à Hatcheptsout,
Reine de haute et basse Égypte, à qui les dieux donnèrent, santé,richesse, force et bonheur ...
pour son charisme...
à Khépri,
pour le revoir un jour à Karnak.
Après un voyage en Egypte, je retrouve la Normandie et l'un de mes territoires pour la pratique du land Art. Je n'aurai réalisé que trois petits cairns, là-bas, dont l'un à l'ombre de la Pyramide de Khéops, un dans le temple de Karnac et un aux portes du désert Nubien. Ce n'était pas non plus le but du voyage, mais ce n'est pas si mal, vues les conditions rencontrées.
Revenu ici, il me fallait vite retrouver mes marques et je n'imaginais pas aller partager mes rêves ailleurs qu'au bord de la mer. La plage choisie sur la Côte de Nacre était quasi déserte et je me suis lancé dans une spirale réalisé à marée basse. Lorsque je dois interrompre mon travail comme cela fut le cas pendant ce voyage , je suis toujours inquiète de savoir si je serai encore capable de faire, comme si, ce que j'avais réalisé plus de mille fois, ne comptait pas ou ne comptait plus. C'est un peu ça, en fait.
Il me faut sentir le lieu, marcher, renifler comme un animal, pour trouver l'endroit qui me convient, qui me parle. Cette fois, je l'ai trouvé assez près des roches plates qui dessinent le début l'estran. J'ai inscrit ce grand mouvement circulaire dans une courbe naturelle. Je projetais mon travail mentalement. Elle sera, comme ça, se terminera à peu près là et quand la mer l'approchera pour la recouvrir, ces roches renverront la vague de telle façon. C'est un jeu d'imagination qui complète le travail très physique du tracer de spirale déjà décrit., un dialogue avec le paysage, aussi. Pendant le tracer, mon esprit s'envole vers l'Égypte et je revois les rives vertes du Nil, au coucher de soleil lorsque la voix du muezzin appelle ses fidèles à la prière. Le rêve passe dans la spirale et rejoindra la mer, à marée haute.
J'arrive au bout du voyage et contemple la spirale de sable. Elle est très grande, assez régulière. Pour cette fois encore, je suis rassuré...Jusqu'à' à la prochaine fois.
les autres installations plus anciennes , présentées ici, ont la particularité d'avoir été réalisées auprès de l'eau, d'un fleuve, d'une rivière ou d'un étang.
Le demi-cairn que j'avais eu l'idée de photographier en cours de réalisation, s'écroulera par deux fois et j'abandonnerai les pierres à leur vie naturelle, considérant que ce n'était sans doute ni le lieu ni le moment de l'élever.
Roger Dautais
Dénuement
Je ne sais plus qu'un poème
Qui ne sait rien de moi
Qui ne sait rien de la terre
Et les vers dans la plaine ultime
Ce visage sans nom d'un nom dérisoire
Et le désir porté sur la blancheur blessée
Les cheveux épars et le sang aux tempes
La fuite fatiguée
L'insensée dérobade des mots.
*
Regard sur la pierre
La coupure de l'arête sur les yeux
Et la débâcle à l'œuvre sur la terre
Tu t'abîmes au nom des choses
Tu n'habites que la déchirure trop exacte
L'empreinte furieuse de l'exil
Guy Allix
votre spirale est tout simplement incroyable, mais je suis amoureux de votre image 5e et 6e, la plume de minuscules ressemble, il est flottant au-dessus de la fleur et le fil rouge ... pierres attachées sont magnifiques!
RépondreSupprimerC'est magnifique... Quelles belles photos !
RépondreSupprimerBelle soirée a vous!
Bonjour, Roger.
RépondreSupprimerJe retrouve toujours avec le même bonheur ce jaillissement du ceur et de l'esprit mais aussi ce dénuement qui inspire tant le respest devant la vie.
De chez toi, on ne peut sortir que différent, même si la marée nous recouvre ensuite.
Merci beaucoup.
En fraternité.
la dolce vita
RépondreSupprimerJe suis heureux de vous retrouver ici. Merci de votre commentaire chaleureux et amical.
Roger
Mademoizelle Margaut,
RépondreSupprimerMerci Margaut et bon Dimanche,
Amicalement
Roger
Herbert,
RépondreSupprimerJe ne conçois pas un land art "flamboyant". Ce qui peut l'être, c'est la rencontre entre le geste de faire, l'installation et la lumière qui éclaire le tout, mais cela reste si éphémère que la trace n'existe pas, peut-être un peu dans la mémoire.
Je te salue fraternellement et je te souhaite un bon Dimanche,
Roger
Je retrouve avec plaisir les clichés qui me font pétiller les yeux, les mots qui m'émeuvent... Khépri, de Karnak, je revois ces gigantesques statues de scarabée marquant l'entrée du lac sacré où l'on allait autrefois se purifier avec les rites d'amon-rê...
RépondreSupprimerHatchepsout, et son temple des millions d'années superbe creusé dans les flanc du désert, qu'elle fit fleurir de myrthe ramené des expéditions commandées vers le fabuleux pays du Pount...
Et voilà comment en quelques mots dominicaux, Roger me fit revenir bien des années en arrière dans un des rares moments de mon enfance dont je rêve encore aujourd'hui comme merveilleux...
De vos clichés aujourd'hui, mon préféré c'est la fleur de Lotus sur cette pollution mousseuse qui texture l'eau comme un expresso de cauchemar... Elle symbolise pour moi l'espoir d'une renaissance, aussi mise à mal que le soit la Terre par ces satanés singes avides que nous sommes.
Tsuki,
RépondreSupprimerC'est plaisir de recevoir un tel commentaire où je retrouve ton style, ta facilité d'écriture, et ta générosité. Ainsi ton long séjour en Égypte se situa pendant ton enfance. Pas étonnant qu'il t'ait tant marqué.
Bien amicalement,
Roger
Beaucoup de patiente et d'imagination. Bravo !
RépondreSupprimerbonjour Roger, ainsi tu es allé dans le pas des druides poser la pierre magnétique; grande beauté pour l'âme que ce poème "Dénuements", à bientôt, thibault
RépondreSupprimerthige,
RépondreSupprimerMerci de ton commentaire. Si tu as un peu de temps, je te conseille en passant par google de chercher GUY ALLIX et de découvrir son œuvre qui devrait te surprendre, je pense, par son intensité poétique.
Nous partageons lui et moi, une vraie fraternité.
Roger
bonsoir Roger j'ai pensé à toi ces jours me demandant si tu étais à Louxor, au Sinaï si tu descendais le Nil ou faisais tout à pied :) J'aime tellement l'Egypte que mon esprit s'y envole à la vitesse de la lumière si unique là-bas." et je n'imaginais pas aller partager mes rêves ailleurs qu'au bord de la mer " ...j'aime cette phrase
RépondreSupprimerJ'aime bien la façon que tu as de décrire ton rapport à la nature, aux choses, à l'éphémère, comment tu anticipes sur l'éphémère aussi.
RépondreSupprimerJe suis ravie que tu sois de retour parmi nous, bonne soirée !
Norma
Excuse moi si je ne te^parle pas de tes réalisations mais un souvenir ressurgit à la lecture de ton texte, nous étions arrivés en Turquie dans la nuit et au matin vers cinq heures j'entendais la voix du muezzin, pour la première fois... J'en ai encore des frissons!
RépondreSupprimerBon retour parmi nous et à bientôt
Esa comunicación con la naturaleza, sintiendo la energía, las formas, las texturas, las voces de la tierra y de la historia... y luego aplomando el equilibrio... todo ello hace tu arte intrigante y único.
RépondreSupprimerGracias por tu visita a mi blog, y por el comentario. La diversidad de opiniones y de entendimiento de la vida y del comportamiento humano en diferentes perspectivas es que hace nuestros intercambios cibernéticos más interesantes.
Saludos.
Doris
Bonsoir Roger,
RépondreSupprimerJe rejoins La dolce vita, en effet je savoure ses réalisations et te remercie de ce partage créatif.
*** C'est un bonheur de te voir revenu ici ! :o) Bises et bon lundi à toi Roger !!!! ***
RépondreSupprimerBonjour Roger,
RépondreSupprimerRavi de vous lire ! Je comprends ce sentiment, cette émotion, que l'on ressent de retour chez soi, retrouver son espace de création, de liberté, de vie ... assimilé en effet à une certaine perception animalière du territoire ...
Roger, j'aimerai bien découvrir tes créations en terre égyptienne !
Brigitte Maillard,
RépondreSupprimerOui, en effet, une lumière unique, en Egypte descendue du même soleil, pourtant. La magie opérait lorsque nous regardions en silence avec Marie-Claude, installés sur le pont de notre bateau.Spectacle grandiose d'un coucher de soleil sur le Nil partagé avec la personne que j'aime le plus au monde. Nous sommes encore un peu là-bas.
Tu as certainement lu le très beau poème de Guy Allix "dénuement" et je t'invite à le retrouver sur son site( par Google), non parce que c'est un ami, mais parce que tu découvriras quelqu'un de rare dont la poésie est bouleversante.
A bientôt, Brigitte,
Roger
Norma C.
RépondreSupprimerMerci Norma, de ta présence et de tes commentaires si agréables à lire.
Roger
Enitram,
RépondreSupprimerJe comprends ton émotion et je suis heureux de te la faire revivre. Nous avons entendu ces voix de muezzins pendant tout notre séjour en Egypte, dans les plus petits villes, comme dans cette mégalopole du Caire et ses 20 millions d'habitants. Un matin de très bonne heure, en ouvrant la fenêtre de l'hôtel, nous avons entendu ce véritable concert de voix qui s'élevait de la ville embrumée et déjà accablée de chaleur. Nous étions transportés et dubitatifs à la fois.
Merci pour ton commentaire,
Roger
Lena,
RépondreSupprimerEn effet, il faut beaucoup de patience pour pratiquer le land art...mais quand on aime...
Merci pour ton commentaire,
Roger
hold my hand : a social worker's blog
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire. Comme tu le dis, même si nous ne partageons pas exactement toutes les mêmes valeurs, il est très intéressant de les confronter et je trouve que dans ton blog, il y a matière à discuter et échanger.
à bientôt
Roger
JAWAH
RépondreSupprimerCaterina Giglio(La dolce vita) est une artiste dont j'apprécie non seulement le travail mais aussi sa manière de voir la vie.
Pour ceux qui veulent découvrir ton travail de peintre voici ta nouvelle adresse :
http://jawah.over-blog.com/
à bientôt,
Roger
Adiante,
RépondreSupprimerMerci pour ton très beau commentaire. Je montrerai un de ces jours mes trois petits cairns réalisés en Égypte dans des sites tellement gardés qu'il m'était difficile de faire mieux. Patience...
Je conseille vraiment ton site à mes lecteurs car il est très intéressant à découvrir.
Amitiés.
Roger
Magnifique. J'aime tout particulièrement ces photos avec les pommes, l'abondance de l'automne ... une belle offrande à la Nature. Merci de nous le partager.
RépondreSupprimerTu comunión con la naturaleza es admirable. Gracias por guiar mis paseos por tus maravillosos jardines.
RépondreSupprimerAbrazos
oui je viens d'aller découvrir Guy Allix sur son site merci beaucoup Roger
RépondreSupprimertrès bonne journée à toi et Marie Claude
De retour Roger avec quelques pierres restées là-bas en témoignage... et déjà de retour sur les plages pour tracer, marquer, vous rassurer.
RépondreSupprimerNous attendons avec impatience les petits cairns d'Egypte, en contemplant les ronds dans l'eau, pardon dans le sable, normands !!!
Merci et bonsoir mais moi non plus tu sais je suis là mais un peu malde en ce moment donc ce n'est pas grave je passe tu passes puis voilà. J'espére que tu vas bien tout de même .
RépondreSupprimerJe ne reste pas je suis pas si bien encore ce soir.
Mais merci
Dom,
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire et à bientôt,
Roger
FLORESTEBANEZ,
RépondreSupprimerTes mots me touchent beaucoup. A très bientôt sur ton blog.
Roger
Michelaise,
RépondreSupprimerC'est promis, ces petits cairns Égyptiens trouveront bientôt leur place sur Le Chemin des Grands Jardins.
Roger
France,
RépondreSupprimerMerci d'être passé malgré tes ennuis de santé. Pense quand même à continuer tes dessins, c'est bien.
Amitiés,
Roger
Je vois que vous côtoyez les chevelures des nixes auxquelles s'accrochent les plus belles parures.
RépondreSupprimerToujours un plaisir de vous voir...
*** En ce mardi matin je viens déposer chez toi des pensées amicales et plein de bisous ! :o) Merci pour ton message chez moi hier. Passe une bonne journée Roger ! :o) ***
RépondreSupprimerLeelo,
RépondreSupprimerque l'avenir me garde de leurs envoûtements !
Merci pour votre commentaire.
Roger
Nancy,
RépondreSupprimerBelle journée à toi, aussi,
Bises,
Roger
Roger,
RépondreSupprimerton art est tellement naturel, rien d'agressif. J'imagine le créateur laisser libre court à son imagination comme un enfant dont l'âme n'a pas encore été brisé par les normes de la société. J'aimerai parfois transmettre avec mes photos que nous pouvons nous libérer de cette laisse que la société nous met au cou dés notre plus jeune âge. Je me sens de plus en plus libre spirituellement, je n'arrive plus à m'attacher à des choses matériel, cela me fait peur car je réalise que les gens autour de moi se perdent en désirant des choses qui ne les rendront jamais heureux alors que tout est là...
Merci de ta visite.
Serge
la cinquième photo est surprenante...avec ou sans la fleur d'ailleurs!
RépondreSupprimerBon retour sur tes terres Roger!
Bonjour, Roger.
RépondreSupprimerThe wave of the sand.
The ripples of the sea.
The both seem to fuse.
And they will become extinct.
The human being cannot avoid the extinction.
You seem to express natural providence...
Thank you.
ruma
Magnifique. J'ai parlé de vous sur ma page Facebook.
RépondreSupprimerJe suis... faciné.
RépondreSupprimerVous avez de très belle photos.
Bravo.
J'adore le porte pomme !
RépondreSupprimerSerge,
RépondreSupprimerSerais-tu sur le bon chemin ? Toute ta démarche d'artiste me le le laisse à penser.
A bientôt, Serge, en toute amitié.
Roger
Ruma,
RépondreSupprimerEn effet, cette spirale peut être une image de la finitude de l'homme.
Merci de ton commentaire venu d'Orient,
Roger
Flo,
RépondreSupprimerOui, c'est vrai, cette fleur n'est qu'une ponctuation sur ce mouvement naturel d'écume poussé par le vent sur un étang.
Merci de ton passage, Flo,
Bonne journée à toi,
Roger
Bretagne Buissonnière,
RépondreSupprimerOui, ce sont de petites étagères éphémères dont les pommes tombèrent très vite, poussées dans le vide par le vent. C'est aussi, une partition de l'espace qui dessine quatre petits paysages différents.
Merci de ta visite et de ton commentaire.
Roger
Un voyage en spirale où les pommes se posent à la Prevert , déclinant des couleurs là où les pierres s'amoncellent donnant au vent malin de siffloter dans ton grand jardin effet mère ...
RépondreSupprimerLa nature se faufile laissant l'aiguille piquer le sable offrant un goût à la couleur érable se déposer comme une superbe table ....
Des déclinaisons comme une belle écriture de dame nature .... :)
L'art est beau tout simplement ...
Douce journée ...
Marie,
RépondreSupprimerHeureux de te retrouver sur Le Chemin des Grands Jardins.Je te remercie pour ton très beau et amical commentaire.
Avec mon amitié,
Roger
En regardant les clichés de tes " interventions " je me disais que le Land-art est l'art par excellence : En dépit de tous les efforts des conservateurs de musée de la terre entière, les oeuvres sont vouées à la disparition ... à l'échelle du temps cosmique bien sûr. Cette fragilité est inscrite dans l'acte du landartiste et le regard du spectateur est lavé du fantasme de l'immortalité. Bravo en tous cas pour cette spirale éphémère, pour ces pommes en équilibre, pour ces chortens improbables. J'aime.
RépondreSupprimerHeffe,
RépondreSupprimerTrès juste, le détachement de toute création est une des bases de ce travail, pour moi, en tous cas. Je rencontre parfois des spectateur frustrés de le voir disparaître et je leur explique aussitôt que pour moi, ce n'est pas un problème.
Merci de ton commentaire,
Roger
ROGER
RépondreSupprimerBonsoir et merci pour ce titre
La vie comme elle va. ET bien en ce moment elle va mal mais enfin elle y va surement encore.
TA Normandie oui elle est si belle mais je pense que je préfére tes photos tes trucs à toi
Merci
France,
RépondreSupprimerJe te souhaite de retrouver le moral. Chacune de tes visites sur mon blog me fait plaisir.
Carpe diem
Roger
De très belles photos
RépondreSupprimerMerci
Sur la toile on croise des jardins en friches, des espaces abandonnés, et puis, à la surprise d'un clic, on se découvre dans les ombres de Brocéliande, un lieu magique où je retrouve les kerkour ou les rdjem de mon enfance, je me souviens y avoir souvent déposé une pierre, ce qui faisait sourire ma Grand-Mère. J'espère qu'elles sont restées quelque part dans la nature kabyle.
RépondreSupprimerMerci.
Amicalement, Cortisone.
Sandra,
RépondreSupprimerMerci Sandra pour ton passage sur Le Chemin des Grands Jardins
Roger
Cortisone, Bien évidemment qu'elles sont restées quelque part dans la nature Kabyle. Pourquoi s'évertuer à croire le contraire.
RépondreSupprimerJe te souhaite la bienvenue sur Le Chemin des Grands Jardins en espérant t'y croiser dans l'avenir.
Bonne soirée à toi,
Roger
quel bonheur que de vous revoir et vous relire
RépondreSupprimerje me rends compte que vous étes au bout de mes doigts j'ai fait un bonnet au crochet il se nomme land art , il n'est pas fini, l'on ne se connait pas mais vous manquez à mon sourire du jour
la beauté de la nature tel que vous la magnifiée et lui rendait sa grande densité comme une profonde inspiration lors d'une belle méditation
à bientôt retrouver bien vos marques
je sais je sens que votre voyage en Égypte va nous revenir en fragments
WOW
RépondreSupprimerGreat
work
SKIZO,
RépondreSupprimerMerci, l'ami et bonne soirée à toi. Je recomande vraiment la lecture de ton blog éponyme qui est très bien fait et créatif.
Roger
Merci beaucoup.
RépondreSupprimer:-)))
Mes yeux sont un peu fatigué des fois...j'ai un astigmatisme...mais je n'aime pas mes lunettes...très inconfortable malheureusement.
J'adore votre blog :))
RépondreSupprimerJ'adore votre blog :))
RépondreSupprimerBonsoir, c'est Heffe
RépondreSupprimerDemain je pars traverser la baie du Mont saint Michel par Tombelaine, pieds nus bien entendu. Je penserai à Maupassant, à Paul Féval et à ta spirale de Ouistreham !!! Il y a 30ans de cela j'ai assisté à la création d'une immense spirale dans le sable entre Tombelaine et le Mont, suivie d'un tir de flèches par une centaine d'archers tout de jaune vêtus. Moment unique, très intense, dans le silence du petit matin, avant l'arrivée des touristes. A l'époque, je découvrais Christo et ce fut un choc. Ton travail est dans la droite ligne de ces performances mais les dépasse aussi et c'est ce qui m'enthousiasme.
Merci beaucoup, Monsieur. I am overwhelmed by the beauty here on your blog. I look forward to returning to view the world through your eyes. I will also enjoy trying to translate your text. I am much better at reading French than writing it.
RépondreSupprimerMerci,
Catherine
Joe's blog,
RépondreSupprimerBienvenue sur le Chemin des Grands Jardins,
Roger
navy_bg,
RépondreSupprimerMerci et content de vous accueillir ici,
Roger
Heffe,
RépondreSupprimerCette traversée de la Baie du Mont, te marquera certainement. Merci de me citer en si bonne compagnie. En fait, notre sensibilité à l'art et au monde est un vaste melting pot difficile à analyser. D'ailleurs, faut-il tout analyser,tout le temps et partout ? Ce que tu vivras, sera grand et je m'en réjouis pour toi, sous la pluie ou le soleil, ce sera inoubliable...alors belle découverte.
Amicalement,
Roger
a thousand clapping hand,
RépondreSupprimerThank's for your comment.
Welcome at " Le Chemin des Grands Jardins ".
Best Wishes,
Roger
C'est avec grand plaisir que je retrouve cet univers si marqué et si particulier où s'allient la beauté, l'harmonie et l'expression d'une attitude que l'on envie...Magnifique toujours... et quelle sérénité !!!
RépondreSupprimerPierre de Lune,
RépondreSupprimerContent que cet univers puisse toucher de plus en plus de monde. Ceci donne le change aux paroles d'experts pour qui je n'existe pas. On pourrait leur dire que sans les artistes, ils n'existeraient pas non plus. J'ai dépassé ce point de discorde et trace ma route sans eux, le plus sereinement possible.
Merci pour tes encouragements.
Roger
Je suis en tous les cas extrêmement ravie et heureuse de constater combien, en effet, il touche... C'est un succès qui à lui seul vaut bien des encouragements... La nature elle-même est tout un art que chacun utilise selon ses propres ressentis et ce dans toutes les formes.
RépondreSupprimerTu as en plus le don de lui rendre grâce en la poétisant de touches qui sont elles-mêmes "nature". Je suis de ce fait véritablement admirative face à cet art, ton art et cette faculté de mise en scène qui toujours possède un sens...
Que cette route te soit longue et toujours aussi harmonieuse Roger, pour notre plus grand plaisir !
Je suis assis sur le bord du chemin et j'écoute.
RépondreSupprimerChristian CAZALS
Ah...l'Egypte et ses mystères...Quelle chance d'avoir pu aller là-bas !
RépondreSupprimerBon retour parmi nous !
J'aime tout particulièrement les quatrième et cinquième photos...
J'aime beaucoup le tableau avec la fleur de nénuphar. Les courbes, les couleurs tout est invitation à la méditation. Merci Roger.
RépondreSupprimerMuy bello y armónico, Roger!
RépondreSupprimerUn abrazo
bonjour Roger ! je te remercie de ton passage avec sa trace ! pour le blog joshartypico cabosse et dé-cabosse l'idée viens de toi ! j'ai simplement rajouté joshartypico !je suis content que cela te plaise puisque il y a un peu de ta signature ! tes œuvres sont toujours aussi superbes et poétiques ! je te souhaite une bonne continuation et un bon dimanche ! amitié du voyageur des arts !
RépondreSupprimeren admirant ce travail je fais partie de ces spectateurs frustrés... pensant aux efforts que cela demande, si rapidement effacés par la mer; comme la nature qui reprend ses biens et ses droits... merci Roger et bon dimanche.
RépondreSupprimerPierre de Lune,
RépondreSupprimerMerci Dom pour ce commentaire et amical et généreux.
Roger
Christian CAZALS?
RépondreSupprimerTon commentaire dont je te t remercie me fait penser que je parle pas souvent d'écoute. Et pourtant , à l'instar de l'homme, la nature doit s'écouter longuement pour être bien comprise et je passe beaucoup de temps à le faire, comme toi, sur le bord du Chemin des Grands Jardins.
Roger
LA LICORNE,
RépondreSupprimerOui, ce fût une chance que nous nous sommes mis en état de conquérir, tous les deux, car notre vie ne s'y prêtait pas. Il faut parfois construire sa chance et la saisir au bon moment.
Nous avons ressenti l'Égypte comme un pays mystérieux, en effet, mais terriblement présent et ancré dans la vie.
Merci de ton passage, ici,
Roger
Sophie,
RépondreSupprimerCette composition est une œuvre de la Nature et du vent qui ajouta ces quelques plumes d'oiseau sauvage au moment de la prise de vue.
à bientôt, j'espère,
Roger
Joy,
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire,
Roger
JOSHARTYPICO,
RépondreSupprimerMerci de ton passage, artiste voyageur. J'espère que tu trouves un peu de temps pour jouer quelques arpèges de ta composition sur ta guitare.
Longue et belle route à toi, aussi.
Très amicalement
Roger
elfine,
RépondreSupprimerCe sentiment n'existe pas en moi, par rapport à la disparition de mes installations, cela fait parti des règles du land art.
Merci de ton commentaire.
Roger
Je viens humblement déposer mon petit mot d'amitié sous le flot de tes commentaires, je viens saluer le travail de l'artiste.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup la deuxième photo, celle qui représente la spirale sous un angle nouveau, tournée vers l'infini, comme prête à s'envoler pour un voyage éternel dans l'inconnu ...
Très amicalement
Fanzesca,
RépondreSupprimerMerci Fanzesca. Tu sais combien j'ai apprécié nos échanges amicaux au travers de nos blogs et je regrette vraiment que tu aies à fermer le tiens, subitement.
J'espère te lire quand même de temps en temps,Ici,
Roger