à ceux qui cherchent...
La mémoire est simple comme le clic-clac d'un appareil photo.Elle enferme une image dans un cadre et oublie le monde qui est autour. La mémoire range nos souvenirs dans un grand album photos. Un jour, nous ouvrons cet album et la mémoire nous revient. Nous disons, en regardant une de ces photos, ceci est la vérité et nous oublions qu'autour, il y avait un monde oublié pour la deuxième fois.
Ne jamais oublier , pour ne pas connaitre des hommes qui prétendront être notre mémoire. Falsificateurs, ils effaceront, effaceront, effaceront sans cesse pour dire leur vérité et dans mille ans, ils seront la mémoire d'un peuple amnésique, prêt à les adorer.
***
J'ai joué avec des cadres pour enfermer des certitudes, mais la Nature a eu raison de ma folie, à vouloir ainsi l'enfermer.
Partout des ombres sont venues à moi...
J'écoutais vos paroles dans le vent, mais l'absence me tordait le ventre.
Je suis allé plus loin que ne peut aller votre pensée, et le pays d'où je viens, personne ne peut l'imaginer.
Y vivre, c'est pour toujours, être attaché à des souvenirs de cris, de larmes, d'amnésie et de feu, de trous blancs, de béances, de camisoles. Ce n'est pas l'art qui peut calmer le jeu, juste raviver les cendres encore chaudes en attendant le brasier. Comment voulez-vous que je vous explique cette course en avant, vous qui n'avez pas encore pris le départ. Je ne peux, maintenant, qu'attendre, mais je sais déjà que la paix ne reviendra pas.
Roger Dautais 18 juin 2008
Yeux de silence.
J'écoute tes yeux de silence
Brandir ce que tu n'oses dire
Brave espoir
Tu exerces ta profession
En intimidant les audacieux
Pour comprendre l'importance
De la couleur des eaux inaccessibles
De la foudre corporelle
De la création d'un cosmos
Où se pavane la liberté
Comme les doigts entremêlés
Regardant un dialogue confidentiel
Argenté de thèmes édifiants
De soleil brûlant
D'essence étincelant la mesure
Pour que ravive le printemps
Royaume des soucis impuissants
Que le sourire pervenche
Écoute avec des yeux de silence.
Mohamed Attaf (Algérie)
Ne jamais oublier , pour ne pas connaitre des hommes qui prétendront être notre mémoire. Falsificateurs, ils effaceront, effaceront, effaceront sans cesse pour dire leur vérité et dans mille ans, ils seront la mémoire d'un peuple amnésique, prêt à les adorer.
***
J'ai joué avec des cadres pour enfermer des certitudes, mais la Nature a eu raison de ma folie, à vouloir ainsi l'enfermer.
Partout des ombres sont venues à moi...
J'écoutais vos paroles dans le vent, mais l'absence me tordait le ventre.
Je suis allé plus loin que ne peut aller votre pensée, et le pays d'où je viens, personne ne peut l'imaginer.
Y vivre, c'est pour toujours, être attaché à des souvenirs de cris, de larmes, d'amnésie et de feu, de trous blancs, de béances, de camisoles. Ce n'est pas l'art qui peut calmer le jeu, juste raviver les cendres encore chaudes en attendant le brasier. Comment voulez-vous que je vous explique cette course en avant, vous qui n'avez pas encore pris le départ. Je ne peux, maintenant, qu'attendre, mais je sais déjà que la paix ne reviendra pas.
Roger Dautais 18 juin 2008
Yeux de silence.
J'écoute tes yeux de silence
Brandir ce que tu n'oses dire
Brave espoir
Tu exerces ta profession
En intimidant les audacieux
Pour comprendre l'importance
De la couleur des eaux inaccessibles
De la foudre corporelle
De la création d'un cosmos
Où se pavane la liberté
Comme les doigts entremêlés
Regardant un dialogue confidentiel
Argenté de thèmes édifiants
De soleil brûlant
D'essence étincelant la mesure
Pour que ravive le printemps
Royaume des soucis impuissants
Que le sourire pervenche
Écoute avec des yeux de silence.
Mohamed Attaf (Algérie)
"Ecouter avec des yeux de silence..." est-ce possible, si les yeux sont le miroir de l'âme. Il faudrait faire taire son âme...ça ne durerait qu'un instant. Le temps de comprendre que la nature déborde du cadre, toujours. Même la nature humaine, parfois.
RépondreSupprimerComposer le poème de sa vie...
Tu n'y vas pas de main morte ce soir :-).
Merci, parce que le lire et le dire, c'est peut-être essayer un peu...
Ah, qu’il serait doux parfois d’oublier… pour souffler et vivre, vivre…
RépondreSupprimerHeureusement ma mémoire de rose n’oublie pas le jardinier des grands jardins.
Je suis et reste fascinée par ces « guetteurs ». Ceux du jour sont dans la lumière alors qu’au loin gronde la menace céleste… Et les spirales qui étourdissent, infiniment…
La fenêtre invite au rêve et j’aime venir rêver sur votre site. Merci.
Passando pra admirar os caminhos desse grande jardim que é o seu blog.
RépondreSupprimerLindo poema que fala do silêncio da natureza ante a devastação que a cada dia aumenta mais.
grande abraço
Hermoso post colmado de arte y poesía elementos esenciales para el alma!
RépondreSupprimerArte en las piedras, en el agua, en el texto. Admirable.
RépondreSupprimerSaludos, Luis.
JE ME LAISSE PRENDRE AUX MOTS QUI ME PORTE LOIN LOIN
RépondreSupprimeril y a des traversées d'abîme que je ressens
le sourire pervenche que je ne commente pas
j'écoute ce silence je le respecte
et je vous guette ROGER ATTENTIVE 0 VOS MOTS ET VOTRE PR2SENCE ET VOS IMAGINES
JE VOUS EMBRASSE FRANçOISE
toujours un réel plaisir de venir ici, ou la poésie et l'art apaisent un peu de nos blessures d'homme
RépondreSupprimerJ'ai bien relu ton magnifique texte, mais pour moi, une ancienne photo, (donc un bout de mémoire figée) c'est l'occasion de retrouver toute l'ambiance qu'il y avait autour, tous les petits riens qui ont précédé ou suivi le clic. Ca ouvre des tas d'autres tiroirs dans ma petite tête...
RépondreSupprimerje passe te faire un coucou avant de partir, merci pour ta visite.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ces deux textes.
je ne sais si l'on peut fixer les souvenirs, comme l'on fixe une photo. Autant d'hommes (de femmes), autant d'image, et lorsque l'on sait que dans un seul homme vit tout un peuple...
l'homme évolue, ses souvenirs aussi .
bon week-end à toi.
Tifenn,
RépondreSupprimerTu as tout compris, Tifenn et puis ce vers de Youenn Gwernig est tellement forts que je me suis permis d'essayer, puis de continuer dans ma propre vie.
Merci de ta présence.
Belle journée à toi,
Roger
Leeloo,
RépondreSupprimerQue tout cela est bien dit. Merci de ce commentaire très poétique.
A bientôt,
Roger
Lis,
RépondreSupprimerMême si certains comportements ont pour conséquence de faire disparaître la nature et la vie humaine, dans les cas extrêmes, il est important pour moi,d'y trouver source d'inspiration et de lui rendre hommage chaque jour.
Merci pour votre commentaire
Grande abraço,
Roger
garder les traces ,en créer d'autres , être l'outil qui transmet..et quand la trace est Art , elle tente de de prolonger l'humanité , contre l'oubli, la pensée unique .. continue, toujours.. merci!
RépondreSupprimerQuand la photo jaunit, la mémoire la colore des petits riens qu'elle éveille, des détails que l'on croyait avoir oubliés ... Merci pour ce billet ...
RépondreSupprimertú enseñas a escuchar con los ojos del silencio.
RépondreSupprimersensacional tu arte!!!
en particular preciosa la última imagen.
maestro
C'est vrai, ça, au fait....regarder en dehors des cadres, c'est ne jamais manquer d'horizon....! merci, Roger.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup tes radeaux de fleurs.
Bonjour, Roger.
RépondreSupprimer"Car il faut que chacun compose le poème de sa vie "...
Et les yeux du silence qui, en une seconde, embrasent les pensées pour ne laisser que des cendres...
Mais , toi, en laissant les tiennes sur le papier, tu les fixes pour l'éternité.
Merci beaucoup.
En fraternité.
Coucou Roger, ce que tu fais est si joli que j'ai donne l'adresse de ton blog a ma soeur, qui est aussi une artiste...
RépondreSupprimerBisous et bon dimanche !
Bien dit Roger !!!
RépondreSupprimerIl a longtemps que j'ai compris que la paix est un rêve qui ne se partage pas...
Elle est dans le coeur de chacun et beaucoup ne le savent pas !
Bonne journée à toi
Luz,
RépondreSupprimerCe sont pourtant des travaux très différents, dans le lieu, l'époque, le thème. Land art ou écriture se confondent dans une même démarche qui me sert à donner un sens à ma vie.
Merci pour ton commentaire, Luz, et bon week-end,
Roger
Luis.G
RépondreSupprimerMerci du compliment, en attendant d'aller plus longuement lire tes textes sur ton blog ( j'ai déjà commencé) accompagnant de si belles photos de ton pays, l'Espagne.
Bonne fin de semaine,
Roger
Frankie Pain,
RépondreSupprimerMerci pour e très beau commentaire.
Roger
Sonia Blanc,
RépondreSupprimerJe te remercie pour ces mots d'encouragement, venant de toi, jeune et talentueuse photographe dont je suis le travail avec beaucoup d'intérêt,
Bonne fin de journée,
Roger
Amartia,
RépondreSupprimerC'est la preuve que l'on peut voir la chose de mille façons et je comprends aussi ton point de vue.
Merci de ton commentaire amical.
Roger
Peau d'âme,
RépondreSupprimerA qui le dis -tu, que les souvenirs évoluent, quand ils ne disparaissent pas totalement. Tout retenir serait aussi un enfer pour notre cerveau, mais ce que la vue d'une photo déclenche...alors, ça, c'est tellement mystérieux !
Merci d'être passé ici, avant de partir en vacances que je te souhaite, bonnes.
Roger
Croukougnouche, Les chemins de traverse sont bien tentants pour devoir les oublier. J'expérimente ma vie au travers de l'art, ce que personne ne peut faire à ma place. J'essaie de pousser cet art de vivre au plus loin que me permettra ma santé. Pour le reste, je sais que de toute façon, nos traces s'effacent très vite. Autant profiter de cette façon de vivre, au jour le jour. Carpe diem.
RépondreSupprimerMerci de ton commentaire amical.
A très bientôt,
Roger
Gine,
RépondreSupprimerIl y a tant de mystère dans le fonctionnement de notre mémoire. Nous ne pouvons vraiment que nous réjouir d'en avoir une, encore plus, si elle colorie le passé.
Bien àtoi,
Roger
Camino Roque
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire amical et bravo encore une fois pour ton blog.
Bonne soirée,
Roger
Anne des ocreries,
RépondreSupprimerDommage que tu habites aussi loin, je t'aurai volontiers envoyé un de mes radeaux de rivière, porté par le courant, jusque chez toi, en gage d'amitié.
Bonne fin de semaine.
Roger
Herbert,
RépondreSupprimerJ'aime bien l'éternité car elle aura fin pour moi !
Salut fraternel.
Roger
Flo de Sentaï,
RépondreSupprimerMerci de ta visite et de ton intention. Tu auras du m'indiquer le blog de ta sœur.
Bonne fin de semaine, au Japon.
Je embrasse,
Roger
Patrick,
RépondreSupprimerJe partage avec toi cette vérité.
Merci de ton passage sur Le Chemin des Grands Jardins.
Bon week-end,
Roger
Bonjour Roger, merci beaucoup de votre visite dans la prairie, je viens de parcourir votre chemin, et, vagabondant de merveilles en merveilles, j'en reviens enchantée !!!
RépondreSupprimerA bientôt
J'aime la #3. Tout simplement.
RépondreSupprimerMerci d'être passé, je rajoute ton lien. Difficile de bouger sans tout perdre ...
=)
Manue,
RépondreSupprimerCette photo fait partie d'une très grande série faite avec ces deux cadres, trimballés partout pendant plus d'un an. Jusqu'à disparition pour le marron et jusqu'à destruction pour l'autre. Je ne sais pas pourquoi j'encadrais tous ses paysages. Sans doute pour me rassure dans une période de doute. C'est fréquent, chez moi. Ça me fait plaisir que tu aies choisi ce travail, pas si évident que ça à mener.
Toujours aussi sympa, ton blog.
Bonnes vacances
Bises,
Roger
Mingingi,
RépondreSupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins et merci de ton commentaire.
J'admire toujours les personnes qui, comme toi, fabriquent et entretiennent trois blogs à la fois. J'ai déjà bien du mal à trouver le temps nécessaire pour écrire le mien. Mais en attendant,je les ai trouvés très intéressants. Bonne soirée à toi,
Roger
Bonjour Roger, oui c'est si juste, l'âme est moire, sans vigie elle se fait écharper aux récifs des sirènes; la mémoire est notre ange; see you soon,à bientôt (c'est joli en anglais, j'ai l'impression de parler chinois) :-) Amitiés; thibault.
RépondreSupprimerHors cadre, je file de brin d'herbe en fleur de trèfle, effleurant à peine d'un pied léger les végétaux qui me mène de photos en mots dans les pensées de Roger... "Pourquoi 754" je devrais demander à l'une de ces belle pomme d'amour qui flotte à la surface de ces eaux enchantées par le patient Roger... Parce que c'est le nombre d'inspirations nécessaire à la réalisation de ses pleins et délies, me répondrait forcément sa voisine, rougissant d'en avoir trop révélé... Alors je hausserai les épaules et reprendrais mon bâton pour pousser la belle balle d'osier que ce cher Roger a tressé pour les lutines mal avisées qui rêvent sur ses clichés...
RépondreSupprimerLa paix, la paix... Moi je l'ai. Mais je ne la prête pas ; j'aurais trop peur qu'on oublie de me la rendre.
thige,
RépondreSupprimerMerci de ton très beau commentaire.
Amicalement,
Roger
Tsuki,
RépondreSupprimerVoici une belle histoire contée au travers de mes photos et de façon bien jolie. Je ne te donnerai pas la clé de mes chiffres, elle est secrète et partagée par les poissons du lac. Pour ce qui est de la sphère, c'est effectivement de l'osier mais la structure principale est en noisetier. C'est en hommage à mon grand-père paternel qui était jardinier et sourcier. Je lui devais au moins cela.
Belle nuit pour les hiboux, par ici, et chez toi ?
a bientôt, Tsuki et fais nous encore de beaux reportages.
Bien amicalement,
Roger
Oulala, Roger,
RépondreSupprimerj'aime ces cadres vides dressant leurs espaces à conquérir sur les tas de débris;
cette phrase à l'évidence si simple du M. au nom si compliqué;
ton poème-flottant où les nues fondent comme nous pour ce fruité floral ;
ta dédicace
...
merci!
They are very beautiful and interesting!
RépondreSupprimerAlterdom,
RépondreSupprimerMerci pour ton très beau commentaire. J'ai répondu à Manue pour ce qui est des cadres. En ce qui concerne cette série d'installations flottantes qui m'avaient donné bien du mal, à cause du vent, je les ai réalisés comme des tableaux en jouant avec formes des végétaux et couleurs. Le ciel m'a offert le reste.
Bon Dimanche et à bientôt,amicalement,
Roger
Amin,
RépondreSupprimerMerci de ton passage sur Le Chemin des Grands Jardins,
Cordialement,
Roger
LA troisième, sortir du cadre... pour oser créer de nouveau, innover !
RépondreSupprimerCarol Proulx,
RépondreSupprimerCe que tu dis est pour moi une des voies possible à suivre pour continuer le chemin.
Merci de ta présence, ici,
Roger
Magnifique!!
RépondreSupprimer*** Bonjour Cher Roger ! Je regarde, j'observe, je lis ton blog et je suis très touchée. MERCI ROGER, de partager ainsi ton univers. Bon lundi à toi et GROS BISOUS !!!! ***
RépondreSupprimerCristina Moreno,
RépondreSupprimerMerci Cristina et bonne semaine au Portugal.
Roger
Nancy,
RépondreSupprimerJe te souhaite aussi de passer une agréable semaine.
Je t'embrasse,
Roger
ROGER juste bonjour je reviens plus tard
RépondreSupprimerprendre une photo, c'est laisser l'essence même de l'objet toucher la pellicule, et l'imprimer...
RépondreSupprimerc'est comme si avec les yeux de l'appareil et les nôtres,on avait "volé" un petit bout de l'âme...
le Africains eux, le savent bien qui redoutent le regard des appareils photo
j'aime cette série de photos , cet "essai" de brider la nature...que je prends plutôt comme un jeu harmonieux réciproque
j'aime tout particulièrement l'avant dernière, qui intègre le leurre suprême des reflets ...la poésie qui joue avec la réalité
c'est beau
merci pour le passage chez moi je trouve que ton blog est super avec de belles photos de professionnel.bon début de semaine.
RépondreSupprimer*** Hello Cher Roger :o) !!! Je prends mon p'tit déj, mon ordi est à côté de moi, mon thé est trop chaud, ;o) je profite de ces quelques minutes pour te souhaiter un bon mardi ! :o) ***
RépondreSupprimerBelle phrase de Youenn Gwernig "gravée" dans le sable. Ne le connaissant pas j'ai cherché ... Apparemment un beau parcours ! hélas je ne suis pas bretonnante ! Je comprend juste un peu le patois de ma région associé à la langue d'oc, que ne parle plus que certains vieux. On battait les enfants dans les écoles pour qu'ils parlent en français ... mais nous on a pas sû résister ! hélas !
RépondreSupprimerArtemisia,
RépondreSupprimerToutes les minorités subissent souvent ce genre de pression. En Bretagne, la culture celte est très vivante et le Breton est appris par les jeunes de la maternelle à l'université, certes par un petit nombre, mais c'est une langue vivante à part entière et non un dialecte, comme on l'entend dire de façon absolument fausse.
Je te remercie de ton commentaire et je te souhaite une belle soirée,
Roger
Simo,
RépondreSupprimerBienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins en espérant t'y voir très souvent,
Bonne soirée,
Roger
en écho à ton mot du 18/6/2008 et aux yeux de silence...qui ont peut être "'orienté" mon dernier sujet de Locoportrait, cet extrait de Zazie qui te colle à l'écrit :
RépondreSupprimerNos armes seront
Les larmes qui nous viennent
Des crimes sans nom
Merci Roger
alterdom,
RépondreSupprimerMerci de me donner l'occasion de lire tranquillement ce très beau texte de Zazie, sur ton blog Loco-Portrait. Si tu es tracassée par les droits d'auteur, tu peux lui donner l'adresse de ton blog et l'inviter à le voir. Elle t'en fera cadeau.
Amicalement,
Roger
Cher Roger, ma voisine a 96 ans, rieuse, belle aux yeux bleus, quelques fois elle me dit, je n'ai plus envie de continuer...
RépondreSupprimerD'autres fois, elle me donne la recette de sa crème au caramel...
Elle ne le sait pas Alice, mais elle aide tout le monde à vivre...
Nous faisons ce que nous avons à faire, sans comprendre, mais nous le faisons, pour le plus grand plaisir des autres. Tes oeuvres font partie de mes plaisirs...
Continues, les questions n'auront jamais de réponse...
Je vois bien que je ne suis pas la seule à aimer ce qu tu fais, comme c'est bien, nous sommes nombreux avec toi.
Bonsoir Roger.
Je cherche ... alors je m'arrête sur tes mots car ils me parlent au plus profond.
RépondreSupprimerJe cherche ... je cherche parfois l'amnésie qui donne le repos du temps.
J'aime encore cette spirale qui m'emporte dans un tourbillon d'oubli. Ma mémoire n'a plus envie de se souvenir, elle veut juste continuer de respirer ...
Avec toute mon amitié Roger
Danielle,
RépondreSupprimerJe te remercie pour ce très beau commentaire. Nous avons tous besoin de témoignage de sympathie, cela construit notre humanité mais si je sais pertinemment qu'ils ne suffisent pas à cela. Sans montrer ce que l'on fait, sans échanger des points de vue, sans cette volonté de ne pas oublier les autres, nous ne sommes pas grand chose. Si les blogs peuvent servir à cela, entre autre, nous n'aurons pas entièrement perdu notre temps. Dis à ton amie Alice que je la salue bien.
Belle journée à toi,
Amicalement,
Roger
Roger
Pricille,
RépondreSupprimerLaisse ta mémoire se reposer, elle reviendra vers toi en des temps plus sereins.
J'ouvre une parenthèse ici pour que mes lecteurs découvrent ton blog " Les rêveries nocturnes d'une petite sirène", ainsi que ton talent d'écriture.
Belle journée à toi et encore merci pour ta présence, ici.
Amicalement,
Roger
mais d'où reviens-tu Roger de quel pays que nous ne puissions l'imaginer, alors je me regarde et je me demande ai-je pris le départ de cette course en avant... dis-nous surtout quand découvrir ton film sur cette mémoire qui disent les anciens, boit au même fleuve que l'oubli je t'embrasse en amitiés Brigitte
RépondreSupprimerThe green seems to have the power to charm people.
RépondreSupprimerAnd it heals the heart. . .
Your molding beauty fuses to Nature.
Thank you.
ruma
je viens de passer un joli moment à me ballader parmi tes oeuvres vivantes, tes installations hors cadre et éphémères. Elles sont pleines de créativité, de poésie et de tendresse...merci de nous les faire partager !
RépondreSupprimerBrigitte Maillard,
RépondreSupprimerJe n'en suis pas revenu totalement indemne de ce pays, mais crois-tu vraiment que nous pourrions nous consacrer à l'art, ou à la création sans cette obligatoire perte de soi ?
Pour le film, encore un peu de patience, dans quelques semaine je donnerai les indications pour le voir.
Je conseille vraiment ton blog à ceux qui croient connaître tout en poésie. Il y a tant à découvrir...
Je j'embrasse bien amicalement.
Roger
Ruma,
RépondreSupprimerMerci cher Ruma. Tes mots qui me parviennent d'extrême Orient, me touchent beaucoup et m'encouragent.
Belle fine de semaine à toi et à bientôt sur ton blog.
Amitiés.
Roger
Je voudrai chanter
RépondreSupprimerL'espérance des coquelicots
Leur sang rouge
Dans les blés
I love your blog
besos desde el otro lado de la luna
RECOMENZAR
RépondreSupprimerBienvenue sur le Chemin des Grands Jardins. Amitiés,
Roger
What amazing work Roger! I am so happy you found me so that I may find you! I am so inspired by your "environments"...well I'm going to have to go for a walk!
RépondreSupprimerKristen Donegan,
RépondreSupprimerJ'espère que maintenant, tu vas essayer de pratiquer le land art dans ton beau pays. N'oublie pas de m'envoyer des photos de tes installations.
Belle journée à toi, Kristen.
Amicalement,
Roger