes
Demain, dit la prophétie, il pleuvra des loups
Malheur à moi après-demain
car selon la prophétie, il pleuvra des hommes
Et mon ciel hurlait en regardant la pluie s’abattre sur la terre
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Hier il tombait des chiens
Aujourd’hui il tombe des ânes
Demain, dit la prophétie, il pleuvra des loups
Malheur à moi après-demain
car selon la prophétie, il pleuvra des hommes
Et mon ciel hurlait en regardant la pluie s’abattre sur la terre
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Cette semaine d'entre deux tours dont un premier est plus qu' attristant, comme si c'était encore possible, la lumière est venue de Locqmariaquer et de tes oeuvres. Merci à toi Roger (Merci pour la dédicace aussi) Elles nous consolent. Amitié.
RépondreSupprimer(Que veulent dire route 72 et route 73 ces routes empruntées?)
chri.
SupprimerMerci Christian. Je suis triste, comme toi, bien que la Bretagne ait mieux résisté que la plupart des autres régions.
Les dédicaces vont aux personnes que j'aime ou que j'estime, pour ce qu'elles sont ou ce qu'elles font et tu en fais partie. Route 72 c'est la route parcourue à l'âge de 72 ans. Le 20 décembre prochain, j'aurai 73 ans et parcourrai donc la route 73.
Amitiés.
Roger
Beautiful rock sculptures by the sea and rivers, also the fruit and leaf mandalas, wonderful art dear Roger!
RépondreSupprimerbisous
xoxoxo ♡
dianne
SupprimerMerci Chère Dianne. Tu peux voir que l'eau est très souvent présente dans mes installations et même lorsqu'elle n'est pas visible sur la photo, j'en suis près. Sa présence m'inspire toujours.
Je t'embrasse,chère Dianne.
Roger
Quel plaisir toujours, de passer voir tes créations !
RépondreSupprimerRejane
SupprimerMerci Réjane. C'est un plaisir pour moi de t'accueillir ici.
Belle semaine à toi.
Roger
Toujours, quand je regarde les photos de tes merveilleuses créations-installations, je suis transportée, admirative, et tour à tour, je ressens la paix ou la joie, bien que parfois tu saches tout à fait interpréter le tourment. Je suis très vite sous le charme des petites baies rouges, de la mousse etc... mais les pierres parlent tant... parlent fort. Ta manière de les disposer, de les faire s'épouser, fait que l'on pourrait les croire malléables, de consistance souple. C'est extraordinaire ! Tout est beau, magistral, admirable. Merci Roger.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup celle que tu as consacrée au talentueux Bob Bushell, l'offrande aux dormantes et l'éphémère présence rouge.
Je te souhaite une douce fin d'après midi.
Amitiés
Nathanaëlle
Nathanaëlle
SupprimerMerci Nathanaëlle. J'ai tellement l'habitude de travailler avec les pierres que je pourrais dire, je connais tout d'elles. Or, ce n'est pas vrai. Chaque pierre est différente,de forme de couleur, de poids et le toucher n'est pas le même ressenti,d'une à l'autre. Comprendre cela est déjà beaucoup. Après,ce dialogue de muets qui s'établit entre nous, est plus de l'ordre du ballet. Danse parfois brutale - elles peuvent me blesser - tendre, sensuelle, elles captent mon expression, la transformer, la magnifient en s'accordant entre elles, puis à ma pensée. Cet échange est infini,renouvelable, comme le plaisir que j'ai à composer avec elles. Je pense que de cette harmonie entre nous,nait ce quelque chose d'indéfinissable que arrête les gens pour regarder un simple cairn.
Très belle semaine à toi, chère Nathanaëlle.
Amitiés.
Roger
Il n'y a pas la simplicité, mais la richesse dans son travail. Les pierres ne sont pas seulement la chute d'objets, mais des morceaux qui ont vu l'art.
SupprimerVous conduisez un regard particulier sur eux, la vision de l'artiste. Abraço.
MARILENE
SupprimerMerci Marilène. C'est juste, chaque geste est inspiré par l'environnement, le paysage, le choix de la pierre. Chaque pierre, en elle même porte sa beauté nature. Je ne fais que les assembler pour les mettre en valeur tandis que la lumière du soleil vient parfaire le tout.
Merci pour votre commentaire.
Amitiés.
Roger
Le funambule est magnifique !!! Ta route 72 se termine et le 20 ce sera la route 73 pour le meilleur encore, sois en sûr !!!
RépondreSupprimerJe t'embrasse affectueusement.
Marité
SupprimerMerci, Marité.Ce funambule est magique et il continue d'habiter dans mon esprit. La route 73 sera très difficile, et mon but d'atteindre l'âge de 75 ans en pratiquant le land art. Encore 2 ans à tenir.
Je t'embrasse affectueusement, aussi, chère Marité.
Roger
Je suis revenue ce dimanche pour te souhaiter un heureux anniversaire !!!
SupprimerJe t'embrasse affectueusement Roger.
Marité.
SupprimerMerci Marité, ton intention amicale me touche vraiment. Bon Dimanche.
Je vais maintenant attendre mes invités.
Je t'embrasse très fort.
Roger
Always is very pleasure to see your wonderful creations, thank you for sharing with us !!!
RépondreSupprimerART-TRAVELLER
SupprimerMerci à toi. Mais c'est un plaisir pour moi de te lire, et de t'accueillir, ici.
Belle semaine à toi.
Roger
Fantastic, those on a metal ring, absolutely stunning Roger.
RépondreSupprimerBob Bushell
SupprimerMerci Bob. C'est vrai que je me laisse surprendre par la capacité de ce cercle à s'intégrer aussi bien dans un paysage, avec son cairn perché.
Amitiés.
Roger
P.S. tes dernières photos sont magnifiques.
circulo
RépondreSupprimeruniverso
piedra
aire
agua
cielo
et la couleur de l'amour, rouge
Esmeralda Torres,
SupprimerMerci Esmeralda. Lorsque je travaille avec ces baies rouges, je pense au sang qui circule, rouge aussi, dans mes veines, de même couleur quelle que soit la couleur de notre peau. Cette universalité fait penser à l'amour , bien sûr, du monde, sans rejet, sans haine, sans racisme. Mais une dédicace est aussi un geste d'amour, bien entendu.
Bien amicalement, chère Esmeralda.
Roger
Quand je viens me poser chez toi, le temps est en suspens... comme ces pierres que tu superposes tel un magicien.
RépondreSupprimerComme Marité je trouve le Funambule exceptionnel.
Merci pour le bien-être que tu m'apportes à chaque publication.
Bises et prends bien soin de toi
Anne-Marie Bodard
SupprimerMerci Anne-Marie. Il y a de la magie dans ces lieux, dans la lumière dans ces occurrences naturelles où je pose mon cercle de fer. Les cairns qui en naissent sont des évidence mais il faut quand même les faire tenir debout. Pas toujours facile.
Toujours en soin, je prends soin de moi comme tu m'y invite si gentiment.
Je t'embrasse.
Roger
Merci à toi
RépondreSupprimerLocmariaquer est un lieu que j'aime beaucoup
Tes créations me touchent
Merci pour ce magnifique partage de paix
Bises
Claudine Le Bagouse
SupprimerMerci Claudine. Locmariaquer est une commune assez étendue. Terre sacrée, comme l'appelait Guillevic qui l'associait à Carnac pour les dolmens et menhirs qu'elle porte. ses façades maritimes se partagent entre le Golfe du Morbihan et l'Atlantique qui le borde. Si l'été, il est difficile d'y pratiquer le land art, car elle attire de nombreux touristes, entre fin septembre et Juin, je trouve dans ces superbes paysages, tranquillité et inspiration pour m'exprimer.
Je t'embrasse.
Roger
Superbes installations très bien mises en valeur dans ces magnifiques décors. Merci beaucoup de partager avec nous ces photos paisibles.
RépondreSupprimerPaul Kerrien
SupprimerMerci Paul et bienvenus sur Le Chemin des Grands jardins. Pour avoir découvert votre travail photo, je vois que, comme moi, la Bretagne vous inspire. Belle semaine à vous.
Amitiés.
Roger
Petit Poucet rêveur, tu égrènes tes rimes et tes pierres aussi vont se fixer sur la voûte étoilée.
RépondreSupprimerorfeenix
SupprimerMerci à toi, amie. On m'appelle souvent Petit Poucet et ma fois, cela me va bien car j'ai ce conte, ce personnage, ce qu'il fait, aussi. Rêveur, c'est certain, trop aux yeux de mes proches qui me trouvent un peu trop " planant " mais ça, c'est un cadeau de la vie dont je ne me séparerai pas maintenant. Cela m'a tout simplement permis de rester en vie. Ce n'est déjà pas si mal.
Belle soirée en toute amitié.
Roger
Hi Roger,
RépondreSupprimerfabulous Artwork again, amazing light and wonderful clear photos. Gorgeous !
Best regards, Synnöve
Seraphina's
SupprimerPhantasie
Merci chère Synnöve d'être venue jusqu'ici pour me faire part de ton amitié fidèle.
Je t'embrasse.
Roger
De "L'addition" au "Funanbule" et vice versa, je demeure subjuguée par les images que tu crées. Même s'ils se ressemblent quelquefois, leurs motifs ne sont jamais identiques. On les discerne sans peine, car la lumière ou le décor sont toujours différents. Tout comme on ne se baigne jamais dans le même fleuve, on ne recrée jamais exactement la même chose, la nature y met toujours son grain de sel :-)
RépondreSupprimerLe petit galet tout en en haut de tes pyramides me fait penser à cet extrait d'un poème de François Cheng :
Viens te lover dans ma main, galet,
Tiens un instant compagnie
À l’anonyme passant. Toi, le pain cuit
Au feu originel, nourris ce passant
De ta force tenace, de ta tendresse
Lisse, au bord de cet océan
Sans borne, où tout vivant se découvre vétille…
Encore merci, Roger, pour le délassement apporté par tes images et tes écrits. Merci aussi pour ton gentil commentaire au grenier. Je te souhaite une bonne consolidation de ton dos et je t'embrasse bien amicalement.
Ps : Bon anniversaire, au cas où tu ne publierais pas d'ici les fêtes (le 26 décembre, c'est moi qui vais m'engager sur la route 67 !)
Tilia.
SupprimerMerci Tilia. Concernant ces installations qui se ressemblent, je pourrais dire, qu'ils se répètent, je pourrais te dire que cela ne gène en rien l'expérimentation nouvelle, ni la réflexion. Bien au contraire.La culture de l'usage des formes et de leur mise en commun,fait aussi partie du jeu. D'autant plus qu'ici,ces créations in situ ne sont jamais posées, puis intégrées dans le même paysage, sous des lumières qui, elles aussi, sont différentes. Si mon rapport au land art est le même, mon rapport à l'objet créé diffère pour toutes ces raisons.
Merci pour ce très beau poème de François Cheng que j'ai écouté, très récemment dans une émission de la Grande Librairie, avec la même admiration.
Je n'ai pas de grenier dans ma maison actuelle,alors, je vais souvent dans le tien qui contient cette part de rêve dont je ne saurais me passer.
Je t'embrasse.
Roger
Merci pour vos oeuvres et vos mots qui nous encouragent à apprécier l'instant et à nous y plonger.
RépondreSupprimerAnonyme,
SupprimerMerci à vous qui restez dans l'ombre et m’apportez aussi des mots d'encouragement qui me sont nécessaires.
Amitiés.
Roger
Quel talent !
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup aimé Locmariaquer
C'est une bouffée d'air pur que je trouve ici et qui me ravit Roger, merci
Quand j'approche du rivage
De son reflux incessant
Mon silence rejoint la grève
Qui murmure
Berceuse ininterrompue
Parole de mer
Sans promesses
Sans désamour
Pour quelques heures
D'éblouissement et de paix...
marine D
SupprimerMerci Marine. Tu pourrais ajouter, quel travail ! parce que le talent n'est rien sans beaucoup de travail, je l'ai compris depuis longtemps. Merci pour ton poème très touchant.
Amitiés.
Roger
Donc, je te transmets mon com perdu... qui ira aussi très bien sur ce beau billet :
RépondreSupprimerUne balade en passant par ton Grand Jardin, en quête de rêves…
Histoire de respirer encore un peu l’air de la mer,
De me perdre dans ces minutieuses mandalas de graines,
D’arpenter les rochers, et découvrir ces cairns à l’anneau magique !
Entre Ciel et Terre
Unis par l’Anneau
Légèreté aérienne
Miracle de l’équilibre
Je te souhaite une longue route encore sur ton Grand Chemin !
PS/Il y a quelques jours, j’ai tenté une spirale en pensant à toi… pour me rendre compte des efforts qu’il faut faire pour en arriver à bout… J’ai compris la difficulté, la patience qu’il faut déployer, tout en ressentant quelque chose d’indéfinissable devant l’immensité de la Nature : Je te l’offre en cadeau sur l’Ardoise !
CLIQUE ICI
Biseeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeeeeee
Je viens d'aller voir.
SupprimerMerci pour le cadeau, je suis très touché.
Je t'embrasse bien amicalement.
Roger
Oh oui bien sûr quel beau et difficile travail de patience, de recherche, j'admire sans modération !
RépondreSupprimerMerci à toi Roger
Belle journée
marine.D
SupprimerMerci Marine, pour tes mots d'encouragement.
Amitié.
Roger
Certaines oeuvres sont très touchantes. Continuez!
RépondreSupprimerAnne,
SupprimerMerci Anne. 17 années de pratique et toujours l'envie de continuer, oui c'est sûr.
Belle soirée en amitié.
Roger
J'aime tes offrandes à la nature, un rituel que nous avons hélas oublié.
RépondreSupprimermanouche
SupprimerMerci Manouche.
Un rituel qui est pourtant toujours bien réalisé dans de nombreux pays. Il semble que le veau d'or soit en train de gagner la partie au niveau mondial où le roi argent est le seul honoré, par un grand nombre de personnes.
Bonne soirée à toi.
Amitiés.
Roger
Le cercle: ni début, ni fin: symbole de la vie en continu, la roue tourne, le temps tourne et tu en imprègnes la nature pour nous le rappeler avec tant de délicatesse et de beauté!
RépondreSupprimerThérèse
SupprimerMerci Thérèse. Ce cercle intrigue ou inspire beaucoup de personnes et tu en fais partie. Merci pour tes mots d'encouragement.
Amitiés.
Roger
Quand les "Demoiselles de Locmariaquer" regardent vers l'horizon l'artiste poète dont les mots sont galets les rimes cadeau de la nature en récolte de chemins, assemble ses cairns au défi de l'équilibre.
RépondreSupprimerQuand l'aube sur l'assec du lac lui ouvre d'autres horizons pour saluer l'univers l'artiste du Land Art nous met en émoi?
Merci de ce bonheur en œuvres qui me ravissent.
Belle nuit Roger sous l'œil de la lune
A bientôt
Océanique. Mes nombreuses marches me font parfois faire de belles rencontres avec des objets insolites. Je voyage avec eux avant de les intégrer dans mes créations. Puis ils deviennent familiers, jusqu'à ce qu'un jour je les quitte leur rendant leur liberté. Je suis heureux lorsque je lis que mes créations font naître des émotions,chez les autres. C'est le plus beau des cadeaux. Je saluerai la lune à la prochaine occasion, de ta part, bien sûr.
SupprimerBelle fin de semaine en amitié.
Roger
Merci pour tout
RépondreSupprimermerci pour ces cadeaux sans cesse recommencés
merci pour cette force, cet amour de la vie
cet inlassable cri
pour vous ici
en amitié sur d'autres routes je vous suivrai
;-)
Merci à vous pour ce très beau poème, dont vous êtes d'auteur et que vous m'offrez.
SupprimerC'est avec plaisir que je le partage ici avec mes lecteurs.
Montjoie
face au lac de silence
au
petit matin la brume est rasante
les mots sortent du rêve
enlacent les pierres souveraines
réveil
dieux et déesses
aube millénaire
à la porte du jour naissant
l'âme des aïeux caresse les pierres
silhouette d'un autre âge
quiétude
miroir du ciel
le cœur de pierre
s'éprend de la roche
passage sur la terre
petit matin
au lac
la pierre
embrasse la pierre
Mont
Joie
How is it even possible that the stones can stay on top of the ring.
RépondreSupprimerWickedly wonderful pictures once again.
Have a happy times.
orvokki
SupprimerMerci Orvokki
Ces pierres tiennent parce qu'elles sont posées l'une après l'autre, en équilibre, par la simple moi de la gravité. Il faut dire que je passe pas mal de temps avant de réussir ces cairns.
Belle fin de semaine à toi.
Je t'embrasse.
Roger
Difficile, mais beau chemin, pavé de pierres du temps et orné des trésors de la nature... Et toujours de si touchantes et belles œuvres...
RépondreSupprimerSwann Li,
SupprimerMerci Swann Li. C'est vrai que le chemin est particulièrement difficile à parcourir, douloureux même et pourtant, en même temps, c'est lui qui me tient en vie et je l'en remercie chaque jour, comme je remercie la vie.
Amitiés.
Roger
Así es la vida: emprender todos los años una ruta nueva. El número no es demasiado relevante pues cualquiera de ellas puede tener sus inconvenientes, achaques o problemas. Lo que sí es importante es la manera de sentirlas, de vivirlas, y, estoy convencida de que el Arte nos ayuda enormemente a transitar mejor esas rutas: el Arte colma el espíritu y, de algún modo, nos aporta esa emoción que a menudo la vida nos niega. La vida es como una espiral, no se detiene ante nada, es ajena a nuestro dolor, por lo tanto, cuantos más círculos (rutas) formen nuestra espiral particular tenemos que estar contentos de haber sobrevivido a la "cruda" realidad.
RépondreSupprimerFeliz nueva ruta, Roger, y las gracias te las doy yo a ti por regalarme todo tu Arte.
bsOs..
Sole
SupprimerMerci Sole. ton texte est très beau, emprunt de sagesse et de philosophie. Il est certain que l'art pratiqué vraiment, je ne parle pas d'un doux pase temps, le Dimanche, nous permet, me permet de découvrir des émotions nouvelles à chaque fois. Émotions qui permettent de transcender la douleur, jusqu'à l'oubli, même si ne ce n'est que provisoire. J'en connais les bienfaits de cette pratique journalière, pour avoir été longtemps, art thérapeute et accueilli, de grands maladies dans mes ateliers.
Et puis cette relation au pays, à la Bretagne, à la mer, est vivifiante, inspirante, portante, importante aussi. Avec de telles bases, je connais beaucoup de petits bonheurs qui font tenir la distance. Jusqu'à quand ? Jusqu'à ce que le corps dise stop. On verra bien.
Je te dis encore combien tes mots m'ont touchés et je t'embrasse.
Roger
Frontière végétale
RépondreSupprimerentre deux mondes
frères de couleur
métissage
sang bleu ___ sang rouge
le yin et le yang
frisotis de l'eau
caresse légère
la nuit s'éclipse dans le miroir du ciel
sur la pierre ancestrale
"une offrande aux dormantes"
eau dormante
sous l'accolade du ciel
deux mondes se mêlent
se souviennent ___ se soutiennent
sous une lame d'alliance
merci double
Mémoire du silence
SupprimerMerci pour ce second poème. Il y aurai toujours place à la poésie, à mes yeux, indispensable à ma vie, sur le Chemin des Grands Jardins.
Belle fin de semaine en amitié.
Roger
quand on sait écouter le vent, les arbres, les pierre, on a tout compris,
RépondreSupprimerla vie prend tout son sens et tes créations coulent de source!
je te souhaite une belle route 73 pour le meilleur, le pire tu oublies !!
je t'embrasse Roger
MARTY
SupprimerMerci Marty. J'ai été initié à la nature, dès mon plus jeune âge et c'est une force pour moi d'être en connexion intime avec. C'est vrai, qu'après, créer en elle, avec elle, coule de source, comme tu le dis.
Le route 73 sera longue, mais je la prends dès le 20 Décembre, pour le meilleur et pour le pire.
Belle semaine,chère Marty
Je t'embrasse en toute amitié.
Roger
Muchas gracias por la visita y el comentario en mi cueva.
RépondreSupprimerMe encanta pasear por estos caminos donde se respira paz y relajan el espiritu.
Un abrazo.
El Tejon
SupprimerMerci el Ttejon. Bienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins et merci pour ton commentaire.
Belle semaine à toi.
Amicalement,
Roger
Merci Roger pour ce nouveau et magnifique cadeau que tu m'offres. Et que j'ajoute à ma précieuse collection. ♥
RépondreSupprimerJe ne le découvre que ce soir, et il arrive comme une cerise sur le gâteau des nouvelles du jour, un cadeau rose pour contrebalancer le bleu, surtout le bleu marine. Addition, soustraction, multiplication, l'équilibre est atteint, encore une fois... Comme dans cette belle création. Et dans toutes tes autres.
Le 20 décembre, tu es Sagittaire, comme moi. Signe double nous sommes, et curieusement nous sommes liés au feu, alors que pourtant nous sommes si visiblement reliés à la terre, et à l'eau...
"Le natif du Sagittaire est toujours prêt à explorer des terres nouvelles, au propre comme au figuré [....]. Sa quête peut ne jamais prendre fin."
"Le Sagittaire est un signe de feu, mais il symbolise le dernier feu de l'automne, celui que l'on voit de loin dans la nuit tombante. C'est l'aventurier, le guide, le gardien du phare. Le Sagittaire a besoin d'élargir sans cesse ses horizons, de faire reculer les frontières, de dépasser les limites"
Je t'embrasse affectueusement, cher Sagittaire. Et encore merci.
Wonderful, my eyes like the mandala for Umiko Okassan best. I think it is the combination of the black stones and the red berries at the fringe. Best regards, Petra
RépondreSupprimerPepeB
SupprimerMerci, PepeB. Les installations les plus petites sont moins remarquées, mais elles sont, comme les autres réalisées dans un paysage dont elles font partie et je suis heureux qu'elle te plaise.
Bien amicalement.
Roger
Bonsoir Roger.
RépondreSupprimerAinsi se termine ta route 72 dont je viens de comprendre le sens juste avant d’en avoir la confirmation dans un des messages. Cette « route 72 » me convenait bien car elle avait un parfum d’aventure, celle des pierres, des fruits, des équilibres et des défis sans cesse renouvelés. Tu sauras cheminer sur la « route 73 » et je continuerai à la suivre du regard et de la pensée, venant m’y reposer de temps en temps et y déposer quelques pierres de mots en guise de remerciements.
Tu termines merveilleusement ta « route 72 » tant dans les réalisations que dans les écrits. Il y a des passages que j’aime particulièrement :
« Le stable est rare, disait Erik Orsenna, la vie est éphémère. J'avance dans cette instabilité vivante depuis si longtemps. Le temps passe, parfois je m'y perds. Le temps tourne et finit par m'emporter aux portes de l’indicible. J'oublie les mots, les remplace par des pierres. Ici, je suis vraiment moi-même, face à l'océan, au cœur d'une nature dont je fais partie. Les pierres me regardent, je suis des leurs, nous respirons le même air. » et puis
« A vivre seul, rassurez-vous, pas toujours, les mots s'intériorisent, s'assemblent pour plus tard ou pour jamais. »
Lectrice, je me reconnais à travers toi, l’artiste dans ce que tu me donnes à voir, à lire et dans la deuxième citation si vraie. L’éphémère, nous y sommes tous confrontés, tous avec plus ou moins d’acuité selon notre vécu : éphémère présence, éphémère jeunesse, éphémère lumière, éphémère santé qui nous coupe les ailes comme l’ éphémère insecte volant(mal), si sensible à la pollution. Nous sommes tous ce « funambule » soumis au vent « le cairn respire » dis-tu. Nous respirons aussi à la limite du précipice. J’aime ce souffle qui t’anime et cette phrase si belle de sens : « Les pierres me regardent, je suis des leurs, nous respirons le même air. »
Heureusement, le contraste est grand avec le poème « Ainsi parlait le ciel » ; une piqûre de rappel dans la beauté du silence.
Nous avons en commun, dans nos connaissances une « Mémoire du silence » et combien ces mots sont porteurs de messages venus du plus profond de l’individu.
Ephémère présence rouge
Spirale volubilis se consume
Flamme , là, dans la lumière
Mon Automne des fruits rouges.
Parfum des pas dans colimaçon
Je m’y construis, je m’y abandonne
J’aime sa féminité et son souffle de vie.
Dans son cœur ou tout contre ses perles
La tour édifiée a viré serpentine
Sous les auspices de son éphémère présence
Survol, élévation ou d’incrustation je bruis.
***Je suis heureuse d’apprendre que ces installations colorées te demandent moins d’efforts physiques mais apportent leurs symboles en offrande.
Lorsque j’étais en Terminale, je me souviens de toutes ces spirales qui ornaient la marge, qui guidaient ma réflexion en Philo notamment. De plus tu as réalisé cette spirale éphémère en S. C’était l’initiale de mon nom de jeune fille et j’avais grand plaisir à la tracer. Je la calligraphiais, elle me rassurait, je la prolongeais, elle m’habitait. Aussi la retrouver chez toi fut un vrai bonheur. Elle me va comme un gant, comme une offrande personnalisée.
Avec quelques jours d’avance, cher funambule des cairns et par quel miracle, de s galets embrasés, Par le fragon, petit houx et ses perles données aux oiseaux, par le cotonester de mon jardin, je te souhaite un heureux anniversaire.
Affectueuses pensées.
M
Maïté/Aliénor
SupprimerMerci chère Maïté pour ce long commentaire. Les commentaires qui m'arrivent ici, sont des témoignages d'amitié qui me touchent tous à des degrés différents. Je dois te remercier pour le temps que tu passes à regarder mes travaux, à les commenter, à me lire aussi. Depuis que je n'expose plus, tous les échanges se passsent par l'intermédiaire de ce blog et de belle manière puisque j'y vois passer à peu près 5000 visiteurs par mois. Je n'avais pas remarque que la double spirale dont tu parles dessinait un " S ". Pour moi, je n'y voyais qu'une figure dynamique et une belle association de couleurs complémentaires, mais pas un S; Je suis aussi sensible à ces échanges poétiques dont tu es régulièrement l'auteur. cela me comble et me touche vraiment.
Dans trois jours, je ferai mon premier pas sur la ROUTE 73 qui sera, probablement pour moi, très difficile sur le plan de la santé, mais enfin, je ferai de mon mieux pour progresser, sinon vers la guérison car ce n'est pas possible, vers un mieux qui me permette de pratiquer encore un peu le land art. Belles f^tes de fin d'année.
Je t'embrasse en toute amitié.
Roger
Excelente tu entrada, un trabajo fotografico muy variado y de calidad ademas de original,saludos.
RépondreSupprimerJesus Alvarez,
SupprimerMerci Jesus, toujours heureux de lire ici. Je passe régulièrement chez toi car je suis fan de tes photos.
Amitiés.
Roger
Avec un peu de retard - temps consacré à combattre la rudesse de la vie, qui ces temps-ci n'est pas tendre - unn grand merci pour ce carré tout de mousse et de couleur, si vivant !
RépondreSupprimerContinuez, Roger, à donner, à contempler, à recevoir aussi.
Avec mon amitié fidèle,
ANNE
(PS : aviez vous reçu mon courriel de Carnac?...)
Anne Le Maître
SupprimerMerci Anne, Les temps sont durs pour presque tout le monde, certains quelle que soit la tempêtes semblent être nés pour traverser la vie sa,ns grands problèmes au point que cela paraisse parfois, indécent.
Non, je n'ai rien reçu de vous en provenance de Carnac. Je savais que vous deviez passer en Bretagne, sans savoir quand ni où. Je n'ai pas bougé d'ici, ne pouvant, pour le moment envisager quelques voyages que ce soit. C'est dommage, nous nous serions sans doute rencontrés. Ce sera pour une autre fois.
Avec toute mon amitié.
Roger
Zut de zut ! Je vous renvoie ça...
SupprimerIl ne sera pour nous plus question de voyages avant longtemps, mais devant la stèle de Guillevic au milieu des petits pins, nous avons pensé à vous.
Zut de zut ! Je vous renvoie ça...
SupprimerIl ne sera pour nous plus question de voyages avant longtemps, mais devant la stèle de Guillevic au milieu des petits pins, nous avons pensé à vous.
Anne Le Maître
SupprimerMerci Anne pour cet ajout. Et effet, ce fût un rendez-vous manqué pour nous mais Guillevic nous a rassemblés à sa manière, celle de l'esprit. Guillevic ne voulait pas de tombe et c'est sa femme Lucie, rencontrée l'été dernier, en compagnie de mon ami et frère en poésie Serge,Mathurin Thébault, comment elle avait choisi cette lande, à l'écart du passage au point qu'il avait fallu créer un chemin et défricher le lieu où furent déposées les cendres de Guillevic.
Ce sera pour une autre fois, notre rencontre, peut-être en Bretagne..
Vraiment magnifique.
RépondreSupprimerVous laissez les fruits de la nature sortent magnifiquement dans cette belle œuvre. Vous aurez très velelwerk ici, mais il est plus que ce qu'il vaut. Merci de ce que vous arrivez à faire ces belles œuvres d'art.
Je vous embrasse.
Helma
Helma
SupprimerMerci Helma. Je suis bien aidé par la nature,c'est vrai, mais j'y mets mon grain de sel.
Belle fin de semaine.
Je vous embrasse,chère Helma.
Amitiés.
Roger
Hola Roger
RépondreSupprimerVisitar esta casa tuya, es siempre un momento de remanso, de paz, de libertad...Las piedras, el agua, la luz...tus palabras, tu manera de describir esos paisajes para quienes no los conocemos. Es como estar allí...Es como sentir esos dos mundos...Hasta oigo música (celta se me ocurre) Gracias por compartir y que la ruta 73 sea dichosa. Que celebres la vida con alegría el 20. Yo lo haré el 18. En mi caso, estoy despidiendo a la ruta 57 y aguardando esperanzada la 58.
¡Felicidades artista!
Un abrazo a la distancia
LU
SupprimerMerci, Lu. 57 ans, mais tu es en pleine jeunesse. Je te souhaite donc à mon tour un bon anniversaire. Merci pour ton commentaire et tes mots d'encouragement.
Bien amicalement.
Je t'embrasse doublement pour ton anniversaire.
Roger
je te souhaite une route 73 ...plein de cailloux.. pour faire tes créations !!!:))))
RépondreSupprimerELFI
SupprimerMerci Elfi. Lorsque j'ai fait mes premiers pas en land art, j'avais 55 ans et je ne savais ps que cet art m'aurait permis de le pratiquer aussi vieux. Mes belles années sont passées, car le land art est très physique et, petit à petit, la vie nous fait lâcher cette belle santé que nous rêvions éternelle, dans notre jeunesse.
Malgré justement, une santé défaillante, je vais , le 20 décembre prochain, mettre le pied sur cette route 73 en espérant qu'elle se termine mieux qu'elle ne commence.
Amitiés.
Roger
Sous le ciel qui observe
RépondreSupprimerpour les uns pour les autres
tu offres encore et encore
Comme il est bon en vérité
d'avoir un coeur de pierre
car son noyau assurément
contient les secrets de l'univers.
Bonne route Roger, le ciel ne sera pas défaillant, car il a encore besoin de toi !
Merci de tes visites, Merci !
Yanis
SupprimerMerci Yanis
Dans notre séjour de la maison, j'ai un gros galet d'une quinzaine de kilos, en granit. Il a la forme exacte d'un cœur, mais en plus gros. C'est mon fils qui, le trouvant sur plage du Finistère, me l'avait offert, il y a bientôt 30 ans, lorsque nous habitions en Normandie. Ce cœur de mon pays, fût souvent mon confident de ce mal du pays qui ne me quitta pas un jour en 30 ans. Il nous a suivi lors de notre retour au pays, ami précieux de notre temps d'exil.
Merci pour ton très beau poème.
Amitiés.
Roger
Je te souhaite de belles fêtes de fin d'année
RépondreSupprimerBises amicales à Bientôt
Océanique.
SupprimerMerci à toi et belles fêtes de fin d'année à toi, également.
Je t'embrasse.
Roger
Joy was regarded as personal wonderful doings!
RépondreSupprimerMerry Christmas to you all the time!
Liplatus
SupprimerMerci Liplatus et joyeux Noël à toi, également.
Amitiés.
Roger
et voilà ! on y est ! sur la route 73, pleine de bûches,
RépondreSupprimermais sans embûches, de perles de fruits multicolores, des anneaux équilibristes,
des galets bavards, des gros, des petits et l'énergie pour créer encore....
bon anniversaire Roger
MARTY
SupprimerMarty.Je sors de chez le kiné et il est beaucoup moins optimiste que toi. Espérons qu'il se trompe et que ce soit toi qui détient la vérité de cette route 73. Il me faudra quand même de la chance pour m'en sortir honorablement.
Je t'embrasse, chère Marty.
Roger
Eh bien, on est 2 à avoir le blues...
RépondreSupprimerJ'espère que tu seras bien entouré pour les fêtes,
je te souhaite une bonne "route 73" et encore plein d'énergie pour réaliser tes merveilles.
Toute ma sincère amitié et merci pour tes mots emprunts d'une grande sensibilité.
Noushka
SupprimerMerci Noushka. A propos de blues, je l'adore qu'il soit joué en musique ou qu'il soit chanté. Je crois bien être né avec cette musique en moi. La douleur permanente pompe pas mal l'énergie mais je fais tout pour guérir et retrouver la belle forme qui me faisait, en juin dernier, courir sur les rocher Bretons.
Pour ce qui est des mes mots écrits chez toi, je l'ai fait très sincèrement.
Je t'embrasse en toute amitié.
Roger
Oups, mon com s'est retrouvé posté sans mon accord!
RépondreSupprimerBises, Roger et bon courage :)
Nouska,
Supprimermerci pour la conclusion de ton commentaire qui a fini par arriver.
Nouvelle bise à toi, mais tu le mérites bien.
Roger
bon anniversaire cher Roger
RépondreSupprimerle temps passe à la vitesse du vent
il nous aère la tête et agite nos pensées
nous fait du bien et comme tes magnifiques
cairns nous permet de garder l'équilibre et
la tête sur les épaules à l'entrée encore douce
de l'hiver breton... :-) je m'égare...
73 c'est bien cher baroudeur
il reste encore du chemin à parcourir
bon vent à toi
A bientôt
je t'embrasse
Patrick L.
Patrick Lucas,
SupprimerMerci Patrick. Même à la recherche permanente de la légèreté, certaines périodes semblent alourdir l'existence. Pourtant quelque chose me dit que justement, je n'ai pas tout dit dans ce domaine du land art. Je met tout en œuvre pour me réparer. Après, je ferai avec ce qu'il me restera de disponible en moi pour parcourir cette nouvelle route. Belles fêtes de fin d'année.
Je t'embrasse.
Roger
Happy birthday to you Roger, and your on Route 73, good luck.
RépondreSupprimerBob Bushell.
SupprimerMerci Bob, avec un peu de chance, ce sera une très belle route.
Amitiés.
Roger
wow. just amazing, roger! the balancing on the circles is spectacular!
RépondreSupprimerTexWisGirl
SupprimerMerci à toi. Oui, ce cercle de fer est magique, tout simplement. Belle semaine et à bientôt.
Amitiés.
Roger
Merci pour votre passage dans mon jardin d'ombres et pour la poésie et le bien être qui se diffuse dans vos créations, et Bon anniversaire!
RépondreSupprimerLaura-Solange
SupprimerBienvenues dur le Chemin des Grands Jardins et merci pour votre commentaire. Bien amicalement.
Roger
Heureux anniversaire, et bon début de cette nouvelle année. Les kinés n'ont pas toujours le dernier mot. :)
RépondreSupprimerComo siempre, Roger, unas hermosas creaciones muy respetuosas con la naturaleza.
Un abrazo
· LMA · & · CR ·
La spirale à Charlie est superbement bien exécutée Roger
RépondreSupprimerBonne année près des grèves ventées et sublimes que j'aime tant moi aussi...