à Marie-Claude...
Six semaines d'attente, six semaine sans pratique, un petit désert à traverser. Il m'est arrivé de traverser des hivers de solitude, alors, six semaines. Je prends la direction des plages. Je traverse la plaine nord et arrive bientôt, près du chemin creux aux arbres couchés par les vent de mer. Il sont au nord et je l'entends. Je descend vers la plage. Un souffle mêlé d'embruns me prend le visage. Le temps est clair, et j'aperçois le Havre à 60 km sur ma droite. L'angoisse qui m'étraignait en partant, se clame. Je suis auprès d'elle. Je suis avec elle, je vais travailler pour elle. La mer est presque haute. Pas de spirale de sable possible. Ce sera des cairns, encore des cairns, jusqu'au bout de mes forces.
Le premier se dresse sur une base assez lourde que j'ai du mal à porter. Ce travail de force me plait . Il sera suivi d'un travail de recherche d'équilibre, plus fin, plus subtile. La mer déroule de petites vagues blanches qui viennent me mouiller les pieds. Il y a beaucoup de pierres, des milliers, mais chaque cairn est particulier. Les pierres me parlent, je les sens, les choisis, à l'oeil, puis les tourne, les retourne, les palpe, les lave, les essuie, une à une. Il faut qu'elles se plaisent, qu'elles s'accordent, qu'elles s'entendent. Et puis, elles 's'amourachent, vivent leur vie de cairn, et m'oublient. On dirait qu'elles sont la à pour une éternité. Et c'est long une éternité de cairn. Elle se terminera dans l'éphémère d'une volonté suprême et finira par enlacer la loi universelle de l'entropie, rejoignant la foule des pierres anonyme qui jonche la plage.
Je suis heureux comme un enfant qui retrouverai un peu de liberté après l'école. Les cairns se succèdent et je termine par une " échelle des jours", c'est le nom que je donne à cette construction comprenant 7 niveaux, comme les 7 jours de la semaine. Je l'élève en deux fois, le premier ayant perdu les 3 derniers étages. On peut dire, en dehors du fait que c'est très lourd et assez dangereux à réaliser, que c'est également, un corps à corps avec les pierres. Par certains moments, c'est l'ensemble que j'appuie sur mon corps pour recaler les équilibres. Chaque " bascule" doit être calée par de petites pierres, sous peine de voir l'ensemble s'écrouler. Une fois réussi, c'est un bonheur que de le voir sous fond de mer, avec ces petites fenêtres qui découpent l'espace et laissent passer la lumière.
Quelques jours plus tard, direction la plage de Ouistreham. C'est ce jour même. Particularité de ce lieu, désert et à marée basse. Je n'ai pas réalisé de spirales depuis plus de 6 semaines. Angoisse pendant la marche d'approche. Vais-je encore savoir. Dire que l'on m'a soufflé d'innover. Chaque spirale est différente et oh ! combien, innovante. S'ils savaient ce que j'y laisse de ma vie, qui elle ne se renouvellera pas. Les mots, parfois, ça nous dépasse, ça peut blesser. C'est fragile un artiste, trop, sans doute. Je pense à tout cela, mais l'air est si doux, la lumière dorée. Mes pensées s'envolent vers Marie-Claude. Son regard bleu.
Je sonde plusieurs endroits pour trouver le meilleur sable.
Ce sera là. Pour la mer : " To The Sea ". Car elle est là, présente qui déroule d'autres vagues bien ourlées et que j'entends prendre possession du sable" Fchhhh. Fchhhh " à l'infini. Je plante mon talon gauche dans le sable et c'est parti pour un heure un quart. Oui, c'est long. Un jour, un homme m'avait demandé comment je pouvais tracer de telles figures géométriques, sans outil de traçage.Il ne m'avait pas vu à l'œuvre. J'aurai dû lui répondre : eh! bien voila, monsieur : j'ai un GPS qui me dit: tournez à droite...tournez à droite...Tournez à droite, et puis j'arrête quand je n'ai plus d'essence. J'ai pensé à ça, ce midi en traçant ma spirale, et je me suis dit que toutes les pensées ne sont pas bonnes à dire, c'est pour cela que je l'écris.
J'ai bénéficié d'une lumière exceptionnelle, jusqu'à la fin, avec ces tons mordorés. Des moments rares que j'ai offert à la mer.Comme elle était très basse et encore loin de la spirale, je suis allé vers elle, pour la saluer et pour lui faire un autre cadeau. J'ai écrit dans le sable
CAR IL FAUT QUE CHACUN COMPOSE LE POÈME DE SA VIE puis j'ai signé
Youenn Gwernig
J'aime bien ce poète Breton. Dommage qu'il ne soit plus de ce monde. Cette phrase, je la pense souvent et j'essaie de la mettre en application. Je trouve que c'est un bon programme.
Après, j'ai regardé le Ferry s'éloigner vers l'horizon avant de quitter la mer. Le soleil basculait derrière les sapins, il était dix sept heures quarante cinq. J'ai pris mon téléphone pour appeler Marie-Claude. J'aime l'entendre. Je suis remonté vers le haut de la plage sans me retourner, sans angoisse, avec l'envie de reprendre le land art, maintenant que l'alerte était passée.
Roger Dautais
à Guy Allix
Je suis si loin du rythme intérieur, freiné par la langue, la main, l'oreille, la bouche.
Il faudrait des étincelles d'esprit.
Feu d'artifice, mais au niveau atomique.
Atomiser l'intention du paraître, oublier le spectateur. Être seulement, l'instant poétique lde la nuit, seul lieu physique de mon refuge,
halte laborieuse mais obligatoire reprise du souffle pour ce corps qui souffre et ne rend pas ce que je voudrais qu'il rendît.
Bien sûr, il est trop tard, mais c'était déjà comme ça, le jour de ma naissance.
Les dés sont pipés
La mort est gagnante.
J'accepte d'être provisoirement vu, puisqu'après la disparition, on acceptera pour moi, d'être " provisoirement absent", et dieu sait s'il est des absences qui durent une éternité. Nous sommes tous des gardiens de cette éternité, perpétuée, perpétuel écho des échos.
Mes pensées vont d'abord aux miens, proches, qui acceptent, bien sûr, mais ressentent chaque jour l'étranger s'installer dans leur vie.
J'aurai voulu plus beau matériellement, moins pauvre, moins dépendant.
Je n'ai jamais pu entreprendre autre chose qu'une longue marche, une interminable route.
C'est ce que j'appelle "être".
C'est ce que les autres nomment, marginalité.
A qui la faute.
Roger Dautais
Six semaines d'attente, six semaine sans pratique, un petit désert à traverser. Il m'est arrivé de traverser des hivers de solitude, alors, six semaines. Je prends la direction des plages. Je traverse la plaine nord et arrive bientôt, près du chemin creux aux arbres couchés par les vent de mer. Il sont au nord et je l'entends. Je descend vers la plage. Un souffle mêlé d'embruns me prend le visage. Le temps est clair, et j'aperçois le Havre à 60 km sur ma droite. L'angoisse qui m'étraignait en partant, se clame. Je suis auprès d'elle. Je suis avec elle, je vais travailler pour elle. La mer est presque haute. Pas de spirale de sable possible. Ce sera des cairns, encore des cairns, jusqu'au bout de mes forces.
Le premier se dresse sur une base assez lourde que j'ai du mal à porter. Ce travail de force me plait . Il sera suivi d'un travail de recherche d'équilibre, plus fin, plus subtile. La mer déroule de petites vagues blanches qui viennent me mouiller les pieds. Il y a beaucoup de pierres, des milliers, mais chaque cairn est particulier. Les pierres me parlent, je les sens, les choisis, à l'oeil, puis les tourne, les retourne, les palpe, les lave, les essuie, une à une. Il faut qu'elles se plaisent, qu'elles s'accordent, qu'elles s'entendent. Et puis, elles 's'amourachent, vivent leur vie de cairn, et m'oublient. On dirait qu'elles sont la à pour une éternité. Et c'est long une éternité de cairn. Elle se terminera dans l'éphémère d'une volonté suprême et finira par enlacer la loi universelle de l'entropie, rejoignant la foule des pierres anonyme qui jonche la plage.
Je suis heureux comme un enfant qui retrouverai un peu de liberté après l'école. Les cairns se succèdent et je termine par une " échelle des jours", c'est le nom que je donne à cette construction comprenant 7 niveaux, comme les 7 jours de la semaine. Je l'élève en deux fois, le premier ayant perdu les 3 derniers étages. On peut dire, en dehors du fait que c'est très lourd et assez dangereux à réaliser, que c'est également, un corps à corps avec les pierres. Par certains moments, c'est l'ensemble que j'appuie sur mon corps pour recaler les équilibres. Chaque " bascule" doit être calée par de petites pierres, sous peine de voir l'ensemble s'écrouler. Une fois réussi, c'est un bonheur que de le voir sous fond de mer, avec ces petites fenêtres qui découpent l'espace et laissent passer la lumière.
Quelques jours plus tard, direction la plage de Ouistreham. C'est ce jour même. Particularité de ce lieu, désert et à marée basse. Je n'ai pas réalisé de spirales depuis plus de 6 semaines. Angoisse pendant la marche d'approche. Vais-je encore savoir. Dire que l'on m'a soufflé d'innover. Chaque spirale est différente et oh ! combien, innovante. S'ils savaient ce que j'y laisse de ma vie, qui elle ne se renouvellera pas. Les mots, parfois, ça nous dépasse, ça peut blesser. C'est fragile un artiste, trop, sans doute. Je pense à tout cela, mais l'air est si doux, la lumière dorée. Mes pensées s'envolent vers Marie-Claude. Son regard bleu.
Je sonde plusieurs endroits pour trouver le meilleur sable.
Ce sera là. Pour la mer : " To The Sea ". Car elle est là, présente qui déroule d'autres vagues bien ourlées et que j'entends prendre possession du sable" Fchhhh. Fchhhh " à l'infini. Je plante mon talon gauche dans le sable et c'est parti pour un heure un quart. Oui, c'est long. Un jour, un homme m'avait demandé comment je pouvais tracer de telles figures géométriques, sans outil de traçage.Il ne m'avait pas vu à l'œuvre. J'aurai dû lui répondre : eh! bien voila, monsieur : j'ai un GPS qui me dit: tournez à droite...tournez à droite...Tournez à droite, et puis j'arrête quand je n'ai plus d'essence. J'ai pensé à ça, ce midi en traçant ma spirale, et je me suis dit que toutes les pensées ne sont pas bonnes à dire, c'est pour cela que je l'écris.
J'ai bénéficié d'une lumière exceptionnelle, jusqu'à la fin, avec ces tons mordorés. Des moments rares que j'ai offert à la mer.Comme elle était très basse et encore loin de la spirale, je suis allé vers elle, pour la saluer et pour lui faire un autre cadeau. J'ai écrit dans le sable
CAR IL FAUT QUE CHACUN COMPOSE LE POÈME DE SA VIE puis j'ai signé
Youenn Gwernig
J'aime bien ce poète Breton. Dommage qu'il ne soit plus de ce monde. Cette phrase, je la pense souvent et j'essaie de la mettre en application. Je trouve que c'est un bon programme.
Après, j'ai regardé le Ferry s'éloigner vers l'horizon avant de quitter la mer. Le soleil basculait derrière les sapins, il était dix sept heures quarante cinq. J'ai pris mon téléphone pour appeler Marie-Claude. J'aime l'entendre. Je suis remonté vers le haut de la plage sans me retourner, sans angoisse, avec l'envie de reprendre le land art, maintenant que l'alerte était passée.
Roger Dautais
à Guy Allix
Je suis si loin du rythme intérieur, freiné par la langue, la main, l'oreille, la bouche.
Il faudrait des étincelles d'esprit.
Feu d'artifice, mais au niveau atomique.
Atomiser l'intention du paraître, oublier le spectateur. Être seulement, l'instant poétique lde la nuit, seul lieu physique de mon refuge,
halte laborieuse mais obligatoire reprise du souffle pour ce corps qui souffre et ne rend pas ce que je voudrais qu'il rendît.
Bien sûr, il est trop tard, mais c'était déjà comme ça, le jour de ma naissance.
Les dés sont pipés
La mort est gagnante.
J'accepte d'être provisoirement vu, puisqu'après la disparition, on acceptera pour moi, d'être " provisoirement absent", et dieu sait s'il est des absences qui durent une éternité. Nous sommes tous des gardiens de cette éternité, perpétuée, perpétuel écho des échos.
Mes pensées vont d'abord aux miens, proches, qui acceptent, bien sûr, mais ressentent chaque jour l'étranger s'installer dans leur vie.
J'aurai voulu plus beau matériellement, moins pauvre, moins dépendant.
Je n'ai jamais pu entreprendre autre chose qu'une longue marche, une interminable route.
C'est ce que j'appelle "être".
C'est ce que les autres nomment, marginalité.
A qui la faute.
Roger Dautais
Roger:
RépondreSupprimerTu post plagado de bella poesía extrema sensibilidad del alma.
Sentir así es honrar la vida.
saludos!
Toujours de magnifiques clichés ...
RépondreSupprimerJe t'invite Roger à visiter mes compositions éphémères de feuilles, plus légères que les pierres de tes créations, pourtant aussi légères parfois, face à la force de l'océan ...
Roger, j'aime la délicatesse de cet éventail à leurs jaunes. J'imagine une femme asiatique sortir de l'eau en le tenant à la main. Une petite fleur jaune comme celle-ci en guise de rouge à lèvres... Je m'égare mais ça fait du bien. Merci pour ce moment d'évasion. Bonne soirée à toi.
RépondreSupprimerJE VOUS Aperçois alors je ne peux résister à cliquer
RépondreSupprimerje dois me lever tès tôt
alors je reprendrai la visite et la lecture demain soir ou samedi mon coeur mes yeux et justement ce matin je pensais à vous
avec un phrase de LAO TZEU
JE VOUS DIS çà BIENTÖT
RAVIE
Très belles photos,que du plaisir en passant chez toi,bon fin de semaine.
RépondreSupprimerHello Roger
RépondreSupprimerJe sens à la lecture de tes mots la couleur de l'absence mêlée à une joie discrète pleine de délicatesse.
C'est un vrai bonheur de te suivre
A bientôt
Patrick
J'aime le long personnage de feuilles, marchant dans le ciel et dormant sur l'eau...
RépondreSupprimerToujours et encore, tu fais du bien à nos yeux et à nos âmes...
Je pense à toi et suis heureuse de savoir que tu "spirales" de nouveau.
Bises d'Ep'
*** La mer doit certainement être la plus heureuse de voir tout le travail que tu fais ! toute cette passion et tout ce talent qui ressortent de tes œuvres éphémères ... c'est EXTRA Roger !
RépondreSupprimerLa mer t'aime et elle a demandé au ciel de te donner la plus belle lumière pour que tu puisses prendre ces magnifiques photos et les partager avec nous. MERCI ROGER, c'est une dose de bonheur de venir chez toi ! :o) BISES et bonne fin de semaine à toi Roger ! ***
C'est beau de sublimer son angoisse dans la création, et de plus dans une telle création...
RépondreSupprimerJ'adore ton "échelle des jours", ce qu'elle est, et puis l'expression, si belle, comme si le passage des jours nous permettait de nous élever...
Bon retour, Roger et belle journée.
Ta visiteuse matinale, Norma
Luz,
RépondreSupprimerMerci pour ce premier commentaire, arrivé très vite avec les deux précédents, ce qui m'étonne toujours.
Je te souhaite de passer une belle journée,
Roger
Adiante,
RépondreSupprimerJe viens d'aller, à invitation, visiter ton jardin que je trouve très agréable. A l'image de ton pseudonyme, tu aimes à déroules ces formes en crosse de fougère et il ne reste plus qu'à quitter ton jardin pour te lancer dans le land art en pleine nature.
Merci pour ton commentaire,
Roger
Olivia,
RépondreSupprimerTon imagination de peintre colore jusqu'à tes commentaires. Je ne vais pas m'en plaindre, bien au contraire. Belle journée en création dans le golfe du Morbihan.
Roger
Franky PAIN,
RépondreSupprimerMerci pour votre commentaire. Belle journée à vous.
Roger
tu arte fluye y me gusta dejarme llevar
RépondreSupprimerSIMO,
RépondreSupprimerUn petit mot du Maroc, venant de toi, m'honore toujours.Passe le bonjour à tes élèves et belle journée à toi,
Amicalement,
Roger
L'échelle des jours ! Voilà de quoi me faire gamberger ... Je lis et relis tes billets ... Ta démarche est si originale et j'aime ton cheminement ! Alors, le renouvellement à la mode ... ça me fait sourire. La liberté n'a que faire de ce genre de diktat. Amicalement
RépondreSupprimerPatrick Lucas,
RépondreSupprimerJe te remercie de tes mots d'encouragement.
Bien à toi,
Roger
Epamin'
RépondreSupprimerTu partages mon bonheur de me voir à nouveau "spiraler" et tu le peux. Hier, j'avais l'impression de tracer ma première spirale tout en continuant aussi à dérouler une très longue histoire, celle de ma vie.
Belle journée à toi,
Je t'embrasse,
Roger
Nancy,
RépondreSupprimerJ'aime le mot éphémère. Il qualifie mon travail, il lui donne toute sa force. Imagine que j'aie gardé tout ce que j'ai fait depuis 50 ans, dont 11 années de land art. Ce serait le contraire d'un trésor. Simplement un poids. Je ne pourrais plus avancer. Je préfère cette marche en avant dont je connais l'issue. Chaque jour est une chance de plus à conquérir, les pieds bien sur terre, les yeux grands ouverts.
Belle fin de semaine à toi. N'oublie pas ton appareil photo, nous attendons tes reportages.
Je t'embrasse, Roger
Norma,
RépondreSupprimerJe salue en toi, la visiteuse matinale. Tu parles de l'échelle des jours, ce cairn montré un jour à mon ami Peter Irnicq, chaman Inuit et qui l'intriguait aussi. Parce que, me disait-il, il ressemble dans l'esprit aux Inuksut que nous élevons sur la banquise du grand Nord Canadien. C'est vrai qu'il y avait quelques ressemblances et pour tant, nous habitions à des milliers de kilomètres et nos cultures étaient si différentes. J'avais eu des conversations a peu près semblables avec un land artiste Japonais, venu travailler avec moi, en France. Le land art est universel et fait passer beaucoup d'émotions entre les êtres. Il laisse rarement insensible. C'est une de ces caractéristiques.
Je n'élève plus souvent "d'échelle des jours" car c'est lourd, difficile, dangereux, parfois, lorsque cela s'écroule, bref, les petits soucis du land art !
Camino Roque,
RépondreSupprimerOn ,n'emporte dans ses mains, ni la mer, ni le fleuve, ni la rivière, ni l'eau du ciel mais cette eau est indispensable à la vie, c'est peut-être pour cela qu'elle est libre...Mais pour combien de temps.
Merci de ton commentaire poétique.
Amicalement,
Roger
Gine,
RépondreSupprimerJe suis d'accord avec toi. Ils ne sont que des petits cailloux dans nos chaussures, mais parfois, ça empêche de marcher.
Merci de ton commentaire et de tes mots d'encouragement et d'amitié,
Roger,
bonjour Roger tu as repris la marche vers la mer ....et
RépondreSupprimercelle vers l'être ne te quitte jamais," essayer de se tenir là, dans la lumière de l 'être" ces mots B.Sebise...ton poème vers Guy Allix je l' aime beaucoup, il sonne le réveil par " l'instant poétique de la nuit" je t'embrasse de tout coeur
lao tzeu disait qu'il fallait écrire sa douleur dans le sable et gravée ses joies sur la pierre
RépondreSupprimeret bien sur je n'ai pu que pensé à vous hier
"L'angoisse qui m'étraignait en partant, se clame." quand ma souffrance est grande je la chante comme dans un chant juif ou tzigane, comme les grandes pleureuses et depuis que je fais çà ce chant de douleur l'éléver et les instants d'aprés je me sens moins entamée , plus forte
et quand j'ai lu votre phrase : j'étais heureuse car la clamer et de cet ordre "in full voice"
"Il faut qu'elles se plaisent, qu'elles s'accordent, qu'elles s'entendent."
c'est comme l'écriure un verbe un mot
mais les pierres diable depuis que vous ête rentré dans ma vie par vos mots vos images et les phases narratives de la nature de vous et de la matièe vivante
mon regard change de point de vue des morceau de bois des travaux du tramway de la barrière de paris rentre dans mon sac
et le réve
mes crochets mes coutures c'est influencée et je ne cherche pas ça vient au bout des bois
des doigts le lapsus
"un corps à corps avec les pierres" no commente vous imaginez simplement
je connais vos plages j'ai tourné un film où j'avais le premier rôle à ions une des plage du débarquement
." C'est fragile un artiste, trop, sans doute"
il ne peut -être autrement, c'est une telle vie quand les gens gentil vous disent allez tire une croix
je crie toujours,
nous ne pouvons être artiste en nous bardant de défenses c'est confortable dans la joie car nous avons de vrais extases mystiques
mais dans le doute et la douleur le wagon de l'émotion nous taraude puissamment
nous pas s'être moins nous sommes
je suis ravie quand vous écrivez je prend le téléphone j'aime l'entendre
belle journée
merci de votre giacometti de feuilles à bientôt
Je trouve aussi que c'est un très beau programme de composer le poème de sa vie... vos gisants me touchent beaucoup, des "gisants éphémères" je trouve que c'est un beau symbole des rythmes de la vie et de la mort, un appel à s'émerveiller maintenant ou jamais, c'est en tout cas comme cela que je les perçois, j'aime particulièrement celui-ci, de quoi est-il fait, d'algues séchées ?
RépondreSupprimerJe que j'admire aujourd'hui c'est : l'équilibre! L'équilibre de tes deux cairns! Le travail d'équipe de tes pierres choisies avec attention...
RépondreSupprimerEt les nuages qui se reflètent tout près de ta composition de petites fleurs jaunes, poésie que j'aime beaucoup!
Bonne journée Roger
Je n'ai pas trouvé la "solution" de la bulle.
RépondreSupprimerCela m'interpelle.
Le feuillage de lierre rougissant me fait penser un personnage très élancé.
Les trois derniers clichés sont mes préférés même si j'apprécie beaucoup le relief donné à la spirale
merci et bonne journée
La prochaine fois que je verrai un ciré jaune sur la plage de Ouistreham je serai plus attentive
Bonjour Roger, les deux textes et les images de tes dernières interventions sont d'une grande douceur terrestre et fraternelle,sea you sun Roger: Amitiés fraternelles,thibault
RépondreSupprimerL'équilibre dans les pierres, l'équilibre dans la vie, même travail souvent lourd à porter et difficile à atteindre mais le résultat est toujours magnifique.
RépondreSupprimerMerci.
Coucou Roger, tu sais ce que j'ai fait, il a fallu que j'aille sur la photo pour recompter les 7 étages de ton échelle des jours ! Mais enfin c'est bête ce besoin de vérifier ... en fait ce n'était pas que j'ai mis en doute la véracité de ton récit, mais j'étais tellement ahurie, 7 niveaux en si précaire équilibre. Du coup, je me suis balladée dans le billet du jour, puis partout dans ton blog, de ci, de là. Un bonheur pour toi de t'y être remis, un encore plus grand bonheur pour nous d'admirer tes réalisations. Quant aux grincheux qui veulent... comment dis-tu... qui t'ont soufllé d'innover, mais où ont-ils les yeux ???
RépondreSupprimerRoger
RépondreSupprimerton dernier texte est criant de vérités...
la 6e photo, "se mettre à la table", comme ont dit par chez-nous ! original.
C'est de l'art qui passe des trois dimensions pour aller dans la quatrième... l'utilisation de l'espace entourant tes œuvres, pour aller a un autre niveau !
merci
Brigitte Maillard,
RépondreSupprimerJ'aime la lumière qui vient de la mer, celle qui vient de Mari-Claude, celle des autres et je préfère le travail en solitaire, lorsque il n'est plus question de se pavaner mais d'œuvrer pour répondre à cette voix intérieure qui me dicte. J'aime la poésie des autres. Je lis beaucoup de textes. Je ne les retiens pas. Ils sont en moi. Je n'ai plus qu'à écouter et transcrire ce qui me viens par moments. Il n'y a pas beaucoup de moments de répit. je suis fait comme ça depuis l'enfance. Il faut juste continuer à avancer sur ce chemin, jusqu'au bout, sans rien attendre.
Merci de ta présence amicale.
Je t'embrasse,
Roger
Franky PAIN,
RépondreSupprimerLe plus important, oublier nos habitudes, changer de regard sur les gens , les choses, pour mieux les découvrir et mieux les aimer.
Merci pour votre long commentaire.
Roger
Mingingi des Prairies,
RépondreSupprimerJ'ai réalisé ce gisant avec de la vase noire, que l'on trouve dans l'estuaire de l'Orne (Calvados) et sur la rive droite. Le fort coefficient de marnage, rend le lieu particulier. 0 marée haute, le fleuve se confond avec la mer. à marée basse, il se retire dans son lit et laisse de larges rives dont certaines parties ne sont atteintes qu'aux grandes marées. Cet été là, une sécheresse durable s'installa en Normandie et les algues vertes devinrent de vrais parchemins. Cette peau blanche me servit à recouvrir le gisant. Il m'est venu à l'idée, ensuite, de l'entourer d'une sorte de tapis qui fût emporté par une grande marée. Dans mon imaginaire, je le voyais flottant sur la Manche, rejoindre le monde des trépassés.
Voilà toute l'histoire.
Merci de ton commentaire et à bientôt,
Roger
Enitram
RépondreSupprimerIl faut être en forme et équilibré soi m^me pour réaliser ces installations qui peuvent paraître simples mais ne le sont pas. Beaucoup de plaisir dans ce travail.
Quant aux nuages, c'était un cadeau du ciel, il fallait juste réussir la photo après l'installation.
Merci de tes mots amicaux,
Roger
AUTOURDUPUITS
RépondreSupprimerJe publie beaucoup de photos, en ce moment, parfois avec des reprises, pour que les nouveaux lecteurs les découvrent. Tu dis que cette bulle est mystérieuse, c'est vrai, elle l'est. La prochaine fois que tu vois un homme tracer une spirale à Ouistreham, il y a des chances que ce soit moi. Tu peux venir me saluer si tu le veux.
Belle soirée à toi,
Roger
Thige,
RépondreSupprimerC'est un vrai compliment de ta part et je l'accepte volontiers en gage d'amitié.
Je te salue fraternellement,
Roger
Corinne Laflaquière,
RépondreSupprimerQuelques mots justes et tout est dit. Je vous en remercie.
Belle soirée au Canada, et bonjours aux amis Canadiens que je salue au passage avec grande amitié.
Roger
Michelaise,
RépondreSupprimerHeureusement que je ne m'étais pas trompé dans les étages ! Si tu regardes dans mes pages plus anciennes, tu trouvera des cairns atteignant les 3 m de haut sur lesquels tu aurais pu grimper comme dans un arbre. Leurs poids variant entre 7 et 10 tonnes, leur donnait une bonne stabilité, mais là, impossible de compter les pierres. Mes spirales font toutes ( à quelques exceptions près, 24 fois le tour du centre, représentant, ainsi, les 24 heures du jour. Parfois on arrive à les compter sur les photos.
Merci de ton long commentaire.
Bien amicalement, je te souhaite une belle soirée,
Roger
Carol Proux,
RépondreSupprimerMerci de commentaire. Cette 6ème installation, très légère, réalisée avec de très gros roseaux et des fruits de l'églantier, représentait effectivement une table d'offrande aux marais. Je trouvais en même temps intéressant de photographier le reflet de cette table dans l'eau, à la rencontre des esprits des lieux, de l'autre côté du miroir.
Je te souhaite de passer un week-end créatif dans ton beau pays, le Canada.
Amicalement,
Roger
Les plages normandes se sont surement languies de tes poétiques visites et ces offrandes de retour les ont sans aucun doute enchanté, désertées qu'elles sont par les frileux.
RépondreSupprimer"C'est fragile un artiste" écris-tu, les artistes (les vrais) engagent leur âme, leur oeuvre est une extension de leur vie, une extension de leur coeur et chaque regard critique ou admiratif est ressentit au plus profond d'eux même.
Bonjour, Roger.
RépondreSupprimerLa recherche de l'équilibre dans le réel mais toujours la quête à l'imaginé dans l'imagineire, entre l'instant et l'éphémère.Ainsi se crée aussi une palette de couleurs miraculeuse et transparente.
Merci beaucoup,
En fraternité.
ton univers est si beau,
RépondreSupprimerqu'il me laisse sans mot,
chaque fois,
a chaque publication,
je suis comme sans voix,
et puis,
les mots, qui me viennent juste aprés sont si nombreux ..........
en résumé,
""MERCI"", ROGER,
continue,
a partager,
et a faire vibrer ton univers,
ses ondes, traversent l'écran...
et pas rien que pour un petit moment....
""que c'est beau...., mais pas seulement...""
belle et douce journée,
prends bien soin de toi, bisesss
il faut atteindre la perfection pour garder
RépondreSupprimerl'équilibre ! c'est étonnant ce corps à corps
avec ces lourdes pierres pour aboutir à ces
cairns légers légers !! tout aussi légers et
harmonieux tes créations florales éphémères
et si précieuses ! c'est beau !
je te souhaite un joli et doux week end
Merci pour cette poésie, pour cet art, pour cette beauté qui nous est offerte au travers de ces oeuvres et de ces mots.
RépondreSupprimerBelle fin de semaine !
J'ai l'assurance, en venant me promener chez toi, de savourer la complicité de l'oeuvre et de la nature, fixés sur la toile pour être dévorés des yeux ...mais tous les sens sont sollicités, j'entends la mer et je sens l'iode, il me semble même qu'il y a du sable dans mes chaussures !
RépondreSupprimerLes cairns exercent sur moi une certaine fascination, et là je suis gâtée,
Cela calme ton angoisse dis-tu ? ... je saurai quoi faire à la prochaine crise, alors, et il y a lieu de penser que les labos pharmaceutiques te surveillent avec inquiétude !
Merci et encore merci...
Chuchoter... Murmurer... Dire tout bas en toute intimité que j'adore me poser chez vous. J'ai regardé curieusement cette bulle transparente qui me parle de maternité, de création, d'enfantement dans un tel sentiment de protection, de douceur. Les branches-bras-mains de cet arbre entourent si précautionneusement qu'on a envie de s'y lover à son tour. Merci de vos créations, de vos enfantements et de vos mots. Précieux...
RépondreSupprimerBonjour Roger,
RépondreSupprimerJe suis de retour et viens de passer un long et agréable instant sur ton blog.
Ce que j'aime dans tes oeuvres, c'est que tu créais avec la nature des oeuvres éphémères et la nature fait le reste sur leur fin de vie.
Amicalement
Jawah
Maïlliki, C'est fragile, oui, mais il faut transformer cette fragilité en force et l'insuffler dans le travail et la communication avec l'autre.
RépondreSupprimerMerci de ton commentaire et de tes mots si touchants.
Amicalement,
Roger
Herbert,
RépondreSupprimerIl faut bien admettre que nous sommes devant une part de mystère, dans ces création et accepter que cela nous dépasse. Nous restons les maillons d'une chaine, des passeurs. Il faut œuvre humblement et puis accepter de partir, c'est notre destin.
Je te salue fraternellement,
Roger
Claire,
RépondreSupprimerTant de mots qui m'arrivent et coulent de source alors que je suis dans un doute quasi permanent. Nous ne connaissons jamais bien la portée de nos actes. Qu'ils se transforment en petits bonheurs, en part de rêves, voire en amitié, on ne peut rêver mieux, mais il ne faut pas s'endormir. Voir la vie, avec les grands ouverts, jusqu'à la fin et avancer...
Avec toute mon amitié.
Je t'embrasse en te souhaitant un beau Dimanche.
Roger
Marty,
RépondreSupprimerle week-end est gris et pluvieux, mais j'aime ce temps, il resserre sans doute l'horizon mais nous rappelle aussi la qualité indispensable de l'eau. Se mouiller fait partie de la vie au sens propre comme au sens figuré.
Merci pour ton commentaire.
Roger
naline,
RépondreSupprimerBienvenue sur Le Chemin des grands Jardins. Je viens d'aller sur ton blog que je découvre à mon tour, poétique et artistique à la fois. Un bel univers que le tiens.
Merci de ton commentaire et à bientôt.
Roger
solveig,
RépondreSupprimerPa de problème pour les labos, ils font leur beurre. On ne peut pas tout jeter non plus. Il y a des gens très malades qu'il faut bien soigner. C'est ua système sans doute qu'il faudrait penser autrement.
Je sais que tu l'écris avec humour et j'apprécie cela. Lorsque je décris les choses ou un comportement, un état, c'est vraiment une façon personnelle de m'exprimer sans calculer. Parfois, je me dis, je n'aurai pas du, mais cela ne dure pas longtemps.Il faut avancer, tant que l'on est en vie. Il y a beaucoup de blogs tenus par des femmes. Leur univers est fascinant parfois et semble tellement nous dépasser dans la perception de la vie. J'y prends beaucoup de leçons. Ton blog en fait partie.
Belle journée,
Roger
Leeloo,
RépondreSupprimerQuelle plume derrière cette brindille que le vent agite doucement. J'ai travaillé avec cette bulle transparente, l'intégrant au paysage, la forêt, la plage, la mer, le fleuve, avec toujours cette interrogation devant cette interface mystérieuse qui filtrait la lumières et les formes.
Un jour, je m'en suis séparé pour ne pas tomber dans le systématique. Ce fût une parenthèse bien agréable dans ma création land art, qui se résume, maintenant à quelques photos.
Beau Dimanche à vous et à bientôt,
Roger
Je déplore aussi qu'il y ait si peu d'hommes qui tiennent leur blog... le tien ne m'en est que plus précieux !
RépondreSupprimersolveig,
RépondreSupprimerJe le déplore comme toi, sans savoir à quoi cela tient.
Bonne fin de journée et à bientôt,
Roger
Très minéral, ce billet. Et pourtant non figé mais dansant.
RépondreSupprimerGuilleret, presque.
Bonne semaine, Roger ; trouve ton bonheur de chaque jour !
*** Hello Roger !!! J'espère que tu as passé un bon week-end ! Chez nous la pluie était très présente !!!! je te souhaite un très bon début de semaine ! GROS BISOUS à toi Roger ! :o) ***
RépondreSupprimeranne des ocreries,
RépondreSupprimerJe vais suivre ton bon conseil. Merci à toi et bonne semaine à toi, également...
carpe diem,
Roger
Nancy,
RépondreSupprimerBonjour, amie matinale. Nous partageons le même ciel. La pluie a toujours fait partie d'un univers que j'aime bien. Je déplore seulement, ses débordements.
Belle semaine à toi,
Je t'embrasse,
Roger
Travail époustouflant de beauté. Je ne peux rien dire d'autre tellement je suis sous le charme ! J'ai connu Youenn Gwernig et c'était un sacré bonhomme ! Pour la petite histoire je lui avais offert sa caricature ( sonnant du biniou à Central Park )et en retour il m'avait écrit une préface juste et sensible pour un livre de caricatures sur les bretons.
RépondreSupprimerHeffe,
RépondreSupprimerJe confirme, Youenn Gwernig était un sacré bonhomme. Son œuvre est très présente dans le cœur des bretons, mais pas seulement. Cette phrase de lui m'accompagne depuis au moins 25 ans, peut-être plus et j'essaie de l'appliquer chaque jours.
Merci de ton commentaire,
Kenavo
Roger
*** Un petit coucou en passant chez toi Roger et surtout DE GROS BISOUS A TOI ! :o) ***
RépondreSupprimerc'est un poème tout en douceur que tu traces en mots et en image, merci pour ces instants.
RépondreSupprimerbien à toi.
*** Hello Cher Roger ! Je prends mon p'tit déj ce matin et en même temps je viens te saluer ! GROS BISOUS et bon mercredi à toi ! ***
RépondreSupprimerNancy,
RépondreSupprimerJ'ai du faire une fausse manip. hier en te remerciant car mon message n'est pas passé. Je te remercie donc,ici, pour ta présence régulière, chaleureuse et amicale, en te souhaitant une belle journée.
Je t'embrasse,
Roger
Peau d'âme,
RépondreSupprimerMerci pour ton passage ici et poour tes mots d'encouragement,
Roger
Roger,
RépondreSupprimerDésolé pour mon absence.
Je suis presque commencent à revenir à la «normale» ...
au début Octobre, il est apparu un travail en free-lance; ne 26 illustrations pour un livre, par le biais technique / historique de les syndicats de travailleurs de la construction.
Et la question ne comportait pas des images faciles à imaginer! était nécessaire, tout lu, et de sens de penser en images ...
comme toujours, des emplois faciles ne tombent pas du ciel ...
Seulement, ce qui est compliqué!
et avec un bref délai à la fin!
J'ai été très embarrassé, parce que j'ai arrêté, prévu quatre postes, dans mon blog,
et puis ne parvenait pas à répondre aux commentaires ... et pas visité les nouveaux messages, des amis ...
a été pressé!
Je veux la paix et la tranquillité
pour nous tous!
sincèrement et gracieusement,
Denise
Roger,
RépondreSupprimerest une leçon de vie, de lire votre texte et sentir l'intensité de vos émotions et les intentions de réaliser vos travaux!
vous nous montrer que l'engagement et le but, rien n'est impossible, comment équilibrer et fixer les sept pierres! C'était très beau!
félicitations!
une accolade bien réel
Nid de fleurs à respirer dans le souffle des eaux qui se réveille, plein d'une nouvelle promesse, une nouvelle espérance : se voir un jour compris par les mains de cet artiste qui les caresse, les forme et les abandonne à leur dérive, avant de filer spiraler aux abord de l'océan...
RépondreSupprimerFfffffff Shhhhhhhhhh... J'écoute l'espume, et les mots de Roger veillent.
you're able to transform something ordinary on something great special!
RépondreSupprimercongratulations
and thanks,
elena